Je ne saurais préférer l'été à l'hiver, ce dernier étant frais et accueillant, offrant une réconfortante fraîcheur sous l'égide d'un soleil moins impérieux. L'astre insolent, me fait souffrir, m'emporte dans de fiévreux tourments. Que dire du printemps, qui me prépare au pire ? Que dire d'un exécuteur affutant ses lames, camouflées en fleurs ?
Il semblerait que mon point de vue ne soit guère apprécié, car sur tous les toits, je le perçois hué; j'apprécie autant les étreintes glacées d'une nuit qui m'entaille, que le froid matinal, dévorant mes entrailles. La lourdeur des la neige, peu à peu m'entrave. Froid hivernal ! Lèse mes lèvres, gerce mon épiderme blafard ! Je veux sentir la morsure fatale longeant ma colonne vertébrale ! Telle est ma prière, mon cher. Dois-je t'implorer à genoux cloîtrée dans un monastère ?Pourquoi est-ce si complexe, cela ? Pourquoi, tu ne me comprends pas ?
Pourquoi ne fait-il pas assez froid ?...
Je t'en supplie, dévore ma peau, transperce moi jusqu'aux os. Je veux sentir mon sang affluer, je veux voir l'eclat de les veines bleutées, je veux laisser, des rides, sur ma peau délayée, se former. La morte saison est grisante, cette dernière me fait ressentir des sensations humaines, sensations, sensations, sensations, suscitant, réactions et émotions, qui sans elle, parfois jamais, ne surviennent...
Il semblerait que mon point de vue ne soit guère apprécié, car sur tous les toits, je le perçois hué; j'apprécie autant les étreintes glacées d'une nuit qui m'entaille, que le froid matinal, dévorant mes entrailles. La lourdeur des la neige, peu à peu m'entrave. Froid hivernal ! Lèse mes lèvres, gerce mon épiderme blafard ! Je veux sentir la morsure fatale longeant ma colonne vertébrale ! Telle est ma prière, mon cher. Dois-je t'implorer à genoux cloîtrée dans un monastère ?Pourquoi est-ce si complexe, cela ? Pourquoi, tu ne me comprends pas ?
Pourquoi ne fait-il pas assez froid ?...
Je t'en supplie, dévore ma peau, transperce moi jusqu'aux os. Je veux sentir mon sang affluer, je veux voir l'eclat de les veines bleutées, je veux laisser, des rides, sur ma peau délayée, se former. La morte saison est grisante, cette dernière me fait ressentir des sensations humaines, sensations, sensations, sensations, suscitant, réactions et émotions, qui sans elle, parfois jamais, ne surviennent...
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