Quand le matin je me lève, c'est pour toi.
Et quand le matin tu prononces mon nom,
Je sais tout d'un coup pourquoi je suis là.
Quand vient midi, nous sommes six,
et quand quatre s'en vont nous ne sommes que deux,
et moi je ne veux faire qu'un.
Quand tu me regardes, je te regarde
et tourne vite mes yeux,
de peur qu'ils me trahissent et
qu'ils me disent adieu.
Quand tu t'approches, je me sens mieux et
je sens aussi ce qui pourrait être,
mais j'ai peur que le soleil derrière toi ne m'aveugle.
Quand j'y repense, je me sens las,
et je soupire tout bas...
Je t'aime.
Une vérité qui tarde à se faire savoir,
comme le train qui jamais n'arrive en gare.
Une simple pensée qui ne fait que passer,
que peut-être et j'ose, tu as déjà partagée.
Avec le vent, flotte tes cheveux.
Ils sont noirs, comme peints d'obsidienne,
Mais cette couleur, ce n'est pas toi.
Vers le jaune et l'orange, tu est vibrante,
Et lorsque tu t'approche d'un problème au galop,
Je ne peux que rester derrière au petit trot.
Parfois je te vois ralentir, souvent même.
Et lorsque tu t'arrête je me vois mentir,
Et tu plante des flèches sans même y réfléchir,
Car tu lis dans mon âme,
Mais pas dans mon coeur
À la fontaine près du restaurant,
nous nous tenons souvent.
Alors que le vent souffle et que le soleil tape,
tu me regardes, je te regarde,
droit dans les yeux.
Ils sont rieurs mais apaisants,
marron avec une pointe d'orange,
que tu portes si bien;
alors la ville semble attendre,
ce qui malgré moi me semble,
un aveu, un mur sans corde à escalader.
Et tu t'approches, et je fais un pas de côté.
Et je tombe,
et j'explose comme une bombe;
et nous sommes deux victimes à déplorer.
Alors, j'ose à peine t'embrasser.
Et quand le matin tu prononces mon nom,
Je sais tout d'un coup pourquoi je suis là.
Quand vient midi, nous sommes six,
et quand quatre s'en vont nous ne sommes que deux,
et moi je ne veux faire qu'un.
Quand tu me regardes, je te regarde
et tourne vite mes yeux,
de peur qu'ils me trahissent et
qu'ils me disent adieu.
Quand tu t'approches, je me sens mieux et
je sens aussi ce qui pourrait être,
mais j'ai peur que le soleil derrière toi ne m'aveugle.
Quand j'y repense, je me sens las,
et je soupire tout bas...
Je t'aime.
Une vérité qui tarde à se faire savoir,
comme le train qui jamais n'arrive en gare.
Une simple pensée qui ne fait que passer,
que peut-être et j'ose, tu as déjà partagée.
Avec le vent, flotte tes cheveux.
Ils sont noirs, comme peints d'obsidienne,
Mais cette couleur, ce n'est pas toi.
Vers le jaune et l'orange, tu est vibrante,
Et lorsque tu t'approche d'un problème au galop,
Je ne peux que rester derrière au petit trot.
Parfois je te vois ralentir, souvent même.
Et lorsque tu t'arrête je me vois mentir,
Et tu plante des flèches sans même y réfléchir,
Car tu lis dans mon âme,
Mais pas dans mon coeur
À la fontaine près du restaurant,
nous nous tenons souvent.
Alors que le vent souffle et que le soleil tape,
tu me regardes, je te regarde,
droit dans les yeux.
Ils sont rieurs mais apaisants,
marron avec une pointe d'orange,
que tu portes si bien;
alors la ville semble attendre,
ce qui malgré moi me semble,
un aveu, un mur sans corde à escalader.
Et tu t'approches, et je fais un pas de côté.
Et je tombe,
et j'explose comme une bombe;
et nous sommes deux victimes à déplorer.
Alors, j'ose à peine t'embrasser.