Je viens de rentrer de mon cours d'essai de badminton. Au début j'étais super excitée puis ensuite j'ai ressenti de la gêne et du stress. Assez « normal » quand on essaie quelque chose de nouveau.
Mais on a commencé par des échauffements, c'était chiant. Et je suis tombée tête la première par terre lors du sprint. La honte...
Puis on a fait des échauffements. Nous étions séparés en deux groupes. Les habitués d'un côté et les nouveaux de l'autre.
Je sais qu'ils ne s'intéressaient aucunement à moi mais je me suis sentie exclue. Oui je n'étais pas la seule mais j'ai tout pris personnellement. En plus à chaque fois que je faisais un truc de nul, j'avais l'impression d'être qu'une bonne à rien.
Il y d'autres élèves qui nous ont rejoints plus tard. Ils étaient un cran au dessus. Et je me suis sentie NULLE. Que tout ce que je faisais était nul. Que j'avais pas le niveau. Que j'étais qu'une m*rde.
À un moment, on est passé avec un entraîneur qui nous a fait beaucoup bouger. Gauche, droite, avant, arrière. C'est le genre de transition que je maîtrise le moins. En cours, je laisse simplement tomber le volant et je donne un point gratis à l'adversaire. Cette fois-ci, bah j'ai été obligé de bouger. C'était fatiguant. J'ai raté beaucoup de volant avant. Et même sous les encouragements, bah j'étais terassée.
J'ai aussi pu voir et jouer avec Marius en fin de cours. Et j'ai trouvé qu'il jouait encore mieux que moi. Oui il faisait autant de fautes que moi mais honnêtement je vois le mal chez moi et jamais chez les autres. Tout le monde est gentil et mignon et plein de talent, et moi je suis pleines de défauts, et je rate 4 volants sur 5.
Bref, tout ça pour dire qu'en fin de séance j'ai pleuré. Pour relâcher la tension, les non-dits, etc.
Parce que j'étais fatiguée, terassée, anéantie. Parce que tout le monde jouait super bien et que moi, bah... voilà.
Et même malgré les encouragements et les félicitations, bah je me sens quand même un peu nulle. J'ai beau me dire que je pourrais avoir un an pour arriver à la cheville des plus habitués, je suis sûre le chemin sera long et que j'aurai pas le courage d'avancer, sans pleurer, sans me décourager et me démotiver parce que je suis fatiguée d'autant réfléchir et de me dévaloriser pour tout et n'importe quoi.
C'est tout ce que j'avais à dire... désolée d'être moi.
Mais on a commencé par des échauffements, c'était chiant. Et je suis tombée tête la première par terre lors du sprint. La honte...
Puis on a fait des échauffements. Nous étions séparés en deux groupes. Les habitués d'un côté et les nouveaux de l'autre.
Je sais qu'ils ne s'intéressaient aucunement à moi mais je me suis sentie exclue. Oui je n'étais pas la seule mais j'ai tout pris personnellement. En plus à chaque fois que je faisais un truc de nul, j'avais l'impression d'être qu'une bonne à rien.
Il y d'autres élèves qui nous ont rejoints plus tard. Ils étaient un cran au dessus. Et je me suis sentie NULLE. Que tout ce que je faisais était nul. Que j'avais pas le niveau. Que j'étais qu'une m*rde.
À un moment, on est passé avec un entraîneur qui nous a fait beaucoup bouger. Gauche, droite, avant, arrière. C'est le genre de transition que je maîtrise le moins. En cours, je laisse simplement tomber le volant et je donne un point gratis à l'adversaire. Cette fois-ci, bah j'ai été obligé de bouger. C'était fatiguant. J'ai raté beaucoup de volant avant. Et même sous les encouragements, bah j'étais terassée.
J'ai aussi pu voir et jouer avec Marius en fin de cours. Et j'ai trouvé qu'il jouait encore mieux que moi. Oui il faisait autant de fautes que moi mais honnêtement je vois le mal chez moi et jamais chez les autres. Tout le monde est gentil et mignon et plein de talent, et moi je suis pleines de défauts, et je rate 4 volants sur 5.
Bref, tout ça pour dire qu'en fin de séance j'ai pleuré. Pour relâcher la tension, les non-dits, etc.
Parce que j'étais fatiguée, terassée, anéantie. Parce que tout le monde jouait super bien et que moi, bah... voilà.
Et même malgré les encouragements et les félicitations, bah je me sens quand même un peu nulle. J'ai beau me dire que je pourrais avoir un an pour arriver à la cheville des plus habitués, je suis sûre le chemin sera long et que j'aurai pas le courage d'avancer, sans pleurer, sans me décourager et me démotiver parce que je suis fatiguée d'autant réfléchir et de me dévaloriser pour tout et n'importe quoi.
C'est tout ce que j'avais à dire... désolée d'être moi.