Ce soir-là, tout semblait encore aller. Je me trouvais au restaurant avec des amis, le sourire sur le visage, pourtant une petite voix dans ma tête me disait que quelque chose n’allait pas. Tout était calme, presque trop calme. Personne ne savait, bien sûr, ce qui se passait réellement dans mon cœur. C’était le jour de l’anniversaire de l’une de mes amies, un moment censé être joyeux, mais moi, je me sentais déconnectée, dans une autre réalité.
Elle m’avait quittée.
Le message était arrivé en plein milieu du dîner, comme un couperet qui tranche une vie en deux. Elle m’avait écrit : « Je pense que ça n’avance plus, tout ça. » Ce simple message m’avait figée sur place, comme si le temps s’était arrêté, comme si tout avait perdu son sens d’un coup. Ses mots résonnaient dans ma tête, mais je n’arrivais pas à y croire. Elle m’avait quittée par écrit, alors que nous étions censées être ensemble, à partager des instants comme ceux-là, ces moments simples, ceux où on se sourit et où tout semble aller pour le mieux. Mais non, tout était déjà fini.
Je suis restée là, au milieu de cette fête, au milieu des rires et des discussions, sans savoir comment réagir. Personne ne savait ce qui se passait dans ma tête. J’étais là, entourée de monde, mais je n'étais déjà plus là. J’ai fait de mon mieux pour ne rien laisser paraître, pour sourire, pour faire comme si tout allait bien. Mais tout s’effondrait, petit à petit.
Je me suis levée en silence, sans un mot, sans un regard vers ceux qui étaient autour de moi. J’avais besoin d’air. J’avais besoin de m’échapper, de quitter cet endroit où je ne pouvais plus respirer. Je suis sortie précipitamment, me faufilant entre les tables, comme si le monde pouvait continuer sans moi. Mais à ce moment-là, je savais que rien ne serait jamais pareil.
Une fois dehors, la nuit m’a enveloppée. C’était étrange, comme si le monde continuait de tourner normalement, mais moi, j’étais figée dans un instant qui n’avait plus de sens. Je suis allée m’asseoir sur un banc, seule, à l’écart. Je n’avais même pas envie de rentrer chez moi. Pas tout de suite. Je voulais juste être seule, me retrouver face à cette réalité qui m’échappait. Pourquoi, comment ? Qu’ai-je fait ?
Le vent frais m’a frappée en pleine figure, mais cela ne faisait rien. J’avais du mal à comprendre ce qui venait de se passer. J’avais du mal à accepter que, d’un coup, tout soit terminé. Que tout ce que j'avais cru solide, stable, se soit effondré comme un château de cartes. Nous étions là, ensemble, il y a quelques semaines encore, et aujourd’hui, tout était fini.
J'ai pris une cigarette, comme une manière de respirer un peu, de me raccrocher à quelque chose, même si ça n’avait aucun sens. Je n'avais pas de réponses. J'avais juste cette douleur dans la poitrine, cette sensation de vide qui m’envahissait, m’écrasait. Pourquoi elle m’avait laissée ? Qu’est-ce que j'avais mal fait ? Que s’était-il passé pour que tout bascule ainsi ? Je me suis cachée dans l’ombre, hors de la vue de tout le monde, comme si les autres pouvaient voir cette faiblesse que je voulais cacher à tout prix.
Les larmes étaient là, prêtes à jaillir, mais je les retenais. Je ne voulais pas que quiconque me voie dans cet état. Je voulais fuir, me cacher. Je partais souvent ces derniers temps, comme pour échapper à la réalité, comme si je pouvais faire disparaître cette douleur, cette rupture, en me fondant dans l’obscurité. Je ne voulais pas que quelqu’un me demande ce qui allait mal. Je n’aurais pas su répondre.
C’était fini. C’était le vide. Et je n’avais pas d’explication. Juste le goût amer de la fin, le poids de l'incompréhension. Et cette question qui tournait en boucle dans ma tête : qu’ai-je fait de travers ?
Les jours qui suivirent furent un tourbillon de douleur. Chaque pensée me faisait m’effondrer un peu plus. Il me suffisait de repenser à sa voix, à un moment qu’on avait partagé, à un simple geste, pour que la tristesse m’envahisse à nouveau. Je passais des heures à errer dans un silence lourd, la tête pleine de souvenirs, d’images de nous qui n’étaient plus que des fantômes. Chaque moment seul était une torture. Les larmes revenaient par vagues, et je n’arrivais pas à les arrêter. La douleur était omniprésente, envahissante.
Ce n’est qu’au bout de plusieurs jours, quand la tristesse était devenue une sorte de compagnon constant, que j’ai commencé à pouvoir respirer un peu mieux. Mais même alors, la pensée de ce qu’on avait vécu ensemble me frappait toujours avec la même intensité. À chaque instant de calme, à chaque moment où je croyais pouvoir reprendre mon souffle, il suffisait d’une pensée pour que tout refasse surface. Une pensée, un souvenir, un endroit où nous étions allées ensemble, et tout redevenait comme avant. L’oubli semblait impossible, la douleur inévitable.
Petit à petit, j’ai appris à supporter ce vide, à vivre avec. Mais ça m’a pris du temps. Des jours, des nuits, à lutter contre moi-même, à chercher des réponses là où il n’y en avait pas. J’ai appris à accepter que certaines questions resteraient sans réponse. Mais cela n’a pas été facile. Ça a pris des jours avant que je parvienne à arrêter de m’effondrer à chaque pensée. Des jours avant que la douleur ne devienne moins vive, moins oppressante. Mais elle n’a jamais disparu.
Elle m’avait quittée.
Le message était arrivé en plein milieu du dîner, comme un couperet qui tranche une vie en deux. Elle m’avait écrit : « Je pense que ça n’avance plus, tout ça. » Ce simple message m’avait figée sur place, comme si le temps s’était arrêté, comme si tout avait perdu son sens d’un coup. Ses mots résonnaient dans ma tête, mais je n’arrivais pas à y croire. Elle m’avait quittée par écrit, alors que nous étions censées être ensemble, à partager des instants comme ceux-là, ces moments simples, ceux où on se sourit et où tout semble aller pour le mieux. Mais non, tout était déjà fini.
Je suis restée là, au milieu de cette fête, au milieu des rires et des discussions, sans savoir comment réagir. Personne ne savait ce qui se passait dans ma tête. J’étais là, entourée de monde, mais je n'étais déjà plus là. J’ai fait de mon mieux pour ne rien laisser paraître, pour sourire, pour faire comme si tout allait bien. Mais tout s’effondrait, petit à petit.
Je me suis levée en silence, sans un mot, sans un regard vers ceux qui étaient autour de moi. J’avais besoin d’air. J’avais besoin de m’échapper, de quitter cet endroit où je ne pouvais plus respirer. Je suis sortie précipitamment, me faufilant entre les tables, comme si le monde pouvait continuer sans moi. Mais à ce moment-là, je savais que rien ne serait jamais pareil.
Une fois dehors, la nuit m’a enveloppée. C’était étrange, comme si le monde continuait de tourner normalement, mais moi, j’étais figée dans un instant qui n’avait plus de sens. Je suis allée m’asseoir sur un banc, seule, à l’écart. Je n’avais même pas envie de rentrer chez moi. Pas tout de suite. Je voulais juste être seule, me retrouver face à cette réalité qui m’échappait. Pourquoi, comment ? Qu’ai-je fait ?
Le vent frais m’a frappée en pleine figure, mais cela ne faisait rien. J’avais du mal à comprendre ce qui venait de se passer. J’avais du mal à accepter que, d’un coup, tout soit terminé. Que tout ce que j'avais cru solide, stable, se soit effondré comme un château de cartes. Nous étions là, ensemble, il y a quelques semaines encore, et aujourd’hui, tout était fini.
J'ai pris une cigarette, comme une manière de respirer un peu, de me raccrocher à quelque chose, même si ça n’avait aucun sens. Je n'avais pas de réponses. J'avais juste cette douleur dans la poitrine, cette sensation de vide qui m’envahissait, m’écrasait. Pourquoi elle m’avait laissée ? Qu’est-ce que j'avais mal fait ? Que s’était-il passé pour que tout bascule ainsi ? Je me suis cachée dans l’ombre, hors de la vue de tout le monde, comme si les autres pouvaient voir cette faiblesse que je voulais cacher à tout prix.
Les larmes étaient là, prêtes à jaillir, mais je les retenais. Je ne voulais pas que quiconque me voie dans cet état. Je voulais fuir, me cacher. Je partais souvent ces derniers temps, comme pour échapper à la réalité, comme si je pouvais faire disparaître cette douleur, cette rupture, en me fondant dans l’obscurité. Je ne voulais pas que quelqu’un me demande ce qui allait mal. Je n’aurais pas su répondre.
C’était fini. C’était le vide. Et je n’avais pas d’explication. Juste le goût amer de la fin, le poids de l'incompréhension. Et cette question qui tournait en boucle dans ma tête : qu’ai-je fait de travers ?
Les jours qui suivirent furent un tourbillon de douleur. Chaque pensée me faisait m’effondrer un peu plus. Il me suffisait de repenser à sa voix, à un moment qu’on avait partagé, à un simple geste, pour que la tristesse m’envahisse à nouveau. Je passais des heures à errer dans un silence lourd, la tête pleine de souvenirs, d’images de nous qui n’étaient plus que des fantômes. Chaque moment seul était une torture. Les larmes revenaient par vagues, et je n’arrivais pas à les arrêter. La douleur était omniprésente, envahissante.
Ce n’est qu’au bout de plusieurs jours, quand la tristesse était devenue une sorte de compagnon constant, que j’ai commencé à pouvoir respirer un peu mieux. Mais même alors, la pensée de ce qu’on avait vécu ensemble me frappait toujours avec la même intensité. À chaque instant de calme, à chaque moment où je croyais pouvoir reprendre mon souffle, il suffisait d’une pensée pour que tout refasse surface. Une pensée, un souvenir, un endroit où nous étions allées ensemble, et tout redevenait comme avant. L’oubli semblait impossible, la douleur inévitable.
Petit à petit, j’ai appris à supporter ce vide, à vivre avec. Mais ça m’a pris du temps. Des jours, des nuits, à lutter contre moi-même, à chercher des réponses là où il n’y en avait pas. J’ai appris à accepter que certaines questions resteraient sans réponse. Mais cela n’a pas été facile. Ça a pris des jours avant que je parvienne à arrêter de m’effondrer à chaque pensée. Des jours avant que la douleur ne devienne moins vive, moins oppressante. Mais elle n’a jamais disparu.