S
Anonyme
Bonjour,
Je suis épuisée, le cœur brisé par une trahison qui semble sans fin. Il y a un an, j’ai prêté mon appartement à ma sœur, pleine d’espoir et de confiance, croyant qu’elle trouverait rapidement sa voie. Je n’avais pas besoin de raison ou d’explications ; je voulais juste aider quelqu’un que j’aime. Elle m’a laissé dans l’inquiétude et l’inconnu, comme si je n’avais jamais compté.
Pendant des semaines, elle disait être en galère, qu’elle avait besoin d’un abri . Ma mère, généreuse et candide, voulait lui ouvrir les portes de sa maison, croyant bien faire, espérant que tout s’arrangerait. Mais elle savait aussi que j’avais quitté mon appartement pour m’occuper de mes parents et de mon frère. J ai accepté de la dépanner le temps qu’elle retrouve un emploi et un autre toit.
En 24 heures à peine, j’ai remis les clés à ma sœur et gardé les doubles, espérant que le temps ferait son œuvre. Puis tout a basculé: une semaine après son arrivée, elle a commencé à retirer ce qui la gênait, à dissimuler mes décorations pour mettre les siennes, et à effacer mes souvenirs comme s’ils n’avaient aucune valeur.
J’ai dû mettre ma vie entre parenthèses, arrêter de travailler pour mes proches. Les mois ont défilé, et un jour de juin, en parlant avec un conseiller, j’ai découvert que ma sœur ne travaillait pas. Je me suis dit: ça doit être une erreur. Puis la réalité m’a frappée: elle mentait délibérément, encore et encore. Ma mère m’a dit qu’elle partirait en déplacement professionnel; et là, le sol s’est dérobé sous mes pieds. Je suis restée stoïque, mais l’étau de la douleur ne cessait de se resserrer.
Mon appartement paraissait vide, elle découchait très souvent laissant parfois mon appartement vide durant plusieurs jours . Et un jour je découvre des slips et des vêtements d’un homme qui se trouvaient là, chez moi. Comment ignorer ça ? Je suis restée sans voix, blessée au plus profond. Pourquoi fait elle croire que c'est son domicile et surtout pourquoi le faire dans mon dos. Le cirque a continué: réunions, déplacements, et elle se montrait comme une adolescente en quête d’attention, se drapant dans des régimes et des tenues que je ne lui connaissait pas, son regard était vide,elle était distante froide, sur la défensive, moqueuse, méprisante.
Un matin, j’ai décidé de m’y rendre à l’improviste: toujours pas là, et encore des vêtements d’homme dans mon dressing, dans ma salle de bain, dans mon balcon. Je l’ai appelée, elle m’a répondu qu’elle était chez moi alors qu’elle n’y était pas. Ses mensonges s’empilaient, glaçant mon esprit et rompe le peu de confiance qu’il me restait. Elle s’est mise en scène, en victime, en disant qu’elle en avait marre; et moi, dans ma douleur, j’ai dû trouver la force de lui parler, de la confronter à la vérité que je connaissais.
Pendant que moi je lutte sur le plan administratif et médical pour nos parents, elle faisait entrer un inconnu dans mon appartement , lavait ses slips dans ma machine, et semblait prête à prendre possession de tout ce qui m’appartenait. Je n’ai plus eu d’autre choix que de poser un ultimatum et la encore elle a impose ses conditions que j ai accepté pour épargner mes parents.Mon cœur hurle encore à chaque souvenir: nos parents souffrent, et moi aussi, écrasée par l’ingratitude, la manipulation et la trahison de ma propre soeur qui dépassent l’entendement.
Ignoble. C’est le mot qui résonne dans ma tête: ignoble le manque d’empathie, ignoble l’égoïsme, ignoble ce qu’elle m’a fait sans remords. Je suis épuisée.
Merci de m’avoir lu
Je suis épuisée, le cœur brisé par une trahison qui semble sans fin. Il y a un an, j’ai prêté mon appartement à ma sœur, pleine d’espoir et de confiance, croyant qu’elle trouverait rapidement sa voie. Je n’avais pas besoin de raison ou d’explications ; je voulais juste aider quelqu’un que j’aime. Elle m’a laissé dans l’inquiétude et l’inconnu, comme si je n’avais jamais compté.
Pendant des semaines, elle disait être en galère, qu’elle avait besoin d’un abri . Ma mère, généreuse et candide, voulait lui ouvrir les portes de sa maison, croyant bien faire, espérant que tout s’arrangerait. Mais elle savait aussi que j’avais quitté mon appartement pour m’occuper de mes parents et de mon frère. J ai accepté de la dépanner le temps qu’elle retrouve un emploi et un autre toit.
En 24 heures à peine, j’ai remis les clés à ma sœur et gardé les doubles, espérant que le temps ferait son œuvre. Puis tout a basculé: une semaine après son arrivée, elle a commencé à retirer ce qui la gênait, à dissimuler mes décorations pour mettre les siennes, et à effacer mes souvenirs comme s’ils n’avaient aucune valeur.
J’ai dû mettre ma vie entre parenthèses, arrêter de travailler pour mes proches. Les mois ont défilé, et un jour de juin, en parlant avec un conseiller, j’ai découvert que ma sœur ne travaillait pas. Je me suis dit: ça doit être une erreur. Puis la réalité m’a frappée: elle mentait délibérément, encore et encore. Ma mère m’a dit qu’elle partirait en déplacement professionnel; et là, le sol s’est dérobé sous mes pieds. Je suis restée stoïque, mais l’étau de la douleur ne cessait de se resserrer.
Mon appartement paraissait vide, elle découchait très souvent laissant parfois mon appartement vide durant plusieurs jours . Et un jour je découvre des slips et des vêtements d’un homme qui se trouvaient là, chez moi. Comment ignorer ça ? Je suis restée sans voix, blessée au plus profond. Pourquoi fait elle croire que c'est son domicile et surtout pourquoi le faire dans mon dos. Le cirque a continué: réunions, déplacements, et elle se montrait comme une adolescente en quête d’attention, se drapant dans des régimes et des tenues que je ne lui connaissait pas, son regard était vide,elle était distante froide, sur la défensive, moqueuse, méprisante.
Un matin, j’ai décidé de m’y rendre à l’improviste: toujours pas là, et encore des vêtements d’homme dans mon dressing, dans ma salle de bain, dans mon balcon. Je l’ai appelée, elle m’a répondu qu’elle était chez moi alors qu’elle n’y était pas. Ses mensonges s’empilaient, glaçant mon esprit et rompe le peu de confiance qu’il me restait. Elle s’est mise en scène, en victime, en disant qu’elle en avait marre; et moi, dans ma douleur, j’ai dû trouver la force de lui parler, de la confronter à la vérité que je connaissais.
Pendant que moi je lutte sur le plan administratif et médical pour nos parents, elle faisait entrer un inconnu dans mon appartement , lavait ses slips dans ma machine, et semblait prête à prendre possession de tout ce qui m’appartenait. Je n’ai plus eu d’autre choix que de poser un ultimatum et la encore elle a impose ses conditions que j ai accepté pour épargner mes parents.Mon cœur hurle encore à chaque souvenir: nos parents souffrent, et moi aussi, écrasée par l’ingratitude, la manipulation et la trahison de ma propre soeur qui dépassent l’entendement.
Ignoble. C’est le mot qui résonne dans ma tête: ignoble le manque d’empathie, ignoble l’égoïsme, ignoble ce qu’elle m’a fait sans remords. Je suis épuisée.
Merci de m’avoir lu