On agit comme on se sent, est la magie. Se sentir bien pour agir bien, est le pouvoir magique.
On agit comme on se sent, telle est la prophetie avec le bien comme sensation.
Et le bien et le mal agissent comme des virus qui infectent par les sens. L'Un Bénéfique, l'autre maléfique. On agit comme on se sent, est une prophétie car savoir comment on se sent permet de prédire comment l'on va agir.
On agit comme on se sent, est de la télépathie car d'après les actes on peut déterminer les sensations qui les ont causées. Comme lire dans les pensées au travers des actes.
Le Bien Infiniment Grand est hyper connecté car on agit comme on se sent.
Alors autant les fidèles du Bien qui ne sont pas que mal mais pas que bien, que les fidèles du Bien que bien, y sont connectés avec bien sûr le mal comme intrus. Car sa connexion empêche les fidèles du Bien négatifs, qui ne sont pas que mal, de n'être que bien.
Alors bien sûr les fidèles du Bien qui sont positifs et qui ne sont que bien, permettent eux, que les fidèles du Bien qui ne sont pas que mal mais qui ne sont pas que bien, ne soient que bien.
Pour les fidèles du Bien, chacun pour soi-même n'est que le négatif qui n'est pas que mal mais qui n'est pas que bien. Et, l'un pour l'autre sont le positif qui n'est que bien. Pour n'être que le Bien qui n'est pas que mal puisqu'il n'est que bien.
L'inexistence du mal n'est mauvaise que pour le mal. Car quand le mal n'existe pas, il n'existe pas pour les autres, il n'est mauvais que pour lui-même. L'inexistence du mal n'est mauvaise que pour le mal. L'inexistence du mal c'est le Bien.
La vérité est vérification par la sensation de la réalité, le mensonge est de ne pas vérifier par la sensation de la réalité.
Le bien et le mal sont sensitifs dans la réalité donc vrais.
Mais qui irait vérifier le mal en se faisant mal, en se sentant mal dans la réalité ?
C'est pourquoi la vérité du bien ment sur le mal. La vérité du bien vérifie le bien mais ne vérifie pas le mal. Et inversement la vérité du mal ment sur le bien, ne vérifie pas le bien. On ne croit qu'à ce qu'on l'on ressent.
Somme nous libérés ou emprisonnés par nos sensations, vérité, interprétation ?
Si on vérifie le bien on est libéré du mal, si on vérifie le mal on est emprisonné par le mal.
Si tout n'est que bonne interprétation, que pouvons nous bien connaître de la bonne réalité ?
Si ce n'est le Bien.