ce brouillard qui tourmente ma vie,
si sombre et épais, qui me paraît insurmontable et interminable,
est l’unique chose que je vois,
seule face à lui, je m’y oppose et pourtant, je me vois en lui,
il est le reflet de mon chaos intérieur
, de mes pensées sombres qui hantent toute mon âme entière ,
et qui prennent le contrôle de tout ce qui m’entoure, et me fait face au désordre que j’engendre moi même
, de manière incontrôlable et involontaire, je m’auto sabote et m’inflige ce désarroi et cette solitude
dans laquelle je me perds un peu plus chaque jour,
dans le brouillard de mon âme, où je me noie dans toute cette noirceur ,
où je m’interdis de voir ce rayon de soleil qui m’appelle, répondant à mon appel à l’aide, mais je l’ignore ,
habituée à vivre dans ce chaos ,je finis par m’y sentir bien, dans ce mal si profond qui ne me fais plus peur ,
il est devenu mon allié, celui sur qui je peux compter et qui ne laissera pas partir d’aussitôt,
je me plais dans cette souffrance, dans l’absence de cette attente permanente de l’amour des autres,
cette peur constante de ne pas être assez bien, cette peur d’être soi même par crainte de finir rejetée,
ce tourment qui m’emporte, comprend ma peine sans essayer de la contredire, il l’accepte et lui donne vie.
Ce rayon, quant à lui, m’effraie, me donnant l’opportunité d’exister, et d’être aimer ou de ne pas l’être .
si sombre et épais, qui me paraît insurmontable et interminable,
est l’unique chose que je vois,
seule face à lui, je m’y oppose et pourtant, je me vois en lui,
il est le reflet de mon chaos intérieur
, de mes pensées sombres qui hantent toute mon âme entière ,
et qui prennent le contrôle de tout ce qui m’entoure, et me fait face au désordre que j’engendre moi même
, de manière incontrôlable et involontaire, je m’auto sabote et m’inflige ce désarroi et cette solitude
dans laquelle je me perds un peu plus chaque jour,
dans le brouillard de mon âme, où je me noie dans toute cette noirceur ,
où je m’interdis de voir ce rayon de soleil qui m’appelle, répondant à mon appel à l’aide, mais je l’ignore ,
habituée à vivre dans ce chaos ,je finis par m’y sentir bien, dans ce mal si profond qui ne me fais plus peur ,
il est devenu mon allié, celui sur qui je peux compter et qui ne laissera pas partir d’aussitôt,
je me plais dans cette souffrance, dans l’absence de cette attente permanente de l’amour des autres,
cette peur constante de ne pas être assez bien, cette peur d’être soi même par crainte de finir rejetée,
ce tourment qui m’emporte, comprend ma peine sans essayer de la contredire, il l’accepte et lui donne vie.
Ce rayon, quant à lui, m’effraie, me donnant l’opportunité d’exister, et d’être aimer ou de ne pas l’être .