T
Anonyme
Que dit le médecin traitant de cette situation ?
Voir avec lui, pour lui parler de harcèlement qui peut mener à un Burn-out !
Comment définir le burn-out ?
D’abord, il est important de rappeler que le burn-out ressemble à la dépression. Classiquement, la dépression est liée à des vécus de pertes qui vont provoquer un sentiment d’impuissance, comme si on était face à une vague qui nous submerge. Petit à petit, cela crée des vécus de dépréciation car on a l’impression de pas être capable de faire son travail. Puis, comme un jeu de domino, une culpabilité s’installe : on se fait le reproche de ne pas être à la hauteur.
Contrairement aux idées reçues, le burn-out touche les forces vives d’une entreprise : les gens très engagés, perfectionnistes…
Comment savoir si on est en burn-out ?
C’est bien le souci avec le burn-out. Souvent, la personne ne se rend pas compte qu’elle atteint sa zone d’épuisement et va même développer un mécanisme de défense que l’on appelle « l’accélération ». Au lieu de lever le pied, la personne va se jeter à corps perdu dans le travail. La plupart du temps, c’est le corps qui dit : « Stop ! » On est dans l’accélération, on travaille trop, on s’épuise. Et un matin on ne peut pas poser le pied par terre.
L’entourage et les collègues sont les meilleurs diagnostiqueurs de ces états à risque de burn-out. Il faut souligner que, contrairement aux idées reçues, le burn-out est un phénomène plus collectif qu’individuel. On doit donc porter une attention sur le climat général dans les équipes. On peut déceler une équipe qui commence à déprimer dans un climat marqué par des tensions, des conflits, de l’agressivité dans les échanges quotidiens. L’individu va lutter dans un premier temps avant de craquer.
Au-delà de tout ça, les personnes attribuent d’abord l’angoisse et l’anxiété à leur travail. Cela fait penser à une forme de phobie. Elles parlent également de troubles du sommeil, de ruminations, de la perte de l’élan vital, d’autodépréciation, de reproches… Plus simplement, tous les symptômes de la dépression.
Voir avec lui, pour lui parler de harcèlement qui peut mener à un Burn-out !
Comment définir le burn-out ?
D’abord, il est important de rappeler que le burn-out ressemble à la dépression. Classiquement, la dépression est liée à des vécus de pertes qui vont provoquer un sentiment d’impuissance, comme si on était face à une vague qui nous submerge. Petit à petit, cela crée des vécus de dépréciation car on a l’impression de pas être capable de faire son travail. Puis, comme un jeu de domino, une culpabilité s’installe : on se fait le reproche de ne pas être à la hauteur.
Contrairement aux idées reçues, le burn-out touche les forces vives d’une entreprise : les gens très engagés, perfectionnistes…
Comment savoir si on est en burn-out ?
C’est bien le souci avec le burn-out. Souvent, la personne ne se rend pas compte qu’elle atteint sa zone d’épuisement et va même développer un mécanisme de défense que l’on appelle « l’accélération ». Au lieu de lever le pied, la personne va se jeter à corps perdu dans le travail. La plupart du temps, c’est le corps qui dit : « Stop ! » On est dans l’accélération, on travaille trop, on s’épuise. Et un matin on ne peut pas poser le pied par terre.
L’entourage et les collègues sont les meilleurs diagnostiqueurs de ces états à risque de burn-out. Il faut souligner que, contrairement aux idées reçues, le burn-out est un phénomène plus collectif qu’individuel. On doit donc porter une attention sur le climat général dans les équipes. On peut déceler une équipe qui commence à déprimer dans un climat marqué par des tensions, des conflits, de l’agressivité dans les échanges quotidiens. L’individu va lutter dans un premier temps avant de craquer.
Au-delà de tout ça, les personnes attribuent d’abord l’angoisse et l’anxiété à leur travail. Cela fait penser à une forme de phobie. Elles parlent également de troubles du sommeil, de ruminations, de la perte de l’élan vital, d’autodépréciation, de reproches… Plus simplement, tous les symptômes de la dépression.