Des jours écoulés
Des nuits passées
Dans l’obscurité
Ainsi que le vent levé
Ils passent de plus en plus vite
A une vitesse vacillante
Sans trop de vigilance
Ni trop de bienveillance
Encore une fois elle revient
Et me retient
Ce sentiment de noirceur
Que l’on appelle le malheur ?
C’est surtout un rabais
Un sentiment de rejet
Cette solitude qui renaît
Et mes souvenirs souillé
Faut il vraiment de l’espoir
Dans ce monde plein de déboires
Si dérisoire
Et aussi avare ?
Pourquoi ne peut on pas vivre en paix
Mais souvent bataillé
Sans calme ni de tranquillité
A quoi bon trouver la paix
Ce moment qui m’es chère
Que j’aime tant retrouver
Que je cherche dans ce désert
Celle où je me libère
Où en fait tristesse et frustration
Se mélange dans dans cette obstination
Je veux me balader .
Et m’éloigné loin et erré
Des nuits passées
Dans l’obscurité
Ainsi que le vent levé
Ils passent de plus en plus vite
A une vitesse vacillante
Sans trop de vigilance
Ni trop de bienveillance
Encore une fois elle revient
Et me retient
Ce sentiment de noirceur
Que l’on appelle le malheur ?
C’est surtout un rabais
Un sentiment de rejet
Cette solitude qui renaît
Et mes souvenirs souillé
Faut il vraiment de l’espoir
Dans ce monde plein de déboires
Si dérisoire
Et aussi avare ?
Pourquoi ne peut on pas vivre en paix
Mais souvent bataillé
Sans calme ni de tranquillité
A quoi bon trouver la paix
Ce moment qui m’es chère
Que j’aime tant retrouver
Que je cherche dans ce désert
Celle où je me libère
Où en fait tristesse et frustration
Se mélange dans dans cette obstination
Je veux me balader .
Et m’éloigné loin et erré