Je suis de plus en plus vicieuse

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Valona
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La masturbation

Quand j'avais dix sept ans, en terminale au lycée, je m'en suis ouverte à quelques filles de ma classe. Quand j'ai pris conscience de leurs invraisemblables inhibitions, (de leurs profondes bêtises aussi), j'ai très vite cessé de m'étendre sur le sujet. Entre les menteuses affirmant ne jamais se masturber, les hypocrites prétendant ne pas s'y adonner trop souvent, les coincées qui baissaient les yeux et les imbéciles qui voulaient me culpabiliser, j'ai trouvé plus simple de me taire.

Avant de me rendre compte qu'il était plus simple d'en parler avec des garçons soigneusement choisis. Parce que là aussi, entre les "connos", les crétins boutonneux et les dénonciateurs croyant lancer des scoops, il est judicieux de s'en ouvrir à quelqu'un d'intelligent. De préférence un "cérébral", un intellectuel. Vous savez, le mutique, très secret qui ne s'attarde jamais après les cours. Souvent le plus intéressant. Apte à devenir le parfait confident. Car il y a des garçons qui s'octroient des droits que ne devraient pas avoir les filles. En les traitant de "salopes" par exemple. En rigolant comme de vrais connos.

Et je n'évoque pas seulement les tristes victimes de certains dogmes religieux étrangers à nos valeurs occidentales. Non j'évoque le conno, le vrai, celui qui se marre en montrant une fille du doigt. Et je peux en témoigner ici, ces connos glorieux sont l'immense majorité du genre masculin. Bière, football et conneries pures. Une connerie pure, pas coupée, pas raffinée. Il est donc préférable de cacher les plaisirs intimes aux plus grand nombre.

Bisous
 
duss
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La masturbation

Quand j'avais dix sept ans, en terminale au lycée, je m'en suis ouverte à quelques filles de ma classe. Quand j'ai pris conscience de leurs invraisemblables inhibitions, (de leurs profondes bêtises aussi), j'ai très vite cessé de m'étendre sur le sujet. Entre les menteuses affirmant ne jamais se masturber, les hypocrites prétendant ne pas s'y adonner trop souvent, les coincées qui baissaient les yeux et les imbéciles qui voulaient me culpabiliser, j'ai trouvé plus simple de me taire.

Avant de me rendre compte qu'il était plus simple d'en parler avec des garçons soigneusement choisis. Parce que là aussi, entre les "connos", les crétins boutonneux et les dénonciateurs croyant lancer des scoops, il est judicieux de s'en ouvrir à quelqu'un d'intelligent. De préférence un "cérébral", un intellectuel. Vous savez, le mutique, très secret qui ne s'attarde jamais après les cours. Souvent le plus intéressant. Apte à devenir le parfait confident. Car il y a des garçons qui s'octroient des droits que ne devraient pas avoir les filles. En les traitant de "salopes" par exemple.comme de vrais connos.

Et je n'évoque pas seulement les tristes victimes de certains dogmes religieux étrangers à nos valeurs occidentales. Non j'évoque le conno, le vrai, celui qui se marre en montrant une fille du doigt. Et je peux en témoigner ici, ces connos glorieux sont l'immense majorité du genre masculin. Bière, football et conneries pures. Une connerie pure, pas coupée, pas raffinée. Il est donc préférable de cacher les plaisirs intimes aux plus grand nombre.

Bisous
Il faut pas en avoir honte c'est naturel de se branler en tout cas moi je pense comme sa
 
E
Eviradnus
Anonyme
Bonjour

Actuellement en vacances avec mes parents, je suis souvent seule dans notre propriété au bord de l'océan. Ils adorent partir pour de petites croisières en mer sur leur bateau. Je déteste m'ennuyer sur un bateau quatre à cinq jours de suite. Je gère parfaitement ma solitude chérie.

Je profite de ces vacances pour de belles expéditions à bicyclettes ou à cheval. Je m'arrête quelquefois dans des endroits retirés pour de petites masturbations. C'est souvent deux à trois fois dans l'après-midi. Sans jamais aller jusqu'à l'orgasme. J'adore rester excitée tout le temps. Je me "termine" le soir dans mon lit.

J'assume totalement. J'adore me savoir vicieuse et un tantinet "dépravée". Il a quelquefois de petites exhibes lorsqu'une opportunité discrète et "sécurisée" se présente. J'atteins alors des sommets de plaisirs. Je suis avant tout une cérébrale. Je viens d'obtenir ma licence de Science en juin. Ça participe à m'émoustiller.

Bisous
Félicitations pour ta licence.
Est ce que tu vas faire un Master?
 
G
Grana padano
Anonyme
Bonjour

Actuellement en vacances avec mes parents, je suis souvent seule dans notre propriété au bord de l'océan. Ils adorent partir pour de petites croisières en mer sur leur bateau. Je déteste m'ennuyer sur un bateau quatre à cinq jours de suite. Je gère parfaitement ma solitude chérie.

Je profite de ces vacances pour de belles expéditions à bicyclettes ou à cheval. Je m'arrête quelquefois dans des endroits retirés pour de petites masturbations. C'est souvent deux à trois fois dans l'après-midi. Sans jamais aller jusqu'à l'orgasme. J'adore rester excitée tout le temps. Je me "termine" le soir dans mon lit.

J'assume totalement. J'adore me savoir vicieuse et un tantinet "dépravée". Il a quelquefois de petites exhibes lorsqu'une opportunité discrète et "sécurisée" se présente. J'atteins alors des sommets de plaisirs. Je suis avant tout une cérébrale. Je viens d'obtenir ma licence de Science en juin. Ça participe à m'émoustiller.

Bisous
🙄🙄
 
E
Eviradnus
Anonyme
La masturbation

Quand j'avais dix sept ans, en terminale au lycée, je m'en suis ouverte à quelques filles de ma classe. Quand j'ai pris conscience de leurs invraisemblables inhibitions, (de leurs profondes bêtises aussi), j'ai très vite cessé de m'étendre sur le sujet. Entre les menteuses affirmant ne jamais se masturber, les hypocrites prétendant ne pas s'y adonner trop souvent, les coincées qui baissaient les yeux et les imbéciles qui voulaient me culpabiliser, j'ai trouvé plus simple de me taire.

Avant de me rendre compte qu'il était plus simple d'en parler avec des garçons soigneusement choisis. Parce que là aussi, entre les "connos", les crétins boutonneux et les dénonciateurs croyant lancer des scoops, il est judicieux de s'en ouvrir à quelqu'un d'intelligent. De préférence un "cérébral", un intellectuel. Vous savez, le mutique, très secret qui ne s'attarde jamais après les cours. Souvent le plus intéressant. Apte à devenir le parfait confident. Car il y a des garçons qui s'octroient des droits que ne devraient pas avoir les filles. En les traitant de "salopes" par exemple. En rigolant comme de vrais connos.

Et je n'évoque pas seulement les tristes victimes de certains dogmes religieux étrangers à nos valeurs occidentales. Non j'évoque le conno, le vrai, celui qui se marre en montrant une fille du doigt. Et je peux en témoigner ici, ces connos glorieux sont l'immense majorité du genre masculin. Bière, football et conneries pures. Une connerie pure, pas coupée, pas raffinée. Il est donc préférable de cacher les plaisirs intimes aux plus grand nombre.

Bisous
Tellement vrai
 
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