D
Anonyme
J'ai juste besoin que l'on me lise, que quelqu'un prenne connaissance de ma situation sans forcément me répondre, j'ai juste besoin de me plaindre. Si c'est chiant à lire ne vous obligez surtout pas, juste partez je ne veux plus d'hypocrisie pour mon bien physique et mentale.
J'ai perdu le goût de vivre, je me réveille le matin en ayant déjà pas le courage de de vivre cette journée, carrément même respirer ça m'énerve. J'ai plus d'amis, la dernière personne à qui j' ai fait confiance m'a douloureusement trahit et en la perdant elle, j'ai perdu le restes de mon groupe d'amis.
J'ai passé mon bac de français et de spé et malgré toutes ces heures de révision je suis déçue de mes résultats sachant que j'excelle dans cette spé depuis toujours. Depuis, je perds confiance en mes capacités et j'abandonne peu à peu mon objectif.
Mes frères ne me comprennes pas, mon père me martyrise psychologiquement, ma mère m'ignore, j'ai tellement pleuré depuis le début des vacances que je suis arrivée à un point où je m'en empêche par flemme et parce que je ne supporte plus le sentiment désagréable des larmes sèches sur mes joues.
À côté de tout ça il ya quelqu'un que j'aime, c'est mon seul espoir, le seul mec à m'avoir donné de la considération, à m'avoir donné de l'importance, à s'être inquiété pour moi comme mon père aurait dû le faire. J'en vois venir qui vont me conseiller de me déclarer mais il en est hors de question, je me suis déclaré une fois à une autre personne, ça à été un cauchemar j'en suis encore traumatisée de tout ce que ça à causé par la suite donc j'attends juste le bon moment, une opportunité.
Sinon je me sens terriblement seule. Je vous JURE que j'ai VRAIMENT l'impression de voir mon monde en noir et blanc, je suis constamment triste et ce n'est que pour quelques raisons précises que je respire encore à l'heure actuelle.
Je déteste tout et tout m'énerve et me fatigue, quand j'essaye de parler à quelqu'un de tout ça, on néglige l'ampleur de la situation, ex : j'ai demandé plusieurs fois à voir un psychologue mais à chaque fois on m'envoie balader.
Mon humeur joue seulement entre la tristesse, la colère, le stress, la frustration de ne pas être entendue ni comprise et de ne pas pouvoir dire ce que j'ai sur le cœur à toute ces personnes qui mon rendue comme ça.
J'essaye pourtant d'être stoïque mais au bout d'un moment, je n'ai personne vers qui me tourner et rien que le fait de penser la rentrée, le bac le fait de savoir que je vais recroiser certaines personnes m'angoisse.
Pourtant je me suis attachée à ma solitude, je ne veux ni compagnie, ni rien car tout contact avec autrui finit mal.
Il n'y a pas de solution à ma situation : si certains me proposeront de m'occuper, de faire du sport, etc sachez que mon cher père m'empêche toute sorte de distraction bien que je sois en vacances, bien que ça ne soit mes dernières vacances paisibles. Il prend un malin plaisir à me faire souffrir inutilement puis se faire passer pour quelqu'un de bien en jouant sur la corde du papa gentil qui a juste du mal à exprimer son amour, bref je le déteste mais le verbe "détester" n'est pas assez fort.
C'est tout, merci d'avoir lu
J'ai perdu le goût de vivre, je me réveille le matin en ayant déjà pas le courage de de vivre cette journée, carrément même respirer ça m'énerve. J'ai plus d'amis, la dernière personne à qui j' ai fait confiance m'a douloureusement trahit et en la perdant elle, j'ai perdu le restes de mon groupe d'amis.
J'ai passé mon bac de français et de spé et malgré toutes ces heures de révision je suis déçue de mes résultats sachant que j'excelle dans cette spé depuis toujours. Depuis, je perds confiance en mes capacités et j'abandonne peu à peu mon objectif.
Mes frères ne me comprennes pas, mon père me martyrise psychologiquement, ma mère m'ignore, j'ai tellement pleuré depuis le début des vacances que je suis arrivée à un point où je m'en empêche par flemme et parce que je ne supporte plus le sentiment désagréable des larmes sèches sur mes joues.
À côté de tout ça il ya quelqu'un que j'aime, c'est mon seul espoir, le seul mec à m'avoir donné de la considération, à m'avoir donné de l'importance, à s'être inquiété pour moi comme mon père aurait dû le faire. J'en vois venir qui vont me conseiller de me déclarer mais il en est hors de question, je me suis déclaré une fois à une autre personne, ça à été un cauchemar j'en suis encore traumatisée de tout ce que ça à causé par la suite donc j'attends juste le bon moment, une opportunité.
Sinon je me sens terriblement seule. Je vous JURE que j'ai VRAIMENT l'impression de voir mon monde en noir et blanc, je suis constamment triste et ce n'est que pour quelques raisons précises que je respire encore à l'heure actuelle.
Je déteste tout et tout m'énerve et me fatigue, quand j'essaye de parler à quelqu'un de tout ça, on néglige l'ampleur de la situation, ex : j'ai demandé plusieurs fois à voir un psychologue mais à chaque fois on m'envoie balader.
Mon humeur joue seulement entre la tristesse, la colère, le stress, la frustration de ne pas être entendue ni comprise et de ne pas pouvoir dire ce que j'ai sur le cœur à toute ces personnes qui mon rendue comme ça.
J'essaye pourtant d'être stoïque mais au bout d'un moment, je n'ai personne vers qui me tourner et rien que le fait de penser la rentrée, le bac le fait de savoir que je vais recroiser certaines personnes m'angoisse.
Pourtant je me suis attachée à ma solitude, je ne veux ni compagnie, ni rien car tout contact avec autrui finit mal.
Il n'y a pas de solution à ma situation : si certains me proposeront de m'occuper, de faire du sport, etc sachez que mon cher père m'empêche toute sorte de distraction bien que je sois en vacances, bien que ça ne soit mes dernières vacances paisibles. Il prend un malin plaisir à me faire souffrir inutilement puis se faire passer pour quelqu'un de bien en jouant sur la corde du papa gentil qui a juste du mal à exprimer son amour, bref je le déteste mais le verbe "détester" n'est pas assez fort.
C'est tout, merci d'avoir lu
