Je me sens si vide,
On dirait une coquille vide.
Pourtant personne ne le verra,
Car à part toi personne ne lit en moi.
Et je me saoule presque toutes les nuits,
Comme pour effacer tout ce vide.
Chaque jour tu me manques,
Au point où j'en tremble.
Pourtant personne ne le verra,
Car tu sais à quel point je le cacherais.
Mon cœur se brise une fois de plus,
Cette fois je ne sais plus,
si je peux tenir le coup un peu plus.
Tu hantes mes pensées,
Mais ne cesse de s'absenter.
Pourrais tu revenir,
Autant que je rêve de toi la nuit ?
J'en peux plus de ces non-dits,
Je ne veux plus fuir.
Mais visiblement il ne reste plus que mon cœur meurtri,
Celui-là même qui t'attend sans fin toutes les nuits.
Et je bois bien trop souvent,
Sûrement car je me meurt lentement.
On dirait une coquille vide.
Pourtant personne ne le verra,
Car à part toi personne ne lit en moi.
Et je me saoule presque toutes les nuits,
Comme pour effacer tout ce vide.
Chaque jour tu me manques,
Au point où j'en tremble.
Pourtant personne ne le verra,
Car tu sais à quel point je le cacherais.
Mon cœur se brise une fois de plus,
Cette fois je ne sais plus,
si je peux tenir le coup un peu plus.
Tu hantes mes pensées,
Mais ne cesse de s'absenter.
Pourrais tu revenir,
Autant que je rêve de toi la nuit ?
J'en peux plus de ces non-dits,
Je ne veux plus fuir.
Mais visiblement il ne reste plus que mon cœur meurtri,
Celui-là même qui t'attend sans fin toutes les nuits.
Et je bois bien trop souvent,
Sûrement car je me meurt lentement.