Ce que tu décris correspond bien à la dépression, au sens médical du terme (je me suis peut-être trompé, étant loin d'être un spécialiste) . Si tel est le cas, il ne faut en aucun cas continuer d'avancer comme si tout allait bien, ça ne fait que retarder et empirer les choses (je le sais car j'ai essayé). Parles-en à des personnes de confiance, et encore, ça ne suffit pas, n'hésite pas à consulter un professionnel (médecin, psychologue, psychiatre, etc) si tu as le moindre doute, il saura te dire quoi faire pour en sortir.
J'ai vécu 11 ans avec le père de ma fille.
Il a littéralement bouffé le peu de confiance que j'avais en moi mais de façon sournoise
Par des remarques et critique constantes.... au début dit gentiment tout en douceur puis de plus en plus violemment mais je ne voyais rien
Il avait réussi à mettre dans la tête que j'étais tellement nulle, bête, grosse et moche qu'aucun autre homme ne voudrait de moi.
Enfin vous voyez quoi....
Me rendre compte au bout de tant d'année de la nature malsaine de la relation qu'il y avait entre nous m'a mis un coup au moral puis 2eme coup quand j'ai réalisé que si il avait pu faire cela c'était à cause de l'éducation que j'avais reçu.
Sur la fin de la relation il était particulièrement horrible, ll me réveillait à 6h du matin en me hurlant dessus, m'insulter, me virer à coup de pied du lit quand je ne voulais pas avoir de relation sexuel avec lui, me parlait comme à la dernière des imbéciles.
Un homme au boulot, fervent pratiquant du harcèlement morale à senti la faille et s'y est engouffré.
Je n'arrivais plus à me concentrer sur mon boulot.
J'en prenais plein la tête à la maison et ça continuait au boulot alors que jusque la jassurai.
Je me suis mise à passer des matinées entières enfermee dan mon bureau à pleurer.
Je ne mangeai plus, ne dormais plus, je me suis mise à enchaîner les malaises sur mon lieu de travail.
Puis je me suis séparée du père de ma fille. Et comme ça n'allait plus du tout au boulot, on m'a changé de poste.
Aujourd'hui je travaille à 1h30 de chez moi.
3 h, on ne m'a pas donné les moyens humains et matériel de mener à bien ma nouvelle mission et étant un peu perdu je n'ai pas réussi à faire mes preuves.
Comme si j'avais perdu tout mes bons réflexes pros et surtout, la motivation, l'envie...
Ce nouvelle échec pro me bouffe.
D'autant plus qu'à cause des 3 heures de routes quotidiens je n'ai pas le temps de profiter de ma fille.
Je n'arrive pas à gérer ma fille, mon boulot et mon ménage en même temps....
Je suis fatiguée, je n'ai plus de motivation pour rien.
Je me sens minable dans tous les domaines. Pro, maternel, familiale....
Je vais à nouveau changer de poste rt je suis morte de peur, j'ai le cerveau en marmelade, j'ai peur de me planter alors que jusque là les changements pros ne me faisaient pa peur.