J
Anonyme
Je suis une femme célibataire, d'un certain âge, je vois un homme célibataire lui aussi, je l'aime plus que tout. Nous nous voyons de temps en temps, quand l'envie de nous voir se fait sentir. Il est un peu particulier,en ce qui concerne les sentiments, souvent quand nous passons la nuit ensemble, après que je me sois endormie, c'est ce qu'il croit, je l'entends me dire cela ! Qu'en pensez-vous ?
La lune éclaire ton corps si doux,
Tes cheveux défaits, ton souffle léger.
Tu rêves peut-être de nous, je l'espère,
De cet amour que je n'ose avouer.
Je te regarde, mon cœur chavire,
Tu es si belle, si fragile, si pure.
Je voudrais te dire, te crier mon amour,
Mais les mots se perdent dans ma nature.
Alors je te parle en silence,
Te disant tout ce que je ressens.
Mon amour pour toi est immense,
Il remplit mon âme, mon existence.
Je me souviens de tes yeux clairs,
De tes baisers volés, de tes secrets.
Je me blottis contre toi, enfin,
Dans ce rêve où tu es mienne, à jamais.
(De ses mains,Il me caresse doucement la peau, mon corps...)
Je ne veux pas te réveiller, non,
Je veux rester avec toi, dans ce songe profond.
Chaque nuit, je te retrouve,
Et chaque jour, je meurs de ton absence.
Mais la nuit revient, toujours,
Et dans mes rêves, tu es mon recours.
Je t'aime, et je ne cesserai jamais,
De te chercher dans mes rêves enchantés.
(Il serre ma main dans la sienne, parfois je pense qu'il pleure ? )
Peut-être m'entends-tu, peut-être pas,
Mais je voulais te dire, en secret,
Que tu es tout pour moi, ma joie, mon éclat,
La femme que j'aime, à jamais.
(Et il s'endort, blotti contre moi).
La lune éclaire ton corps si doux,
Tes cheveux défaits, ton souffle léger.
Tu rêves peut-être de nous, je l'espère,
De cet amour que je n'ose avouer.
Je te regarde, mon cœur chavire,
Tu es si belle, si fragile, si pure.
Je voudrais te dire, te crier mon amour,
Mais les mots se perdent dans ma nature.
Alors je te parle en silence,
Te disant tout ce que je ressens.
Mon amour pour toi est immense,
Il remplit mon âme, mon existence.
Je me souviens de tes yeux clairs,
De tes baisers volés, de tes secrets.
Je me blottis contre toi, enfin,
Dans ce rêve où tu es mienne, à jamais.
(De ses mains,Il me caresse doucement la peau, mon corps...)
Je ne veux pas te réveiller, non,
Je veux rester avec toi, dans ce songe profond.
Chaque nuit, je te retrouve,
Et chaque jour, je meurs de ton absence.
Mais la nuit revient, toujours,
Et dans mes rêves, tu es mon recours.
Je t'aime, et je ne cesserai jamais,
De te chercher dans mes rêves enchantés.
(Il serre ma main dans la sienne, parfois je pense qu'il pleure ? )
Peut-être m'entends-tu, peut-être pas,
Mais je voulais te dire, en secret,
Que tu es tout pour moi, ma joie, mon éclat,
La femme que j'aime, à jamais.
(Et il s'endort, blotti contre moi).