Bonjour.
Je n'écris normalement jamais de nouvelle, préférant me lancer dans des histoires longues. Mais j'aimerai, à travers cette petite histoire, faire passer un message. À vous de le comprendre.
Ce soir là, une pluie violente s'abattait sur toute la plaine. Une pluie violente mais sans vent, comme si la nature elle-même hésitait. Hésitait entre trouver cette soirée merveilleuse ou, au contraire, désastreuse.
Un homme, habillé d'une tenue sombre traversa tout le village en courant, une couverture dans les bras, sous les ordres de sa femme et contrôlé par sa propre décision. Arrivé aux portes de son village, il posa la couverture, gravé d'un prenom, sur la route. Des cris stridents d'un nouveau né se font entendre, pourtant l'homme répartit sans hésiter, le cœur léger.
Le lendemain fus un jour plus calme. La pluie avait cessé, les nuages dégageait le ciel lui donnant une magnifique teinte bleutée.
Le roi, ayant contrôle sur la plaine et les cinq montagnes habitées qui rodaient aux alentours, décida ce jour là de partir en promenade, laissant sa fille dans les bras de Morphée, accompagné de deux de ses serviteurs les plus fidèles. Le soleil tappait fermement sur ses cheveux noirs ébènes, mais, contrairement à certains, cette sensation l'apaisait. Au fond, cela lui rappela les escapades avec sa défunte femme, la mère de leur jolie fille.
Malgré les réminiscences qui surgissaient à nouveau dans son esprit, le roi fus des plus concentré sur le chemin.
- Alte ! ordonna-t-il soudainement, levant le bras pour faire signe.
Le roi descendit prudemment de son cheval blanc et se rapprocha silencieusement d'une couverture grise claire posée en boule sur le sol. De ses longs doigts fins, il ecarta les pends de cette dernière, laissant apparaître un doux visage endormis d'un bambin glacé par sa couverture encore humide. Il lu en chuchotant le prénom marqué au tissus : Liandro. Il prit avec prudence le petit garçon, les yeux pleins de pitié, d'amour et de tristesse.
Les serviteurs leverent les sourcils, surpris de voir leur roi le visage baigné par l'émotion.
- Liandro, mon petit, murmura le jeune roi, redonne le sourire à ma fille. Liandro, mon petit, mon pauvre petit, je te demande d'être heureux.
Les années passèrent rapidement, baigné dans le bonheur. Malgré leur quatres ans de différence, la princesse Ruby et le prince Liandro s'entenderent à merveille dès leur plus jeune âge, rendant les deux heureux. Ils étaient inséparables. Des meilleurs amis dont personne ne pourrait arracher ce lien si puissant. Parfois, même le roi se surpris à apprécier des moments avec sa nouvelle famille, sans sa femme.
Les dix-huit ans de Liandro se firent dans la joie et la bonne humeur. Ruby, d'une longue robe rouge, faisant ressortir ses cheveux noirs se rapprocha de Liandro, le sourire aux lèvres, entremêlant dans ses doigts les cheveux blonds or du prince.
- Tu as 18 ans maintenant. Félicitation. Tu me rends heureuse.
Peu de temps s'écoula avant qu'un nouveau membre de la famille arriva.
La nouvelle du nouvel héritier se diffusa rapidement dans tout le territoire. Liandro, le cœur sur la main, les larmes au yeux, partagea à la fois son expérience, remerciant le roi et la princesse de l'avoir accepté et d'avoir fait de lui un jeune homme comblé.
De l'autre côté de la plaine, se trouvait un couple heureux et récemment riche avec une petite fille magnifique aux longs cheveux blonds. À la vue du journal, et du beau prince Liandro à la chevelure soignée ainsi qu'à son fils avec la princesse Ruby, le couple eu une idée. Liandro était leur fils, ils allaient le récupérer, se rendant soudainement compte qu'ils aimaient Liandro plus que tout au monde.
Ramenant leur fille de huit ans avec eux, ils se rendirent au château dans de belles tenues les mettant en valeur. Le roi, commençant à se faire âgé, les accueillit avec bonté. Mais ses yeux s'attarderent sur la jeune fille au visage si familier pour lui.
- Votre Extrême Grandeur, commença l'homme d'une voix grave et posée, nous somes venus aujourd'hui à la rencontre du Liandro, notre cher et tendre fils.
Le coeur du roi se serra, cachant discrètement une grimace sur son visage ridé.
- Nous sommes fier de lui et nous aimerions le féliciter et lui montrer à quel point il compte beaucoup pour ma femme et moi. J'en suis sûr que ma fille ici présente serrait honorée de rencontrer son frère.
Le roi se racla la gorge :
- Navré de vous l'apprendre mais Prince Liandro n'accepte pas la visite d'inconnues. Si vous vouliez que votre fille connaisse son frère, vous ne l'auriez pas abandonné sur la route, pouvant se faire ecraser à chaque instant. Seriez vous fier de lui s'il avait finis pâtissier ? Je ne pense pas non. Vous êtes juste fierw de ce qu'il est devenue et non pas de sa personne. Non, je me trompe. Vous n'êtes pas fiers, vous êtes jaloux. Et tout ce que vous voulez c'est qu'on parle de vous disant que votre fils est devenue un prince heureux. Pensez vous vraiment que c'est la bonne chose à faire ? Pour votre bien et le bien de Liandro ? Bon, apres je sais que vous vous en fichez de bien de Liandro. Mais moi non. Car voyez vous, moi je suis son père. Non pas son géniteur mais son père. Tout ce que ressentiront les gens c'est de la haine envers vous. Vous n'êtes pas fier de votre fils mais de son image. Vous pouvez partir, merci.
Vous avez devinez ce dont je parle ?
Reponse (devinez d'abord si vous voulez) : Malheureusement beaucoup trop de gens sont comme ça…
Je m'excuse, je ne sais pas ecrire des nouvelles…
Merci d'avoir lus même si c'est pas super. Je voulais juste faire passer un message.
Je n'écris normalement jamais de nouvelle, préférant me lancer dans des histoires longues. Mais j'aimerai, à travers cette petite histoire, faire passer un message. À vous de le comprendre.
Ce soir là, une pluie violente s'abattait sur toute la plaine. Une pluie violente mais sans vent, comme si la nature elle-même hésitait. Hésitait entre trouver cette soirée merveilleuse ou, au contraire, désastreuse.
Un homme, habillé d'une tenue sombre traversa tout le village en courant, une couverture dans les bras, sous les ordres de sa femme et contrôlé par sa propre décision. Arrivé aux portes de son village, il posa la couverture, gravé d'un prenom, sur la route. Des cris stridents d'un nouveau né se font entendre, pourtant l'homme répartit sans hésiter, le cœur léger.
Le lendemain fus un jour plus calme. La pluie avait cessé, les nuages dégageait le ciel lui donnant une magnifique teinte bleutée.
Le roi, ayant contrôle sur la plaine et les cinq montagnes habitées qui rodaient aux alentours, décida ce jour là de partir en promenade, laissant sa fille dans les bras de Morphée, accompagné de deux de ses serviteurs les plus fidèles. Le soleil tappait fermement sur ses cheveux noirs ébènes, mais, contrairement à certains, cette sensation l'apaisait. Au fond, cela lui rappela les escapades avec sa défunte femme, la mère de leur jolie fille.
Malgré les réminiscences qui surgissaient à nouveau dans son esprit, le roi fus des plus concentré sur le chemin.
- Alte ! ordonna-t-il soudainement, levant le bras pour faire signe.
Le roi descendit prudemment de son cheval blanc et se rapprocha silencieusement d'une couverture grise claire posée en boule sur le sol. De ses longs doigts fins, il ecarta les pends de cette dernière, laissant apparaître un doux visage endormis d'un bambin glacé par sa couverture encore humide. Il lu en chuchotant le prénom marqué au tissus : Liandro. Il prit avec prudence le petit garçon, les yeux pleins de pitié, d'amour et de tristesse.
Les serviteurs leverent les sourcils, surpris de voir leur roi le visage baigné par l'émotion.
- Liandro, mon petit, murmura le jeune roi, redonne le sourire à ma fille. Liandro, mon petit, mon pauvre petit, je te demande d'être heureux.
Les années passèrent rapidement, baigné dans le bonheur. Malgré leur quatres ans de différence, la princesse Ruby et le prince Liandro s'entenderent à merveille dès leur plus jeune âge, rendant les deux heureux. Ils étaient inséparables. Des meilleurs amis dont personne ne pourrait arracher ce lien si puissant. Parfois, même le roi se surpris à apprécier des moments avec sa nouvelle famille, sans sa femme.
Les dix-huit ans de Liandro se firent dans la joie et la bonne humeur. Ruby, d'une longue robe rouge, faisant ressortir ses cheveux noirs se rapprocha de Liandro, le sourire aux lèvres, entremêlant dans ses doigts les cheveux blonds or du prince.
- Tu as 18 ans maintenant. Félicitation. Tu me rends heureuse.
Peu de temps s'écoula avant qu'un nouveau membre de la famille arriva.
La nouvelle du nouvel héritier se diffusa rapidement dans tout le territoire. Liandro, le cœur sur la main, les larmes au yeux, partagea à la fois son expérience, remerciant le roi et la princesse de l'avoir accepté et d'avoir fait de lui un jeune homme comblé.
De l'autre côté de la plaine, se trouvait un couple heureux et récemment riche avec une petite fille magnifique aux longs cheveux blonds. À la vue du journal, et du beau prince Liandro à la chevelure soignée ainsi qu'à son fils avec la princesse Ruby, le couple eu une idée. Liandro était leur fils, ils allaient le récupérer, se rendant soudainement compte qu'ils aimaient Liandro plus que tout au monde.
Ramenant leur fille de huit ans avec eux, ils se rendirent au château dans de belles tenues les mettant en valeur. Le roi, commençant à se faire âgé, les accueillit avec bonté. Mais ses yeux s'attarderent sur la jeune fille au visage si familier pour lui.
- Votre Extrême Grandeur, commença l'homme d'une voix grave et posée, nous somes venus aujourd'hui à la rencontre du Liandro, notre cher et tendre fils.
Le coeur du roi se serra, cachant discrètement une grimace sur son visage ridé.
- Nous sommes fier de lui et nous aimerions le féliciter et lui montrer à quel point il compte beaucoup pour ma femme et moi. J'en suis sûr que ma fille ici présente serrait honorée de rencontrer son frère.
Le roi se racla la gorge :
- Navré de vous l'apprendre mais Prince Liandro n'accepte pas la visite d'inconnues. Si vous vouliez que votre fille connaisse son frère, vous ne l'auriez pas abandonné sur la route, pouvant se faire ecraser à chaque instant. Seriez vous fier de lui s'il avait finis pâtissier ? Je ne pense pas non. Vous êtes juste fierw de ce qu'il est devenue et non pas de sa personne. Non, je me trompe. Vous n'êtes pas fiers, vous êtes jaloux. Et tout ce que vous voulez c'est qu'on parle de vous disant que votre fils est devenue un prince heureux. Pensez vous vraiment que c'est la bonne chose à faire ? Pour votre bien et le bien de Liandro ? Bon, apres je sais que vous vous en fichez de bien de Liandro. Mais moi non. Car voyez vous, moi je suis son père. Non pas son géniteur mais son père. Tout ce que ressentiront les gens c'est de la haine envers vous. Vous n'êtes pas fier de votre fils mais de son image. Vous pouvez partir, merci.
Vous avez devinez ce dont je parle ?
Reponse (devinez d'abord si vous voulez) :
De la soif de gloire.
Je m'excuse, je ne sais pas ecrire des nouvelles…
Merci d'avoir lus même si c'est pas super. Je voulais juste faire passer un message.
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