Quand on lit ce mot, bien des gens frissonnent. Harcèlement...
Tu te lèves, la boule au ventre. La peur te crispe. Pourquoi devoir retourner dans cet endroit ?
Les autres te trouvent différent. Ils pensent que tu mérites ce harcèlement. Tu es résigné. Tu vas souffrir. Encore et encore, chaque jour de cours. Alors tu es là, devant l'entrée. Tu t'avances, regard baissé, essayant de ne pas être remarqué. En vain.
On te prend à part, et ce cirque recommence. Tu es traité comme un animal. Tu es un objet à leurs yeux. Alors tu supportes la douleur des coups, autant que ces insultes que tu vas subir tout au long de l'année. La salle de classe, les profs n'arrangent rien. Ils t'humilient, te rabaissent, se moquent de toi sous le rire de tes camarades. Tu retiens tes larmes, et qu'est-ce que c'est dur. Première pause, tu fonces aux toilettes. Tu as peur d'en sortir. Mais ils te trouvent. Être frappé jusqu'au bord de l'inconscience, rentrer vêtements déchirés, des plaies partout sur le corps. Et tu es détruit mentalement. Être traité comme un chien, tel est ton quotidien. Et tu vois ses gens, ayant des parents aimants, des amis et tout ce dont nous pourrions rêver, dire que leur vie est pourrie.
Et ça te rend mal. Tu es en colère, mais tellement triste à la fois. La fin des cours est là, et tu rentres lentement chez toi. Tu préfères ne pas t'y trouver. En rentrant qu'est-ce qui t'attend ? Non pas une étreinte chaleureuse, mais des reproches. Tes parents te reprochent de vivre. Mais toi, tu n'as jamais demandé à exister. Alors tu baisses la tête, et écoute tes parents te rabaisser.
Tu en as marre, tu veux partir. Mais tu dois tenir. Pour quelque chose, quelqu'un, un objectif.
Alors c'est avec courage qu'un jour, peut-être proche, peut-être loin, tu relèveras la tête et regarderas le monde de face.
« Tu mérites le bonheur, bien plus qu'eux. »
Tu te lèves, la boule au ventre. La peur te crispe. Pourquoi devoir retourner dans cet endroit ?
Les autres te trouvent différent. Ils pensent que tu mérites ce harcèlement. Tu es résigné. Tu vas souffrir. Encore et encore, chaque jour de cours. Alors tu es là, devant l'entrée. Tu t'avances, regard baissé, essayant de ne pas être remarqué. En vain.
On te prend à part, et ce cirque recommence. Tu es traité comme un animal. Tu es un objet à leurs yeux. Alors tu supportes la douleur des coups, autant que ces insultes que tu vas subir tout au long de l'année. La salle de classe, les profs n'arrangent rien. Ils t'humilient, te rabaissent, se moquent de toi sous le rire de tes camarades. Tu retiens tes larmes, et qu'est-ce que c'est dur. Première pause, tu fonces aux toilettes. Tu as peur d'en sortir. Mais ils te trouvent. Être frappé jusqu'au bord de l'inconscience, rentrer vêtements déchirés, des plaies partout sur le corps. Et tu es détruit mentalement. Être traité comme un chien, tel est ton quotidien. Et tu vois ses gens, ayant des parents aimants, des amis et tout ce dont nous pourrions rêver, dire que leur vie est pourrie.
Et ça te rend mal. Tu es en colère, mais tellement triste à la fois. La fin des cours est là, et tu rentres lentement chez toi. Tu préfères ne pas t'y trouver. En rentrant qu'est-ce qui t'attend ? Non pas une étreinte chaleureuse, mais des reproches. Tes parents te reprochent de vivre. Mais toi, tu n'as jamais demandé à exister. Alors tu baisses la tête, et écoute tes parents te rabaisser.
Tu en as marre, tu veux partir. Mais tu dois tenir. Pour quelque chose, quelqu'un, un objectif.
Alors c'est avec courage qu'un jour, peut-être proche, peut-être loin, tu relèveras la tête et regarderas le monde de face.
« Tu mérites le bonheur, bien plus qu'eux. »