Ce soir encore, sa respiration devient saccadée. Assise sur le sol froid, son corps est tremblant, secoué par le mal-être. Elle se sent sale. Ses larmes coulent sur son visage sans expression. Être enfermée dans son propre corps. Voilà ce que cette fille ressent. Elle est prisonnière d'elle-même. Son démon n'est que son reflet, il en fait des ragaves. Elle se prends la tête dans les mains, essayant de faire taire ces voix l'insultant, la rabaissant. Quand elle rentre chez elle, elle préfèrerait ne pas s'y trouver. De même dans son établissement scolaire. Elle voudrait arrêter les souvenirs des coups violents qu'elle enduraient. Elle étouffe. Elle veut hurler mais elle se tait. Elle veut sauter mais elle est restée. Elle veut tout abandonner, cesser de pleurer chaque soir, de se sentir opréssée et de ne vouloir que se tuer. Elle offre des magnifiques sourires aux gens, affirmant aller bien. Mais en fait, il n'en est rien. Le soir revient, et le manège recommence. L'enfer qu'elle vit vous est invisible.
Tout ça tourne à la démence. Elle a besoin de parler, mais son son mal-être la fait se taire. Et son corps tremble ! Les larmes coulent encore, dans un flot de chagrin. Et personne n'est jamais, non jamais, venu l'aider. Elle a dû tout supporter seule. Mentalement elle est à bout. Elle tombe en morceaux. Physiquement, elle cache ses blessures sous des bandages, bracelets et manches longues Elle recouvre ses cernes avec du maquillage, et cache sa douleur avec un beau sourire qu'elle vous offrira. Maintenant voyez ! Voyez la vérité. Elle vous a mentit, toute sa vie. Ce que vous ne savez pas c'est qu'elle a abandonné. Ils ont découvert son corps, pendu. Ses blessures, ses bras seulement couverts de coupures. Et cette lettre. Cette lettre tachée de sang et de larmes, pourtant lisible. Elle vous explique. Elle allait mal. Elle ne dormait plus. Elle devenait folle sous la douleur incessante qui lui déchirait le cœur. Et là encore, elle veut hurler, pleurer et de pas cacher sa dépression. Elle aurait voulue déambuler dans la rue et crier à l'aide. Mais c'est trop tard...
« Les mots ont toujours un double sens. »
Tout ça tourne à la démence. Elle a besoin de parler, mais son son mal-être la fait se taire. Et son corps tremble ! Les larmes coulent encore, dans un flot de chagrin. Et personne n'est jamais, non jamais, venu l'aider. Elle a dû tout supporter seule. Mentalement elle est à bout. Elle tombe en morceaux. Physiquement, elle cache ses blessures sous des bandages, bracelets et manches longues Elle recouvre ses cernes avec du maquillage, et cache sa douleur avec un beau sourire qu'elle vous offrira. Maintenant voyez ! Voyez la vérité. Elle vous a mentit, toute sa vie. Ce que vous ne savez pas c'est qu'elle a abandonné. Ils ont découvert son corps, pendu. Ses blessures, ses bras seulement couverts de coupures. Et cette lettre. Cette lettre tachée de sang et de larmes, pourtant lisible. Elle vous explique. Elle allait mal. Elle ne dormait plus. Elle devenait folle sous la douleur incessante qui lui déchirait le cœur. Et là encore, elle veut hurler, pleurer et de pas cacher sa dépression. Elle aurait voulue déambuler dans la rue et crier à l'aide. Mais c'est trop tard...
« Les mots ont toujours un double sens. »