C'est un extrait donc c'est loin d'être complet, j'ai tendance à faire du long donc difficile de faire une enquête en peu de lignes, il faudrait écrire un roman sinon x)
Donc voilà je ne sais pas si du coup je respecte le thème puisqu'on voit à peine le début de l'enquête, je voulais pas faire un texte trop long et je commençais à m'endormir dessus, bref, je suis dans les temps x)
Bonne lecture ^^
- Nous voici embarrassé ! ajouta Mr. Dubois en tournant vainement la poignée.
- Ce n'est pas une porte qui nous arrêtera. Poussez vous. Dit l'inspecteur.
Tous se décalèrent en de petits bousculements dans l'étroit couloir, et il fonça dans la porte pour tenter de l'ouvrir.
Mais comment l'inspecteur s'était-il retrouvé à enfoncer une porte dans les catacombes du manoir, accompagné de tous les suspects initiaux ? Laissez moi le temps de vous conter cette folle affaire qu'est le meurtre de Mr. Paulin.
* * *
Il était midi quand l'inspecteur Lafayette arriva au manoir. Vêtu tout le noir, le gousset à la main, il avançait rapidement. Derrière ses sourcils froncés, ses yeux faisaient des allez retours, scrutant les moindre détails du jardin qu'il traversait.
Le manoir était au bout de l'allée entourée d'arbre taillés en sphère. La demeure avait des allures de château, les murs en pierres, des ouvertures en alcôves, des toits en cônes, le tout dans des tons grisonnants, mais cela ne rendait pas le manoir moins charmant, au contraire.
L'inspecteur alla toquer à la grande porte. Il l'observa en attendant, elle était ornée de ferronnerie représentant des feuillages, et au centre, de profil étaient représentés les visages d'un homme et d'une femme, un sur chaque battant de porte, se regardant dans les yeux.
Un drôle de bonhomme presque chauve ouvrit soudainement à l'inspecteur.
Il avait le front suintant et les yeux hagards.
- Entrez, entrez ! Dit il en remuant nerveusement ses mains potelées.
Notre inspecteur entra et commença, comme à son habitude, à observer la pièce avant de rapidement sortir de sa poche une brindille dont l'une des extrémité était taillée en pointe. Il l'a posa au sol et la fit tourner.
C'était toujours par le hasard qu'il commençait ses enquêtes, c'était mieux de commencer ainsi selon lui, car sinon, on risquait de passer à côté d'éléments importants.
L'homme qui avait ouvert la porte était resté un moment abasourdi.
- Vous ne voulez pas parler à tout le monde ?
- Pas encore. Laissez moi le temps de découvrir les lieux, donnez moi une heure maximum. Dit il en se dirigeant vers la porte indiquée par le bout de bois.
- Une heure ! Mais on ne peut pas rester avec un meurtrier parmis nous une heure de plus !
- Il va bien falloir, Mr. ... Mr. comment ?
- Mr. Leveau. Hum... je peux peut-être vous aidez ? Pour... faire la visite ? Dit-il d'une voix tremblottante.
- Ce ne sera pas nécessaire, retournez avec les autres.
L'inspecteur fourrait déjà son nez dans les tiroirs, sans rien toucher, il ne faisait que regarder pour le moment.
La pièce dans laquelle il se trouvait comportait une grande bibliothèque sur l'un des murs puis un bureau au centre où il ne vit rien d'autre que des papiers sans trop d'importance.
En faisant le tour de la salle, il buta sur le tapis, le coin de celui ci était corné. Il le souleva alors. Il y avait dans le plancher une démarquation nette, une trappe.
C'était presque trop simple, il reviendrait ici plus tard, il fallait d'abord interroger les invités et leurs hôtes pour tirer toutes les informations nécessaires à la poursuite des recherches. Mais il avait trouvé sa première piste rapidement, il fallait toujours procéder ainsi pour avoir des questions déstabilisantes à poser aux suspects. C'était sa façon de faire, ce n'était pas pour rien qu'il était surnommé inspecteur La Fouine.
En sortant pour continuer sa visite, il remarqua sur un buffet, sous un imposant tableau, que le chandelier avait une bougie manquante sur les trois.
Donc voilà je ne sais pas si du coup je respecte le thème puisqu'on voit à peine le début de l'enquête, je voulais pas faire un texte trop long et je commençais à m'endormir dessus, bref, je suis dans les temps x)
Bonne lecture ^^
- Nous voici embarrassé ! ajouta Mr. Dubois en tournant vainement la poignée.
- Ce n'est pas une porte qui nous arrêtera. Poussez vous. Dit l'inspecteur.
Tous se décalèrent en de petits bousculements dans l'étroit couloir, et il fonça dans la porte pour tenter de l'ouvrir.
Mais comment l'inspecteur s'était-il retrouvé à enfoncer une porte dans les catacombes du manoir, accompagné de tous les suspects initiaux ? Laissez moi le temps de vous conter cette folle affaire qu'est le meurtre de Mr. Paulin.
* * *
Il était midi quand l'inspecteur Lafayette arriva au manoir. Vêtu tout le noir, le gousset à la main, il avançait rapidement. Derrière ses sourcils froncés, ses yeux faisaient des allez retours, scrutant les moindre détails du jardin qu'il traversait.
Le manoir était au bout de l'allée entourée d'arbre taillés en sphère. La demeure avait des allures de château, les murs en pierres, des ouvertures en alcôves, des toits en cônes, le tout dans des tons grisonnants, mais cela ne rendait pas le manoir moins charmant, au contraire.
L'inspecteur alla toquer à la grande porte. Il l'observa en attendant, elle était ornée de ferronnerie représentant des feuillages, et au centre, de profil étaient représentés les visages d'un homme et d'une femme, un sur chaque battant de porte, se regardant dans les yeux.
Un drôle de bonhomme presque chauve ouvrit soudainement à l'inspecteur.
Il avait le front suintant et les yeux hagards.
- Entrez, entrez ! Dit il en remuant nerveusement ses mains potelées.
Notre inspecteur entra et commença, comme à son habitude, à observer la pièce avant de rapidement sortir de sa poche une brindille dont l'une des extrémité était taillée en pointe. Il l'a posa au sol et la fit tourner.
C'était toujours par le hasard qu'il commençait ses enquêtes, c'était mieux de commencer ainsi selon lui, car sinon, on risquait de passer à côté d'éléments importants.
L'homme qui avait ouvert la porte était resté un moment abasourdi.
- Vous ne voulez pas parler à tout le monde ?
- Pas encore. Laissez moi le temps de découvrir les lieux, donnez moi une heure maximum. Dit il en se dirigeant vers la porte indiquée par le bout de bois.
- Une heure ! Mais on ne peut pas rester avec un meurtrier parmis nous une heure de plus !
- Il va bien falloir, Mr. ... Mr. comment ?
- Mr. Leveau. Hum... je peux peut-être vous aidez ? Pour... faire la visite ? Dit-il d'une voix tremblottante.
- Ce ne sera pas nécessaire, retournez avec les autres.
L'inspecteur fourrait déjà son nez dans les tiroirs, sans rien toucher, il ne faisait que regarder pour le moment.
La pièce dans laquelle il se trouvait comportait une grande bibliothèque sur l'un des murs puis un bureau au centre où il ne vit rien d'autre que des papiers sans trop d'importance.
En faisant le tour de la salle, il buta sur le tapis, le coin de celui ci était corné. Il le souleva alors. Il y avait dans le plancher une démarquation nette, une trappe.
C'était presque trop simple, il reviendrait ici plus tard, il fallait d'abord interroger les invités et leurs hôtes pour tirer toutes les informations nécessaires à la poursuite des recherches. Mais il avait trouvé sa première piste rapidement, il fallait toujours procéder ainsi pour avoir des questions déstabilisantes à poser aux suspects. C'était sa façon de faire, ce n'était pas pour rien qu'il était surnommé inspecteur La Fouine.
En sortant pour continuer sa visite, il remarqua sur un buffet, sous un imposant tableau, que le chandelier avait une bougie manquante sur les trois.