Bonjour,
Je publie ce message parce que je me pose une question depuis quelque temps et que j’aimerais bien avoir une réponse pour savoir quoi faire.
En fait, il se trouve que pendant les vacances d’ete (j’avait alors douze ans) je suis partie une semaine chez mes grands parents avec mes parents, mon oncle, ma tante et mes cousins (le plus âgée (appelons le A) avait 14ans et le plus jeune (appelons le B) 13ans).
Cette semaine la, on a appris que ma tante (une autre tante) avais un cancer très grave et dans l’affile, qui ne pouvait pas être soigné. Tout le monde était donc sur les nerfs, très stressé.
A remettais (je crois) toujours un peu sa nervosité sur moi e était super agressif. Il visait toujours mes complexe, me disant que j’etait grosse, moche, se montrant même extrêmement homophobe et sexiste.
Un soir, j’ai dormis sur la terrasse avec mes deux cousins. Ils m’ont proposés une action ou vérité et on va dire qu’il a un peu « dégénéré ».
A a dit: « On à trois jocker » Moi ça m’allait, ça ne me dérangeait pas au début. Le truc, c’est qu’ils m’ont données des actions et vérité vraiment hard et j’ai, donc, utilisé tous mes jocker rapidement.
Pour une action, A me demande de m’allonger, de fermer les yeux et de me laisser « caresser » pendant cinq minutes. J’etait super mal à l’aise et je savais vraiment pas comment réagir. Au début, j’ai refusé en boucle, je trouvais ça super bizarre j’etait hyper gênée face à la situation et j’ai un peu paniquée. Puis il a commencé à me traiter de chochotte, lache, faible,... Et vraiment il forçait. Du coup, j’ai finit par accepter pour qu’il me laisse tranquille et vu que ils n’etaient pas censé toucher ma poitrine et mon intimité. Bref, j’etait hyper mal, paniquée,...
Je m’allonge, je l’es laisse faire, et vu qu’ils ne tente rien, qu’il était super tard et que j’etais épuisée, je me détend et commence peu à peu, a m’endormir. Sauf que, A a posé sa main sur mon sein. Je savais pas du tout comment réagir, je me suis mis à paniquer vraiment beaucoup (j’ai un passé), et j’ai dit avec une espèce de rire nerveux : « Tu vas un peu loin la non ? ». Lui, il m’a répondu que c’etait rien, de me détendre et de le laisser faire. Ne savant pas quoi faire, je n’ai rien dit.
Je sais pas si vous avez déjà vécu ça mais un moment où ton cerveau se détache de ton corps ? En fait, j’etais consciente de ce qui m’arrivais, consciente de ma peure parce que mon cœur battait très vite et que j’etait au bords des larmes, consciente de mon dégoût parce que j’avais un goût très bizarre dans la bouche mais mes sentiments et ma capacité à réagir avaient totalement disparue. Je ne réfléchissais plus, ne pouvais plus rien faire, j’etais comme dans un sommeil éveillé, complètement figée. Je ne pensais qu’a ça complètement concentrée sur ses gestes mais pas plus. Je ne pouvais absolument rien faire.
Il a posé sa main sur mon intimité, touché ma poitrine à plusieurs reprise, passer sa main entre mes cuisses (je dors en tee-shirt large culotte) tout ça en dénigrant mon physique.
B avait l’air aussi mal à l’aise il a arrêter de me « caresser » ou à la limite, les bras.
Les cinq minutes étaient largement dépassés quand ils ont arrêter. Ensuite, ils m’ont proposés un autre action. J’avais arrêter de participer à la discussion, restant silencieuse, complètement bloquée sur ce qui venait de se passer. J’ai donc hoche la tête et agis machinalement. Ils m’ont demandés de retirer mon teeshirt et de le mettre en bandeau sur ma poitrine de façon à ce qu’il fasses une sorte de brassière. Je l’es fait, sous la couette. A plusieurs reprises, A a tenté de retirer la couette pour « rigoler », heureusement j’etais quand même assez réactive pour la retenir. Au moment où j’allais retirer la couette, « prête », super mal à l’aise, le père de mes cousins est entré pour nous dire de faire moins de bruits.
Je suis vraiment heureuse qu’il soit arrivéparce que ça m’a fait revenir à la réalité et j’ai donc réussi à tout arrêter.
J’ai fait semblant d’avoir ultra sommeil et de vouloir dormir.
Nous n’avons jamais reparlé de ce qui s’etait Passe ce soir la.
Après ça. j’ai, on va dire, oublier ce qui s’etait passer. Je veux dire que, si j’y repensais, qu’on m’en parlais, je m’en souvenais mais ça restais vraiment enfoncé sous plein d’autres souvenirs au fond de mon cerveau. Sauf que, il y a pas longtemps, il y a eu un événement qui a déclenché le fait que je m’en souvienne et que je me rende compte que c’etait Pas vraiment « normal ». Depuis, j’y pense vraiment tout le temps, j’ai super peure de me faire 💜 ou que ça recommence, je me dégoûte de m’etre laisse faire. Et en même temps j’aimerais presque qu’il sois allée au bout, qu’il m’ai 💜 pour avoir une véritable raison d’etre pas bien. Je me mutile parce que je déteste mon corps et pour éviter que si ça doit se reproduire, je me laisse faire cette fois, par risque qu’il voit mes cicatrices. J’ai peure de tout les hommes, même de mon père et je ne sais pas quoi faire. Je suis persuadée que c’est de ma faute vu que j’ai accepté.
Je ne peux en parler à personne vu que ça détruirais ma mère qui ai déjà en dépression, pas à ma psy vu qu’elle lui en parlerais. Je ne veux pas porter plainte vu que bah de toute manière ça ne mènerait arien, et que je l’apprécie quand même un peu.
Voila c’est tous si t’as lu jusque là merci beaucoup 😊.
Désolé pour le pavé j’en avais jamais parlé à personne et bon.
Je publie ce message parce que je me pose une question depuis quelque temps et que j’aimerais bien avoir une réponse pour savoir quoi faire.
En fait, il se trouve que pendant les vacances d’ete (j’avait alors douze ans) je suis partie une semaine chez mes grands parents avec mes parents, mon oncle, ma tante et mes cousins (le plus âgée (appelons le A) avait 14ans et le plus jeune (appelons le B) 13ans).
Cette semaine la, on a appris que ma tante (une autre tante) avais un cancer très grave et dans l’affile, qui ne pouvait pas être soigné. Tout le monde était donc sur les nerfs, très stressé.
A remettais (je crois) toujours un peu sa nervosité sur moi e était super agressif. Il visait toujours mes complexe, me disant que j’etait grosse, moche, se montrant même extrêmement homophobe et sexiste.
Un soir, j’ai dormis sur la terrasse avec mes deux cousins. Ils m’ont proposés une action ou vérité et on va dire qu’il a un peu « dégénéré ».
A a dit: « On à trois jocker » Moi ça m’allait, ça ne me dérangeait pas au début. Le truc, c’est qu’ils m’ont données des actions et vérité vraiment hard et j’ai, donc, utilisé tous mes jocker rapidement.
Pour une action, A me demande de m’allonger, de fermer les yeux et de me laisser « caresser » pendant cinq minutes. J’etait super mal à l’aise et je savais vraiment pas comment réagir. Au début, j’ai refusé en boucle, je trouvais ça super bizarre j’etait hyper gênée face à la situation et j’ai un peu paniquée. Puis il a commencé à me traiter de chochotte, lache, faible,... Et vraiment il forçait. Du coup, j’ai finit par accepter pour qu’il me laisse tranquille et vu que ils n’etaient pas censé toucher ma poitrine et mon intimité. Bref, j’etait hyper mal, paniquée,...
Je m’allonge, je l’es laisse faire, et vu qu’ils ne tente rien, qu’il était super tard et que j’etais épuisée, je me détend et commence peu à peu, a m’endormir. Sauf que, A a posé sa main sur mon sein. Je savais pas du tout comment réagir, je me suis mis à paniquer vraiment beaucoup (j’ai un passé), et j’ai dit avec une espèce de rire nerveux : « Tu vas un peu loin la non ? ». Lui, il m’a répondu que c’etait rien, de me détendre et de le laisser faire. Ne savant pas quoi faire, je n’ai rien dit.
Je sais pas si vous avez déjà vécu ça mais un moment où ton cerveau se détache de ton corps ? En fait, j’etais consciente de ce qui m’arrivais, consciente de ma peure parce que mon cœur battait très vite et que j’etait au bords des larmes, consciente de mon dégoût parce que j’avais un goût très bizarre dans la bouche mais mes sentiments et ma capacité à réagir avaient totalement disparue. Je ne réfléchissais plus, ne pouvais plus rien faire, j’etais comme dans un sommeil éveillé, complètement figée. Je ne pensais qu’a ça complètement concentrée sur ses gestes mais pas plus. Je ne pouvais absolument rien faire.
Il a posé sa main sur mon intimité, touché ma poitrine à plusieurs reprise, passer sa main entre mes cuisses (je dors en tee-shirt large culotte) tout ça en dénigrant mon physique.
B avait l’air aussi mal à l’aise il a arrêter de me « caresser » ou à la limite, les bras.
Les cinq minutes étaient largement dépassés quand ils ont arrêter. Ensuite, ils m’ont proposés un autre action. J’avais arrêter de participer à la discussion, restant silencieuse, complètement bloquée sur ce qui venait de se passer. J’ai donc hoche la tête et agis machinalement. Ils m’ont demandés de retirer mon teeshirt et de le mettre en bandeau sur ma poitrine de façon à ce qu’il fasses une sorte de brassière. Je l’es fait, sous la couette. A plusieurs reprises, A a tenté de retirer la couette pour « rigoler », heureusement j’etais quand même assez réactive pour la retenir. Au moment où j’allais retirer la couette, « prête », super mal à l’aise, le père de mes cousins est entré pour nous dire de faire moins de bruits.
Je suis vraiment heureuse qu’il soit arrivéparce que ça m’a fait revenir à la réalité et j’ai donc réussi à tout arrêter.
J’ai fait semblant d’avoir ultra sommeil et de vouloir dormir.
Nous n’avons jamais reparlé de ce qui s’etait Passe ce soir la.
Après ça. j’ai, on va dire, oublier ce qui s’etait passer. Je veux dire que, si j’y repensais, qu’on m’en parlais, je m’en souvenais mais ça restais vraiment enfoncé sous plein d’autres souvenirs au fond de mon cerveau. Sauf que, il y a pas longtemps, il y a eu un événement qui a déclenché le fait que je m’en souvienne et que je me rende compte que c’etait Pas vraiment « normal ». Depuis, j’y pense vraiment tout le temps, j’ai super peure de me faire 💜 ou que ça recommence, je me dégoûte de m’etre laisse faire. Et en même temps j’aimerais presque qu’il sois allée au bout, qu’il m’ai 💜 pour avoir une véritable raison d’etre pas bien. Je me mutile parce que je déteste mon corps et pour éviter que si ça doit se reproduire, je me laisse faire cette fois, par risque qu’il voit mes cicatrices. J’ai peure de tout les hommes, même de mon père et je ne sais pas quoi faire. Je suis persuadée que c’est de ma faute vu que j’ai accepté.
Je ne peux en parler à personne vu que ça détruirais ma mère qui ai déjà en dépression, pas à ma psy vu qu’elle lui en parlerais. Je ne veux pas porter plainte vu que bah de toute manière ça ne mènerait arien, et que je l’apprécie quand même un peu.
Voila c’est tous si t’as lu jusque là merci beaucoup 😊.
Désolé pour le pavé j’en avais jamais parlé à personne et bon.