Le monstre qui sommeil en moi hurle de rage,
combien de temps à l’enfermer en aurais-je le courage ?
Je t’attends toujours en vain,
dis moi est-ce vraiment la fin ?
Derrière mes lunettes se cache ma tristesse,
et dans un sourire je cache toute ma détresse.
Tu n’es toujours pas revenu,
te retenir est ce que j’aurais voulu.
Mais ta tristesse et ta mise en danger ont eu raison de moi,
n’as-tu pas vu la peur qui résidait au plus profond de moi ?
Je suis partie pour ton propre bien,
mais tu me fuis et je n’y comprends rien.
Quand la nuit tombe je repars à ta recherche,
dis moi à ton silence y a-t-il encore une brèche ?
Dans la nuit je me mets de plus en en danger,
car sans toi je ne sais pas comment avancer.
M’entends-tu lorsque je ne fais que suffoquer,
alors que mon coeur ne fait que m’étouffer ?
Je ne sais vraiment pas pourquoi tu t’éloignes,
mais j’attends toujours que tu me rejoignes.
Tu as toujours su où me trouver le soir,
je t’y attendrais jusqu’à mon dernier espoir.
combien de temps à l’enfermer en aurais-je le courage ?
Je t’attends toujours en vain,
dis moi est-ce vraiment la fin ?
Derrière mes lunettes se cache ma tristesse,
et dans un sourire je cache toute ma détresse.
Tu n’es toujours pas revenu,
te retenir est ce que j’aurais voulu.
Mais ta tristesse et ta mise en danger ont eu raison de moi,
n’as-tu pas vu la peur qui résidait au plus profond de moi ?
Je suis partie pour ton propre bien,
mais tu me fuis et je n’y comprends rien.
Quand la nuit tombe je repars à ta recherche,
dis moi à ton silence y a-t-il encore une brèche ?
Dans la nuit je me mets de plus en en danger,
car sans toi je ne sais pas comment avancer.
M’entends-tu lorsque je ne fais que suffoquer,
alors que mon coeur ne fait que m’étouffer ?
Je ne sais vraiment pas pourquoi tu t’éloignes,
mais j’attends toujours que tu me rejoignes.
Tu as toujours su où me trouver le soir,
je t’y attendrais jusqu’à mon dernier espoir.