J'ai écrit une chanson sur le syndrome du sauveur pour expliquer ma situation et Pour ceux qui se reconnaissent. Et je voulais savoir si quelqu'un serait comment s'en débarrasser voilà. Car comme je l'ai dit dans la chanson ça fait partie des choses qui me fatiguent quotidiennement.
"Sauveur Égaré".
(Refrain)
Dans mon cœur de sauveur, je m'oublie souvent,
À force de secourir, je perds mes sentiments.
C'est un trouble, un fardeau qui m'accable,
Car je sacrifie mon bonheur pour les autres, inlassable.
(Couplet)
Je suis l'architecte de mes propres chagrins,
À trop vouloir aider, je m'égare dans le lointain.
Dans l'ombre de mes actions, je lutte et je me perds,
Mais au fond de moi, je sens que quelque chose se brise, se mutile.
(Refrain)
Dans mon cœur de sauveur, je m'oublie souvent,
À force de secourir, je perds mes sentiments.
C'est un trouble, un fardeau qui m'accable,
Car je sacrifie mon bonheur pour les autres, inlassable.
(Couplet)
Les blessures des autres, je les sens comme des lames,
Je m'enivre de leur peine, je m'égare dans mes drames.
Mais quand viendra mon tour, qui sera là pour me relever ?
Je suis le sauveur de tous, mais qui sera le mien pour m'élever ?
(Pont)
Dans le miroir de mes remords, je vois un étranger,
Un visage épuisé, marqué par le poids du danger.
Je veux être fort, je veux être brave, mais je m'effondre,
Dans cette danse sans fin, où je sauve les autres mais me noie dans mon monde.
(Refrain)
Dans mon cœur de sauveur, je m'oublie souvent,
À force de secourir, je perds mes sentiments.
C'est un trouble, un fardeau qui m'accable,
Car je sacrifie mon bonheur pour les autres, inlassable.
(Outro)
Dans l'obscurité de mes pensées, je cherche une issue,
Un moyen de me libérer de ce fardeau, de cette mue.
Peut-être un jour, je trouverai l'équilibre, la paix,
Et je pourrai enfin me sauver, me libérer de ce poids qui me met en travers.
"Sauveur Égaré".
(Refrain)
Dans mon cœur de sauveur, je m'oublie souvent,
À force de secourir, je perds mes sentiments.
C'est un trouble, un fardeau qui m'accable,
Car je sacrifie mon bonheur pour les autres, inlassable.
(Couplet)
Je suis l'architecte de mes propres chagrins,
À trop vouloir aider, je m'égare dans le lointain.
Dans l'ombre de mes actions, je lutte et je me perds,
Mais au fond de moi, je sens que quelque chose se brise, se mutile.
(Refrain)
Dans mon cœur de sauveur, je m'oublie souvent,
À force de secourir, je perds mes sentiments.
C'est un trouble, un fardeau qui m'accable,
Car je sacrifie mon bonheur pour les autres, inlassable.
(Couplet)
Les blessures des autres, je les sens comme des lames,
Je m'enivre de leur peine, je m'égare dans mes drames.
Mais quand viendra mon tour, qui sera là pour me relever ?
Je suis le sauveur de tous, mais qui sera le mien pour m'élever ?
(Pont)
Dans le miroir de mes remords, je vois un étranger,
Un visage épuisé, marqué par le poids du danger.
Je veux être fort, je veux être brave, mais je m'effondre,
Dans cette danse sans fin, où je sauve les autres mais me noie dans mon monde.
(Refrain)
Dans mon cœur de sauveur, je m'oublie souvent,
À force de secourir, je perds mes sentiments.
C'est un trouble, un fardeau qui m'accable,
Car je sacrifie mon bonheur pour les autres, inlassable.
(Outro)
Dans l'obscurité de mes pensées, je cherche une issue,
Un moyen de me libérer de ce fardeau, de cette mue.
Peut-être un jour, je trouverai l'équilibre, la paix,
Et je pourrai enfin me sauver, me libérer de ce poids qui me met en travers.