Au milieu de cette marée humaine,
Perdu dans l'obscurité de l'incertitude,
Je vis ta silhouette porcelaine,
Épurant le champs de ma triste solitude,
Dans cet espace cloîtré et insalubre en mouvement,
Accueillant des plus humbles aux plus méfiants,
Je pouvais voir cette lueur d'espoir dans ce regard envoyé timidement,
Accorder ta bonté d'âme aux plus désolants,
Pensai-je être dans un mirage, roturier égaré de la réalité froide,
Encouragé par la nécessité de nourrir mon inconscience,
Je levais les yeux, dans cet univers fade,
Rencontrant ta petite bouille éveillant ma conscience,
Je l'entendais, ce chant harmonieux rutilant en toi,
Qui aurait fait s'égosiller les oiseaux de la nature chatoyante,
Si puissant et fringuant de foi,
Au bord des larmes, je pouvais jurer l'attraction éprouvé à cet instant,
Alors que le véhicule hurlait de ces moteurs bruyants,
J'apercevais la lumière au bout du tunnel rayonnant,
Défait du champs de vision de ta grâce lumineuse me happant,
J'entendis les tambours de la pleutrerie retentir, signalant mon étourdissement,
"C'est terminé, petit bonhomme", musique funeste déchirante, chantre de la malfaisance,
Je m'extirpis alors de ta chaleureuse emprise,
Emportant à jamais avec moi des remords démoralisants,
Sans nier l'évidence, d'avoir triomphé en t'offrant mon cœur si petit.
Perdu dans l'obscurité de l'incertitude,
Je vis ta silhouette porcelaine,
Épurant le champs de ma triste solitude,
Dans cet espace cloîtré et insalubre en mouvement,
Accueillant des plus humbles aux plus méfiants,
Je pouvais voir cette lueur d'espoir dans ce regard envoyé timidement,
Accorder ta bonté d'âme aux plus désolants,
Pensai-je être dans un mirage, roturier égaré de la réalité froide,
Encouragé par la nécessité de nourrir mon inconscience,
Je levais les yeux, dans cet univers fade,
Rencontrant ta petite bouille éveillant ma conscience,
Je l'entendais, ce chant harmonieux rutilant en toi,
Qui aurait fait s'égosiller les oiseaux de la nature chatoyante,
Si puissant et fringuant de foi,
Au bord des larmes, je pouvais jurer l'attraction éprouvé à cet instant,
Alors que le véhicule hurlait de ces moteurs bruyants,
J'apercevais la lumière au bout du tunnel rayonnant,
Défait du champs de vision de ta grâce lumineuse me happant,
J'entendis les tambours de la pleutrerie retentir, signalant mon étourdissement,
"C'est terminé, petit bonhomme", musique funeste déchirante, chantre de la malfaisance,
Je m'extirpis alors de ta chaleureuse emprise,
Emportant à jamais avec moi des remords démoralisants,
Sans nier l'évidence, d'avoir triomphé en t'offrant mon cœur si petit.
Dernière édition: