De là-haut, sur vous je veille.
Malheureusement, vous ne vous portez pas à merveille.
Est-ce que les regrets s'éveillent ?
J'ai sauté le pas, merci la corde.
Ma disparition ne devait pas créer la discorde.
Vous qui vous êtes moqués de moi, durant toutes ces années.
Mais maintenant c'est terminé.
Vous allez donc trouver une autre personne à harceler ?
Quelqu'un qui, bien vite me rejoindrait ?
Je croyais trouver le repos, car la vie n'était pas un cadeau.
Au contraire, elle était une opression, un fardeau.
Je suis partie rejoindre les cieux.
Car durant toute ma vie, on m'a lancé des pieux.
Alors pourquoi je ne vais toujours pas bien ?
Pourquoi me maudissez-vous pour rien ?
Je suis désolée.
Désolée si je respirais.
Désolée si je vivais.
Il n'y a personne pour me regretter.
Même morte, dans mon dos vous continuez de cracher.
Aurais-je un jour la paix ?
Ou est-ce encore un mensonge duquel on m'a bercé ?
L'ange est taché de sang.
En train de tomber sous le regard de ces gens riants.
Pourquoi le bonheur, même au paradis, reste simplement un mot pour moi ?
Un mot que toute m'a vie je me suis répété, en me disant, "J'y crois !".
La bonne blague.
Vos remarques me fesaient l'effet d'une dague.
J'avais lancé cet appel mourrant.
C'est resté sur "appel entrant".
Personne n'a entendu ma détresse.
Si, vous l'avez bien vue, mais ignoré mon S.O.S.
Vous êtes comme les autres.
À vouloir qu'à vos pieds je me vautre.
Des meurtriers.
Trop tard pour regretter.
Des menteurs.
Vous m'avez tuée dans la douleur.
À mon enterrement, ne venez pas pleurer.
C'était avant qu'aux conséquences il fallait penser.
Je vous pris de m'excuser.
À mon repos je vais m'abandonner.
Malheureusement, vous ne vous portez pas à merveille.
Est-ce que les regrets s'éveillent ?
J'ai sauté le pas, merci la corde.
Ma disparition ne devait pas créer la discorde.
Vous qui vous êtes moqués de moi, durant toutes ces années.
Mais maintenant c'est terminé.
Vous allez donc trouver une autre personne à harceler ?
Quelqu'un qui, bien vite me rejoindrait ?
Je croyais trouver le repos, car la vie n'était pas un cadeau.
Au contraire, elle était une opression, un fardeau.
Je suis partie rejoindre les cieux.
Car durant toute ma vie, on m'a lancé des pieux.
Alors pourquoi je ne vais toujours pas bien ?
Pourquoi me maudissez-vous pour rien ?
Je suis désolée.
Désolée si je respirais.
Désolée si je vivais.
Il n'y a personne pour me regretter.
Même morte, dans mon dos vous continuez de cracher.
Aurais-je un jour la paix ?
Ou est-ce encore un mensonge duquel on m'a bercé ?
L'ange est taché de sang.
En train de tomber sous le regard de ces gens riants.
Pourquoi le bonheur, même au paradis, reste simplement un mot pour moi ?
Un mot que toute m'a vie je me suis répété, en me disant, "J'y crois !".
La bonne blague.
Vos remarques me fesaient l'effet d'une dague.
J'avais lancé cet appel mourrant.
C'est resté sur "appel entrant".
Personne n'a entendu ma détresse.
Si, vous l'avez bien vue, mais ignoré mon S.O.S.
Vous êtes comme les autres.
À vouloir qu'à vos pieds je me vautre.
Des meurtriers.
Trop tard pour regretter.
Des menteurs.
Vous m'avez tuée dans la douleur.
À mon enterrement, ne venez pas pleurer.
C'était avant qu'aux conséquences il fallait penser.
Je vous pris de m'excuser.
À mon repos je vais m'abandonner.