Elle avance dans le silence de mes larmes,
Cette ennemie qui s'acharne.
Que le vent m'emporte au loin sans voix,
Comme un pétale qui se noie,
Que l'on efface sur ma peau sensible,
Le mal qui depuis longtemps me crible.
Mes mains parcourent ces traces,
Essayer de les faire partir j'en suis lasse.
Les bras autour de mon corps,
Je le regarde qui me dévore,
Ce mal qui m'habite en surface
Et persiste quand je lui fais face.
La douleur vient de mon cœur
Qui ne voit pas d'horizon sans pleurs.
Qu'on m'entraîne ailleurs, loin d'ici,
Que l'on m'enlève enfin cette maladie.
Cette ennemie qui s'acharne.
Que le vent m'emporte au loin sans voix,
Comme un pétale qui se noie,
Que l'on efface sur ma peau sensible,
Le mal qui depuis longtemps me crible.
Mes mains parcourent ces traces,
Essayer de les faire partir j'en suis lasse.
Les bras autour de mon corps,
Je le regarde qui me dévore,
Ce mal qui m'habite en surface
Et persiste quand je lui fais face.
La douleur vient de mon cœur
Qui ne voit pas d'horizon sans pleurs.
Qu'on m'entraîne ailleurs, loin d'ici,
Que l'on m'enlève enfin cette maladie.