Petite histoire Ă©crite par moiâš. Dites moi ce que vous en pensez. Je tien Ă prĂ©ciser y a pas de vĂ©cus derriĂšre đ
. Ah et jâai repris quelque texte ou citation que jâai trouvĂ© dans des recueils de texte triste sur wattpad.
Voila:
« Je mâallongeais Ă ses cĂŽtĂ©s, fixais le ciel, et les Ă©toiles qui y brillaient et la lune, la lune nous Ă©clairant dâun halo dâune tristesse infinie. Jâentendais ses sanglots, je sentais sa main tremblait et ses larmes qui coulaient le long de ses joues pour venir sâĂ©crasaient au sol, je les distinguais. On pouvait voir y reflĂ©tait lâhorizon, et je remarquais que la lumiĂšre des astres y Ă©taient plus forte quâailleurs. Je saisis ses doigts et les serras, lui signifiant ainsi que jâĂ©tais la, que je lâaimais et que jâĂ©tais prĂȘte Ă lâĂ©couter. Le voir ainsi me brisais le cĆur comme le siens lâĂ©tait. Je me refusais Ă rompre ce moment, le silence nous enveloppant comme un voile, nous protĂ©geant du reste du monde. Il est souvent plus simple de se taire, de ne rien dire mais je me dĂ©cidait finalement Ă parler, Ă murmurer devrais je dire.
-Quâes ce qui ne va pas ?
Je le sentis se crispais, sa main lĂącha la mienne et ses sanglots se firent plus fort. Il se releva en un bond, posa ses yeux ardents sur moi et sâĂ©cria :
-Quâes ce qui ne va pas ?! TOUT!! ComplĂštement tout ! Ma vie ! TOUTE MA VIE.
Sa voix grondait, je ne lâavait vu que rarement cĂ©dais Ă la colĂšre. Je ne savais que faire, la peure commençait Ă mâenveloppait. Jâavait merder. Jâaurais dĂ» la fermer. Suivre la facilitait pour une fois...
Quelle intelligence bravo.
Je ne dis rien prĂ©fĂ©rant lâĂ©couter. Mais il ne parla pas. Il fixas le vide, silencieux. Il ne sâarrĂȘta pas de pleurais, non. Ces pleurs Ă©taient juste plus dĂ©sespĂ©rĂ©, plus sombre, plus fort Ă mon oreille. Jâaimerais lui dire Ă quel point il Ă©tait important pour moi, Ă quel point il reprĂ©sentait tout pour moi, jâaimerais lui dire la douleur que je ressentait quand je lâentendais renifler, jâaimerais lui dire, lui montrer, la façon dont mon cĆur rĂ©agissais quand jâĂ©tais Ă ses cĂŽtĂ©, mon envie dâĂȘtre prĂšs de lui, sans cesse. Jâaimerais lui dire... jâaimerais avoir la force de lui dire, la force de lui dire je tâaime.
Je tâaime et tu compte pour moi.
Et je crois, je crois que je suis amoureuse de toi.
Et mĂȘme si lâamour brise, mĂȘme si lâamour dĂ©truit, je veux la vivre avec toi.
Je veux voir ton sourire.
Je veux te voir heureux.
Je veux entendre ton rire.
Et p***ain... p***ain quâest ce que je tâaime.
Jâaimerais lui dire tout ça.
-Jâaimerais que les gens fasse attention Ă moi... J'aimerais beaucoup que quelqu'un s'inquiĂšte pour moi. Qu'il me dise que ca lui ferait de la peine si je partirais a jamais. Qu'il m'empĂȘche de me faire du mal. Quâil reste avec moi. Et mĂȘme si je fond en larmes ou que je souris trop, jâaimerais quâil reste avec moi. Mais tu sais quoi? Les gens comme sa, cela n'existe pas. Il vont entrĂ© dans ta vie, ils vont t'aider, puis, quand ils pensent que tu vas mieux, ils partent. Mais toi tu es encore brisĂ©. Tu as encore besoin de leur aide, mais ils ne sont plus lĂ . Car personnes reste dĂ©finitivement dans ta vie. MalgrĂ© le fait que sourire ne soit plus une option, malgrĂ© le fait que tu as de la difficultĂ© Ă rester en vie, ils partent. Les gens croient que si ils te blessent , mais qu'ensuite ils rĂ©parent leur erreurs, tout va bien. Mais non. Les cicatrices sont toujours prĂ©sentes elles. Et elles le resteront toujours. Les gens se plaignent que tu changes. Mais personne ne se rends compte que tu changes Ă cause de leur mĂ©chancetĂ©. C'est de leur faute si j'ai changĂ© murmura tâil.
Je me levais, saisit ses mains et croisais son regard. CâĂ©tait un regard entiĂšrement perdu, vide de sens. Un regard qui cherchait Ă comprend pourquoi il Ă©tait lĂ . Un regard qui avait vu trop de choses en si peu de temps, qui avait vĂ©cu trop de choses.
-Et moi ? Moi je fait attention Ă toi. Moi je vois ta dĂ©tresse. Jâentend tes appels Ă lâaide. Moi je suis lĂ quand tu en as besoin. Toujours. Je serais toujours lĂ .
Je te le promet.
Nos souffles se mĂ©langĂšrent, il Ă©tait si prĂšs que jâentendais chacune de ses respirations clairement. Et câest la, sous le ciel Ă©toilĂ©, dans la nuit sombre, lĂ oĂč notre histoire commença, quâil mâembrassa.
CâĂ©tait un baiser passionnĂ©. Un baiser dĂ©sespĂšre. De ces baisers dont tu te souviendras toute ta vie. Un baiser qui te rĂ©chauffe de lâintĂ©rieur.
Mais câĂ©tait aussi un baiser trop rapide, un baiser quâexĂ©cutait deux personnes trop seul pour rĂ©ellement comprendre ce quâil leur arriver. Un baiser trop brĂ»lant pour ĂȘtre rĂ©el. »
Je vous met la suite dans les commentaires, jâarrive pas Ă Ă©crire plusđ đ«
Voila:
« Je mâallongeais Ă ses cĂŽtĂ©s, fixais le ciel, et les Ă©toiles qui y brillaient et la lune, la lune nous Ă©clairant dâun halo dâune tristesse infinie. Jâentendais ses sanglots, je sentais sa main tremblait et ses larmes qui coulaient le long de ses joues pour venir sâĂ©crasaient au sol, je les distinguais. On pouvait voir y reflĂ©tait lâhorizon, et je remarquais que la lumiĂšre des astres y Ă©taient plus forte quâailleurs. Je saisis ses doigts et les serras, lui signifiant ainsi que jâĂ©tais la, que je lâaimais et que jâĂ©tais prĂȘte Ă lâĂ©couter. Le voir ainsi me brisais le cĆur comme le siens lâĂ©tait. Je me refusais Ă rompre ce moment, le silence nous enveloppant comme un voile, nous protĂ©geant du reste du monde. Il est souvent plus simple de se taire, de ne rien dire mais je me dĂ©cidait finalement Ă parler, Ă murmurer devrais je dire.
-Quâes ce qui ne va pas ?
Je le sentis se crispais, sa main lĂącha la mienne et ses sanglots se firent plus fort. Il se releva en un bond, posa ses yeux ardents sur moi et sâĂ©cria :
-Quâes ce qui ne va pas ?! TOUT!! ComplĂštement tout ! Ma vie ! TOUTE MA VIE.
Sa voix grondait, je ne lâavait vu que rarement cĂ©dais Ă la colĂšre. Je ne savais que faire, la peure commençait Ă mâenveloppait. Jâavait merder. Jâaurais dĂ» la fermer. Suivre la facilitait pour une fois...
Quelle intelligence bravo.
Je ne dis rien prĂ©fĂ©rant lâĂ©couter. Mais il ne parla pas. Il fixas le vide, silencieux. Il ne sâarrĂȘta pas de pleurais, non. Ces pleurs Ă©taient juste plus dĂ©sespĂ©rĂ©, plus sombre, plus fort Ă mon oreille. Jâaimerais lui dire Ă quel point il Ă©tait important pour moi, Ă quel point il reprĂ©sentait tout pour moi, jâaimerais lui dire la douleur que je ressentait quand je lâentendais renifler, jâaimerais lui dire, lui montrer, la façon dont mon cĆur rĂ©agissais quand jâĂ©tais Ă ses cĂŽtĂ©, mon envie dâĂȘtre prĂšs de lui, sans cesse. Jâaimerais lui dire... jâaimerais avoir la force de lui dire, la force de lui dire je tâaime.
Je tâaime et tu compte pour moi.
Et je crois, je crois que je suis amoureuse de toi.
Et mĂȘme si lâamour brise, mĂȘme si lâamour dĂ©truit, je veux la vivre avec toi.
Je veux voir ton sourire.
Je veux te voir heureux.
Je veux entendre ton rire.
Et p***ain... p***ain quâest ce que je tâaime.
Jâaimerais lui dire tout ça.
-Jâaimerais que les gens fasse attention Ă moi... J'aimerais beaucoup que quelqu'un s'inquiĂšte pour moi. Qu'il me dise que ca lui ferait de la peine si je partirais a jamais. Qu'il m'empĂȘche de me faire du mal. Quâil reste avec moi. Et mĂȘme si je fond en larmes ou que je souris trop, jâaimerais quâil reste avec moi. Mais tu sais quoi? Les gens comme sa, cela n'existe pas. Il vont entrĂ© dans ta vie, ils vont t'aider, puis, quand ils pensent que tu vas mieux, ils partent. Mais toi tu es encore brisĂ©. Tu as encore besoin de leur aide, mais ils ne sont plus lĂ . Car personnes reste dĂ©finitivement dans ta vie. MalgrĂ© le fait que sourire ne soit plus une option, malgrĂ© le fait que tu as de la difficultĂ© Ă rester en vie, ils partent. Les gens croient que si ils te blessent , mais qu'ensuite ils rĂ©parent leur erreurs, tout va bien. Mais non. Les cicatrices sont toujours prĂ©sentes elles. Et elles le resteront toujours. Les gens se plaignent que tu changes. Mais personne ne se rends compte que tu changes Ă cause de leur mĂ©chancetĂ©. C'est de leur faute si j'ai changĂ© murmura tâil.
Je me levais, saisit ses mains et croisais son regard. CâĂ©tait un regard entiĂšrement perdu, vide de sens. Un regard qui cherchait Ă comprend pourquoi il Ă©tait lĂ . Un regard qui avait vu trop de choses en si peu de temps, qui avait vĂ©cu trop de choses.
-Et moi ? Moi je fait attention Ă toi. Moi je vois ta dĂ©tresse. Jâentend tes appels Ă lâaide. Moi je suis lĂ quand tu en as besoin. Toujours. Je serais toujours lĂ .
Je te le promet.
Nos souffles se mĂ©langĂšrent, il Ă©tait si prĂšs que jâentendais chacune de ses respirations clairement. Et câest la, sous le ciel Ă©toilĂ©, dans la nuit sombre, lĂ oĂč notre histoire commença, quâil mâembrassa.
CâĂ©tait un baiser passionnĂ©. Un baiser dĂ©sespĂšre. De ces baisers dont tu te souviendras toute ta vie. Un baiser qui te rĂ©chauffe de lâintĂ©rieur.
Mais câĂ©tait aussi un baiser trop rapide, un baiser quâexĂ©cutait deux personnes trop seul pour rĂ©ellement comprendre ce quâil leur arriver. Un baiser trop brĂ»lant pour ĂȘtre rĂ©el. »
Je vous met la suite dans les commentaires, jâarrive pas Ă Ă©crire plusđ đ«