H
Anonyme
Je me sens vide.
Plus aucune émotions.
Je fais souffrir ma famille s’en m’en rendre compte.
Je regarde ma mère pleurer de toute ses force et crier toute son âme par ma faute et je reste de marbre. Comme ci je n’étais pas là.
Suis-je un monstre ? Suis-je une mauvaise personne ?
Moi qui pense être un gentil garçon, plein de coeur et d’empathie pour tout le monde.
Je me trompe ?
Aucune idée.
J’ai tellement de souffrance que je ne la vois plus.
Je ne m’autorise pas à avoir mal.
J’en ai même honte, parce qu’autour de moi ma famille souffre et leur souffrance est visible.
J’essaye d’être la pour eux mais ça n’a pas l’air de suffire.
Je ne comprend pas ce qui est attendu de moi.
Ou alors je ne souhaite pas le donner.
Je ne sais pas.
Je ne sais plus.
Je ne reconnais plus le bien du mal.
Je ne sais plus où sont mes limites.
Si j’ai des valeurs ou des principes.
Je me sens seul.
Je suis seul.
La solitude et l’enfermement me bouffe quotidiennement.
Je ne sais pas comment agir ou faire.
Quelles sont mes solutions.
J’ai l’impression de ne jamais bien faire.
De ne pas être un bon croyant.
Un bon fils.
Un bon frère.
Un bon ami.
Un bon élève.
Un bon citoyen.
Je ne sais pas qui je suis.
Et je ne l’ai jamais su.
Depuis bientôt 24 ans d’existence.
J’ai juste l’impression de vivre.
Mes nuits sont mes journées.
J’y vois des milliers de choses.
Je ne sais plus quand est ce que je suis vraiment endormis.
Je me parle même dans mon sommeil.
La remise en question de ma personne est la chose que je fais le plus.
Le manque de confiance en moi est si présent.
Je ne suis pas à la hauteur de la vie.
J’ai autant envie de la vivre que de la quitté.
Ce sentiment d’espoir me détruit de jour en jour.
Je ne reçois pas et plus d’amour depuis un moment.
Si demain je disparait, seule ma mère, ma soeur, mon père, mon frère et mon seul ami en auront la connaissance.
Et cela juste parce qu’il me côtoie dans leur vie.
Mon bonheur est pourtant si simple.
Je ne demande qu’à être heureux, simplement.
La pauvreté m’a anéanti ma famille et moi.
Des gens nous nuisent au quotidien, nous souhaite la mort et le mal.
Je n’ai pas envie de faire de reproche à mon entourage qui m’ont fais et me font encore souffrir.
Je veux juste leur bonheur et faire table rase de ses 23 années de souffrance absolue.
Les moments de joies sont si faible comparés à la souffrance.
Je m’éteins à petit feu.
Je me sens inutile.
Je me sens faible.
Je me sens lâche.
Je me sens égoïste.
Je me sens coupable des malheurs de ma famille.
J’ai le sentiment de pouvoir faire plus.
J’ai le sentiment de devoir faire plus.
Je n’ai même pas la courage d’en finir avec la vie.
J’ai peur.
Non pas de ce qu’il m’attend après.
J’ai peur de le faire.
Je n’ai pas d’ami.
Je n’ai personne sur qui compter ou partager de bon moment.
Je ressens le besoin d’exister au yeux de personnes de ce monde.
J’ai le besoin qu’on prenne de mes nouvelles.
J’ai le besoin qu’on se soucie de moi.
J’ai le besoin de recevoir de l’affection.
J’ai le besoin d’avoir de l’attention.
Sentir que je compte.
Sentir que j’existe et que l’on soucis de moi.
J’ai mal.
Mais sans avoir mal.
J’écris ses choses sans vraiment de but.
J’ai autant l’envie de m’exprimer que de me taire.
J’ai autant l’envie d’avancer que d’abandonner.
J’ai juste besoin de me sentir aimer et soutenu.
J’ai toujours soutenu les gens qui m’entour.
Même des gens que je ne connais même pas.
Je suis de nature protagoniste.
Ma gentillesse et mon coeur son si facile à appréhender.
Je suis un livre ouvert.
Je suis naïf.
Je pense que tout le monde est gentil et comme moi.
Je ne pense pas avoir ma place dans ce monde.
Pas en étends moi même.
Je ne comprends pas le sens de la vie.
Je ne l’ai jamais vraiment compris.
La religion est une clés que je n’ai pas trouver.
Je prie au quotidien et ceux depuis des années.
Est ce suffisant ?
Que dois-je fais de plus ?
Je donne sans compter, même si je n’ai pas.
Je ne sais pas comment vivre.
Je suis épuisé.
Personne ne le comprend.
Personne ne m’en donne le droit.
Je suis jeune et mon esprit est remplis de rêve tout aussi différent les uns que les autres.
Mes proches n’ont pas conscience de ce sue j’endure.
Ils minimisent ma souffrance car, elle n’est pas visible.
Je suis de nature très joviale.
Souriant.
J’aime faire rire et apporter du bonheur au autres.
Mais qui pense à le faire pour moi ?
Qui souffre pour mon bonheur ?
Qui sacrifie son énergie, son temps, sa personne pour moi ?
Ne serais-ce que partiellement.
Je ne demande pas la lune.
Je demande juste voir de l’amour dans les yeux des gens quand ils parlent ou pensent à moi.
J’ai des lacunes de vies.
Mon être est un handicap pour moi.
J’aurais aimer être une personne dépourvue de toute intelligence émotionnelle.
De sentiments.
De gentillesse.
Être en pierre.
J’aimerais être compris tout simplement.
Être écouter avec compassion.
Pleurer quelques larmes de soulagement.
Prendre du repos sur ma vie.
Mes épaules sont lourdes.
La charge mentale que je porte me pèse à l’accès.
Je ne me reconnais plus.
Je ne me retrouve plus.
Je me suis perdu.
J’aimerais que la vie me fasse un cadeau.
Qu’elle se facilite.
Que le chemin se nettoie des encombres.
Ou alors que la vie m’emporte.
Je suis surement passer à côté de pleins de choses.
Cependant, ces quelques lignes ne sont que moi.
Sans aucun filtre.
Aucun tabou.
Aucune gêne ni retenue.
Elles sont spontanées et sans calculs.
C’est la première que je fais cela.
Je n’attends pas grand choses en écrivant cela.
Peux être, est-ce un exutoire ?
Ou un simple appel à l’aide.
Cependant je ne suis qu’une personne en souffrance parmi tant d’autres.
Chacun porte son fardeau.
Il n’y a pas de fardeau plus lourd que l’autre.
Seulement des fardeaux.
Ce n’est pas un concours.
Je me souhaite de ne plus jamais avoir besoin de faire cela.
Je me souhaite tout le bonheur du monde.
De me retrouver.
De m’aimer.
De me faire confiance.
D’être loyale à ma personne.
De m’aider.
De réussir.
De sortir de cette situation le plus vite possible.
Et je souhaite tout le bonheur que ce monde puisse offrir aux personnes que j’aime.
Prenez soin de vous.
Plus aucune émotions.
Je fais souffrir ma famille s’en m’en rendre compte.
Je regarde ma mère pleurer de toute ses force et crier toute son âme par ma faute et je reste de marbre. Comme ci je n’étais pas là.
Suis-je un monstre ? Suis-je une mauvaise personne ?
Moi qui pense être un gentil garçon, plein de coeur et d’empathie pour tout le monde.
Je me trompe ?
Aucune idée.
J’ai tellement de souffrance que je ne la vois plus.
Je ne m’autorise pas à avoir mal.
J’en ai même honte, parce qu’autour de moi ma famille souffre et leur souffrance est visible.
J’essaye d’être la pour eux mais ça n’a pas l’air de suffire.
Je ne comprend pas ce qui est attendu de moi.
Ou alors je ne souhaite pas le donner.
Je ne sais pas.
Je ne sais plus.
Je ne reconnais plus le bien du mal.
Je ne sais plus où sont mes limites.
Si j’ai des valeurs ou des principes.
Je me sens seul.
Je suis seul.
La solitude et l’enfermement me bouffe quotidiennement.
Je ne sais pas comment agir ou faire.
Quelles sont mes solutions.
J’ai l’impression de ne jamais bien faire.
De ne pas être un bon croyant.
Un bon fils.
Un bon frère.
Un bon ami.
Un bon élève.
Un bon citoyen.
Je ne sais pas qui je suis.
Et je ne l’ai jamais su.
Depuis bientôt 24 ans d’existence.
J’ai juste l’impression de vivre.
Mes nuits sont mes journées.
J’y vois des milliers de choses.
Je ne sais plus quand est ce que je suis vraiment endormis.
Je me parle même dans mon sommeil.
La remise en question de ma personne est la chose que je fais le plus.
Le manque de confiance en moi est si présent.
Je ne suis pas à la hauteur de la vie.
J’ai autant envie de la vivre que de la quitté.
Ce sentiment d’espoir me détruit de jour en jour.
Je ne reçois pas et plus d’amour depuis un moment.
Si demain je disparait, seule ma mère, ma soeur, mon père, mon frère et mon seul ami en auront la connaissance.
Et cela juste parce qu’il me côtoie dans leur vie.
Mon bonheur est pourtant si simple.
Je ne demande qu’à être heureux, simplement.
La pauvreté m’a anéanti ma famille et moi.
Des gens nous nuisent au quotidien, nous souhaite la mort et le mal.
Je n’ai pas envie de faire de reproche à mon entourage qui m’ont fais et me font encore souffrir.
Je veux juste leur bonheur et faire table rase de ses 23 années de souffrance absolue.
Les moments de joies sont si faible comparés à la souffrance.
Je m’éteins à petit feu.
Je me sens inutile.
Je me sens faible.
Je me sens lâche.
Je me sens égoïste.
Je me sens coupable des malheurs de ma famille.
J’ai le sentiment de pouvoir faire plus.
J’ai le sentiment de devoir faire plus.
Je n’ai même pas la courage d’en finir avec la vie.
J’ai peur.
Non pas de ce qu’il m’attend après.
J’ai peur de le faire.
Je n’ai pas d’ami.
Je n’ai personne sur qui compter ou partager de bon moment.
Je ressens le besoin d’exister au yeux de personnes de ce monde.
J’ai le besoin qu’on prenne de mes nouvelles.
J’ai le besoin qu’on se soucie de moi.
J’ai le besoin de recevoir de l’affection.
J’ai le besoin d’avoir de l’attention.
Sentir que je compte.
Sentir que j’existe et que l’on soucis de moi.
J’ai mal.
Mais sans avoir mal.
J’écris ses choses sans vraiment de but.
J’ai autant l’envie de m’exprimer que de me taire.
J’ai autant l’envie d’avancer que d’abandonner.
J’ai juste besoin de me sentir aimer et soutenu.
J’ai toujours soutenu les gens qui m’entour.
Même des gens que je ne connais même pas.
Je suis de nature protagoniste.
Ma gentillesse et mon coeur son si facile à appréhender.
Je suis un livre ouvert.
Je suis naïf.
Je pense que tout le monde est gentil et comme moi.
Je ne pense pas avoir ma place dans ce monde.
Pas en étends moi même.
Je ne comprends pas le sens de la vie.
Je ne l’ai jamais vraiment compris.
La religion est une clés que je n’ai pas trouver.
Je prie au quotidien et ceux depuis des années.
Est ce suffisant ?
Que dois-je fais de plus ?
Je donne sans compter, même si je n’ai pas.
Je ne sais pas comment vivre.
Je suis épuisé.
Personne ne le comprend.
Personne ne m’en donne le droit.
Je suis jeune et mon esprit est remplis de rêve tout aussi différent les uns que les autres.
Mes proches n’ont pas conscience de ce sue j’endure.
Ils minimisent ma souffrance car, elle n’est pas visible.
Je suis de nature très joviale.
Souriant.
J’aime faire rire et apporter du bonheur au autres.
Mais qui pense à le faire pour moi ?
Qui souffre pour mon bonheur ?
Qui sacrifie son énergie, son temps, sa personne pour moi ?
Ne serais-ce que partiellement.
Je ne demande pas la lune.
Je demande juste voir de l’amour dans les yeux des gens quand ils parlent ou pensent à moi.
J’ai des lacunes de vies.
Mon être est un handicap pour moi.
J’aurais aimer être une personne dépourvue de toute intelligence émotionnelle.
De sentiments.
De gentillesse.
Être en pierre.
J’aimerais être compris tout simplement.
Être écouter avec compassion.
Pleurer quelques larmes de soulagement.
Prendre du repos sur ma vie.
Mes épaules sont lourdes.
La charge mentale que je porte me pèse à l’accès.
Je ne me reconnais plus.
Je ne me retrouve plus.
Je me suis perdu.
J’aimerais que la vie me fasse un cadeau.
Qu’elle se facilite.
Que le chemin se nettoie des encombres.
Ou alors que la vie m’emporte.
Je suis surement passer à côté de pleins de choses.
Cependant, ces quelques lignes ne sont que moi.
Sans aucun filtre.
Aucun tabou.
Aucune gêne ni retenue.
Elles sont spontanées et sans calculs.
C’est la première que je fais cela.
Je n’attends pas grand choses en écrivant cela.
Peux être, est-ce un exutoire ?
Ou un simple appel à l’aide.
Cependant je ne suis qu’une personne en souffrance parmi tant d’autres.
Chacun porte son fardeau.
Il n’y a pas de fardeau plus lourd que l’autre.
Seulement des fardeaux.
Ce n’est pas un concours.
Je me souhaite de ne plus jamais avoir besoin de faire cela.
Je me souhaite tout le bonheur du monde.
De me retrouver.
De m’aimer.
De me faire confiance.
D’être loyale à ma personne.
De m’aider.
De réussir.
De sortir de cette situation le plus vite possible.
Et je souhaite tout le bonheur que ce monde puisse offrir aux personnes que j’aime.
Prenez soin de vous.