Un murmure tremblant pour te dire "Je t'aime".
Je n'arrive pas à faire semblant, à dire que ce sera la même,
Un murmure tremblant, débordant de désespoir.
Pour moi, tes yeux sont des miroirs.
Chercher ta main dans le noir.
Ne trouver que le drap froid le soir.
Sentir ton bonheur en résonance avec mon malheur.
Mais ne te retourne pas quand il sera l'heure.
Le vide marquant à mes côtés,
Me prouve que tu t'es déjà envolé.
Partout je t'ai suivi.
Et tu me demandes d'être la seule de nous deux en vie ?
Ma moitié est partie avec toi.
Faisant de moi quelqu'un que je ne suis pas.
Les nuits, toujours la même histoire.
Tu me manques, mais j'ai un seul espoir.
Que tu ne souffres plus, maintenant que ton corps repose dans le noir.
Ton visage me souriait, la dernière fois qu'on s'est quittés.
Tu le savais. Tu partais.
Tu m'as abandonnée,
Aucun mot ne peut décrire ce que ça me fait.
Ton corps sans vie me hante.
Tu as passé ta vie à mes côtés, sans qu'une seule fois tu me mentes.
Tu m'as supplié de ne pas provoquer mon tour.
En me disant de vivre, qu'on se retrouvera un jour.
Pour l'instant, mon visage est baigné de larmes.
Mais pour toi, je ne baisserai pas mes armes.
Je vivrai pour toi, même si je ne le veux pas.
Je serai heureuse, jamais menteuse.
Je penserai à toi en me souvenant de tes bras,
Alors que je murmure, tremblante, ayant besoin de toi.
Mais tu ne peux plus venir vers moi.
Me rassurer, me dire que tu es là.
Tu as laissé un gouffre à l'intérieur de moi.
Et j'y plonge.
Je ne respire plus dans ma chute.
Je vois les murs de mon cœur, que je longe.
Dans les dernière mélodies de ta flûte.
Des souvenirs de toi.
Ma conviction de vivre vole en éclat.
Mais je suis certaine que tu ne m'en voudras pas...
D'avoir sauté du pont pour être près de toi.
Pourquoi fermons-nous les yeux quand nous pleurons ?
Quand nous rêvons ?
Quand nous prions ou quand nous embrassons ?
Parce que nous savons que les plus belles choses de la vie ne se voient pas, mais se ressentent avec le cœur.
Je n'arrive pas à faire semblant, à dire que ce sera la même,
Un murmure tremblant, débordant de désespoir.
Pour moi, tes yeux sont des miroirs.
Chercher ta main dans le noir.
Ne trouver que le drap froid le soir.
Sentir ton bonheur en résonance avec mon malheur.
Mais ne te retourne pas quand il sera l'heure.
Le vide marquant à mes côtés,
Me prouve que tu t'es déjà envolé.
Partout je t'ai suivi.
Et tu me demandes d'être la seule de nous deux en vie ?
Ma moitié est partie avec toi.
Faisant de moi quelqu'un que je ne suis pas.
Les nuits, toujours la même histoire.
Tu me manques, mais j'ai un seul espoir.
Que tu ne souffres plus, maintenant que ton corps repose dans le noir.
Ton visage me souriait, la dernière fois qu'on s'est quittés.
Tu le savais. Tu partais.
Tu m'as abandonnée,
Aucun mot ne peut décrire ce que ça me fait.
Ton corps sans vie me hante.
Tu as passé ta vie à mes côtés, sans qu'une seule fois tu me mentes.
Tu m'as supplié de ne pas provoquer mon tour.
En me disant de vivre, qu'on se retrouvera un jour.
Pour l'instant, mon visage est baigné de larmes.
Mais pour toi, je ne baisserai pas mes armes.
Je vivrai pour toi, même si je ne le veux pas.
Je serai heureuse, jamais menteuse.
Je penserai à toi en me souvenant de tes bras,
Alors que je murmure, tremblante, ayant besoin de toi.
Mais tu ne peux plus venir vers moi.
Me rassurer, me dire que tu es là.
Tu as laissé un gouffre à l'intérieur de moi.
Et j'y plonge.
Je ne respire plus dans ma chute.
Je vois les murs de mon cœur, que je longe.
Dans les dernière mélodies de ta flûte.
Des souvenirs de toi.
Ma conviction de vivre vole en éclat.
Mais je suis certaine que tu ne m'en voudras pas...
D'avoir sauté du pont pour être près de toi.
Pourquoi fermons-nous les yeux quand nous pleurons ?
Quand nous rêvons ?
Quand nous prions ou quand nous embrassons ?
Parce que nous savons que les plus belles choses de la vie ne se voient pas, mais se ressentent avec le cœur.