Ukraine

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5C1 Et
Anonyme
Lettre ouverte: La situation en Ukraine.

Était-ce vraiment nécessaire pour la Russie d'attaqué froidement l'Ukraine ?

Chères personnes qui vont lire cette lettre, 10 Mars 2022;

Je vais vous expliquer la situation avec 3 arguments et Ukraine et de ce que subissent le peuple russe, cette guerre dure déjà depuis deux semaines et c'est de trop !

Premièrement, le peuple Ukrainien ne mérite pas de vivre ça, c'est inconcevable de devoir mourir pour des politiciens qui n'arrivent pas à se mettre d'accord, personne ne devrait vivre ça, du jour au lendemain, ils ont dû tout quittés. Des millions de personnes ont tout perdu. La Russie aussi dans cette guerre, ils ont perdu et ont déjà été lourdement sanctionné.

Deuxièmement, tout le monde risque de perdre dans cette guerre, c'est très peu dit mais la plus grande centrale nucléaire d'Europe est en Ukraine, s'il y a des soucis dans la centrale à cause des bombardement, ce serait 6 fois Tchernobyl, des nuages de radioactivité viendraient en Europe et cela est très nocif pour le monde, il y a déjà eu un incendie. Il faut arrêter cette guerre et très vite car s'il y a des soucis à cause du nucléaire, on va tous finir par y passer !

Certes, Vladimir Poutine avait dit que si l'Ukraine allait dans l'OTAN, il y aurait de lourdes conséquences pour eux, l'Ukraine était un pays qui voulait être dans l'OTANT, le dirigeant russe l'avait dit et l'a fait mais il est en train de tuer son pays et l'Ukraine, La Russie s'appauvrit de plus en plus et il y a de plus en plus de morts qui ce sait du côté russe ou Ukrainien. personne ne mérite de vivre ce genre de situation, des pères obligés de quitter leur famille pour se battre, des femmes et des enfants qui finissent en pleure.

En conclusion, tout le monde est en danger, si cette guerre ne s'arrête pas très vite, que ce soit pour nous; pour le peuple Ukrainien ou le peuple russe, personne ne mérite ça et je suis contre cette guerre.

Mes salutations aux personnes qui vont lire
Élève de 5C1.
 
Donbass
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Lettre ouverte: La situation en Ukraine.

Était-ce vraiment nécessaire pour la Russie d'attaqué froidement l'Ukraine ?

Chères personnes qui vont lire cette lettre, 10 Mars 2022;

Je vais vous expliquer la situation avec 3 arguments et Ukraine et de ce que subissent le peuple russe, cette guerre dure déjà depuis deux semaines et c'est de trop !

Premièrement, le peuple Ukrainien ne mérite pas de vivre ça, c'est inconcevable de devoir mourir pour des politiciens qui n'arrivent pas à se mettre d'accord, personne ne devrait vivre ça, du jour au lendemain, ils ont dû tout quittés. Des millions de personnes ont tout perdu. La Russie aussi dans cette guerre, ils ont perdu et ont déjà été lourdement sanctionné.

Deuxièmement, tout le monde risque de perdre dans cette guerre, c'est très peu dit mais la plus grande centrale nucléaire d'Europe est en Ukraine, s'il y a des soucis dans la centrale à cause des bombardement, ce serait 6 fois Tchernobyl, des nuages de radioactivité viendraient en Europe et cela est très nocif pour le monde, il y a déjà eu un incendie. Il faut arrêter cette guerre et très vite car s'il y a des soucis à cause du nucléaire, on va tous finir par y passer !

Certes, Vladimir Poutine avait dit que si l'Ukraine allait dans l'OTAN, il y aurait de lourdes conséquences pour eux, l'Ukraine était un pays qui voulait être dans l'OTANT, le dirigeant russe l'avait dit et l'a fait mais il est en train de tuer son pays et l'Ukraine, La Russie s'appauvrit de plus en plus et il y a de plus en plus de morts qui ce sait du côté russe ou Ukrainien. personne ne mérite de vivre ce genre de situation, des pères obligés de quitter leur famille pour se battre, des femmes et des enfants qui finissent en pleure.

En conclusion, tout le monde est en danger, si cette guerre ne s'arrête pas très vite, que ce soit pour nous; pour le peuple Ukrainien ou le peuple russe, personne ne mérite ça et je suis contre cette guerre.

Mes salutations aux personnes qui vont lire
Élève de 5C1.
Oui mais il faillait parler avant que cela n'arrive, car le peuple du Donbass eux pendant 8 ans ont subit des agressions venant de l'armée et du gouvernement Ukrainien, avec la complicité des USA, de l'OTAN et de l'Union Européenne...Qui étaient déjà sur place...
 
Donbass
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Ce ne sont pas la moitié des faux-culs les amerloques !

Les États-Unis ont autorisé les transactions liées aux engrais et aux denrées alimentaires avec la Russie

Washington a autorisé les transactions avec la Russie concernant les engrais, la nourriture, les semences, les médicaments et l'équipement médical. Ceci est indiqué dans la licence générale délivrée le 14 juillet par le département américain du Trésor. « Toutes les opérations <...> relatives à : la production, la fabrication, la vente ou le transport de produits agricoles, de matériel agricole, de médicaments, de produits médicaux, de leurs pièces détachées et accessoires, ou de mises à jour de logiciels pour dispositifs médicaux ; la prévention, le diagnostic ou le traitement du COVID-19 (y compris la recherche ou la recherche clinique liée au COVID-19) ; ou les essais cliniques en cours et autres recherches médicales sont autorisés », indique le texte de la licence. En outre, Washington a temporairement autorisé les transactions avec l'ancienne division de Gazprom, Gazprom Germania, et a également levé les restrictions sur la filiale d'Alfa-Bank au Kazakhstan (JSC Alfa Bank). Le même jour, l'ambassade de Russie à Washington a déclaré que les États-Unis cherchaient à évincer la Russie du commerce alimentaire. En outre, il a été noté que les importateurs ont actuellement de sérieuses difficultés à obtenir des produits agricoles en raison des sanctions américaines unilatérales, ainsi que des chaînes d'approvisionnement fragilisées. Le 14 juin, une source de Bloomberg a rapporté que les autorités américaines exhortaient les entreprises de transport et agricoles à acheter et à transporter plus d'engrais depuis la Russie. Dans le même temps, de telles aspirations du gouvernement américain ne sont pas annoncées. L'article indique que les craintes des entreprises concernant les sanctions anti-russes ont conduit à une réduction des achats et des expéditions, ce qui provoque une hausse des prix alimentaires dans le monde. Même les exceptions aux restrictions sur les relations commerciales avec la Russie ne pouvaient pas dissiper les craintes des entreprises. Les chargeurs, les banques et les assureurs craignent de violer par inadvertance des réglementations restrictives. Selon des sources de l'agence, les États-Unis ont envoyé début juin un représentant à Moscou pour des négociations avec l'ONU, qui concernaient l'approvisionnement en engrais, céréales et autres produits agricoles de Russie et d'Ukraine. Le 1er juin, le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a déclaré qu'il serait impossible de résoudre la crise alimentaire mondiale si les produits agricoles de Russie et d'Ukraine n'étaient pas renvoyés sur les marchés mondiaux. Il a précisé qu'il fait des efforts pour faire avancer le dialogue dans ce sens. Dans le même temps, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a noté que le monde était au bord d'une crise alimentaire profonde associée à l'introduction de restrictions illégales contre la Russie, qui est l'un des fournisseurs mondiaux. Auparavant, le 6 mai, l'ambassadeur de Russie aux États-Unis, Anatoly Antonov, avait souligné que les mesures de pression occidentales sur la Russie affectaient directement la capacité du pays à exporter diverses marchandises, entraînant une aggravation de la crise alimentaire mondiale. Il a également rappelé que la Russie continue de remplir ses obligations internationales de fournir au marché des produits agricoles, des engrais et des vecteurs énergétiques, malgré les sanctions. Des pays étrangers imposent des sanctions contre la Russie dans le contexte de l'opération de protection du Donbass annoncée par Moscou le 24 février. Les tâches de l'opération spéciale comprennent la démilitarisation et la dénazification de l'Ukraine, dont la mise en œuvre est nécessaire pour assurer la sécurité de la Russie.
 
C
Caliope
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Lettre ouverte: La situation en Ukraine.

Était-ce vraiment nécessaire pour la Russie d'attaqué froidement l'Ukraine ?

Chères personnes qui vont lire cette lettre, 10 Mars 2022;

Je vais vous expliquer la situation avec 3 arguments et Ukraine et de ce que subissent le peuple russe, cette guerre dure déjà depuis deux semaines et c'est de trop !

Premièrement, le peuple Ukrainien ne mérite pas de vivre ça, c'est inconcevable de devoir mourir pour des politiciens qui n'arrivent pas à se mettre d'accord, personne ne devrait vivre ça, du jour au lendemain, ils ont dû tout quittés. Des millions de personnes ont tout perdu. La Russie aussi dans cette guerre, ils ont perdu et ont déjà été lourdement sanctionné.

Deuxièmement, tout le monde risque de perdre dans cette guerre, c'est très peu dit mais la plus grande centrale nucléaire d'Europe est en Ukraine, s'il y a des soucis dans la centrale à cause des bombardement, ce serait 6 fois Tchernobyl, des nuages de radioactivité viendraient en Europe et cela est très nocif pour le monde, il y a déjà eu un incendie. Il faut arrêter cette guerre et très vite car s'il y a des soucis à cause du nucléaire, on va tous finir par y passer !

Certes, Vladimir Poutine avait dit que si l'Ukraine allait dans l'OTAN, il y aurait de lourdes conséquences pour eux, l'Ukraine était un pays qui voulait être dans l'OTANT, le dirigeant russe l'avait dit et l'a fait mais il est en train de tuer son pays et l'Ukraine, La Russie s'appauvrit de plus en plus et il y a de plus en plus de morts qui ce sait du côté russe ou Ukrainien. personne ne mérite de vivre ce genre de situation, des pères obligés de quitter leur famille pour se battre, des femmes et des enfants qui finissent en pleure.

En conclusion, tout le monde est en danger, si cette guerre ne s'arrête pas très vite, que ce soit pour nous; pour le peuple Ukrainien ou le peuple russe, personne ne mérite ça et je suis contre cette guerre.

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Élève de 5C1.

Lorsque je croirais qu'il s'agit d'une lettre d'un élève de 5e, les poules auront à nouveau des dents !

C'est fou ce que cette guerre est surtout très informationnelle ! ;)
 
Donbass
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Le Fake de Vinnitsa ou pourquoi travestir médiatiquement des militaires ukrainiens en civils ?

Voir la pièce jointe 4978


Le 14 juillet au matin, l'armée russe a tiré sur Vinnitsa, une ville d'Ukraine centrale, située à 200 km au sud-ouest de Kiev. Alors qu'elle a détruit la Maison des Officiers, un centre d'hébergement temporaire et de formation d'officiers ukrainiens, les médias occidentaux, reprenant uniquement la version ukrainienne, déshabillent ces militaires pour en faire des civils. Autrement dit, comment les pouvoirs publics ukrainiens annonceront aux familles de cette vingtaine d'officiers ukrainiens décédés leur mort ? Quel respect pour ses propres hommes ... En revanche, les tirs de l'artillerie américano-ukrainienne quotidiens sur des cibles civiles dans les territoires repris et dans le Donbass, notamment hier sur la station de transport dans le centre de Donetsk, qui ont fait deux morts et 6 blessés, personne n'en parle. Eux ce sont des civils, mais ils ne sont pas du "bon" côté.
Toute guerre, comme celle qui se déroule en Ukraine, quelle que soit l'appellation que l'on veuille formellement lui donner, entraîne le risque de décès des militaires, qui se battent pour leur pays. La mort d'un homme, en soi, est toujours une tragédie, mais comme l'on a pu l'entendre dans le film soviétique "Officiers" : "Il existe cette profession, défendre la Patrie.". En retour de quoi, nos militaires sont en droit d'attendre toute notre considération et tout notre soutien, puisqu'ils risquent leur vie pour préserver celle des civils.
Ce qui est anormal, est la mort volontaire, recherchée, de civils lors des conflits armés. Malheureusement, les civils sont toujours les victimes des conflits, directement ou indirectement, mais les armées ne doivent pas lutter contre eux, elles doivent se battre entre elles. Théoriquement.
Afin de provoquer le rejet de la Russie dans l'opinion publique internationale, tout tir de l'armée russe sur le territoire ukrainien est présenté comme un tir contre des cibles civiles, ce qui doit être choquant et juridiquement constituer un crime de guerre. Sans aucune surprise, c'est également le cas à Vinnitsa.
Immédiatement, les médias occidentaux ont repris la ligne ukrainienne : 20 morts, 90 blessés et une dizaine de disparus. Sous la bannière du Bien (l'OTAN) contre la Mal (la Russie), la bonne conscience otanesque mobilise ses petits soldats médiatiques et la représentation se met en place, rapidement - il est vrai, que les mécanismes sont bien huilés.
Personne ne se demande pourquoi les Ukrainiens placent tous leurs sites militaires au milieu des civils ... Avec cette fréquence, ce n'est plus une erreur, mais une stratégie.

Ainsi, peut-on lire dans le NYT :

"Une volée de missiles de croisière russes a frappé jeudi un centre commercial, un studio de danse et une salle de mariage dans le centre de l'Ukraine, tuant au moins 23 personnes et déclenchant une recherche effrénée de dizaines d'autres perdus dans les décombres, lors d'une dernière frappe pour frapper un zone civile loin des lignes de front."
Quelle honte, quelle horreur ! C'est en tout cas, la réaction recherchée, car nous sommes bien dans la manipulation de l'opinion publique et dans la création de cette opinion par le conditionnement émotif. Pour les besoins de la cause, les militaires ont été rhabillés en civils, leurs familles apprécieront ... Manifestement, leur mort est utile pour la guerre de communication, même s'il n'est pas certain que ce soit le combat qu'ils partaient mener ...

Comme le précise le ministère russe de la Défense, la Maison des officiers, bâtiment servant de point d'accueil temporaire et de formation des officiers de l'armée ukrainienne, a été détruite à Vinnitsa, dans le centre de la ville et a fait une vingtaine de morts ... militaires. Photos à l'appui, où l'on voit des hommes en uniformes et la localisation exacte des tirs :

Voir la pièce jointe 4980


Le représentant de la Russie à l'ONU s'est également prononcé :

"La Russie ne frappe que des cibles militaires en Ukraine. L'attaque contre Vinnitsa a touché la Maison des officiers, que les forces armées ukrainiennes utilisaient pour s'entraîner", a déclaré Varganov. "Dans le même temps, le représentant de l'Ukraine a omis de mentionner la frappe il y a deux jours sur Novaya Kakhovka, également située sur le territoire de l'Ukraine, où leurs propres civils ont été tués."

En effet, les médias occidentaux ne parlent pas des tirs constants, répétés et volontaires de l'armée ukrainienne, utilisant les armes de l'OTAN, sur des cibles civils dans le Donbass et dans les territoires repris. Personne ne parle de cette armée qui se bat contre le peuple qu'elle doit normalement "libérer" de la Russie, si l'on en croit la rhétorique ukrainienne et otanesque officielle. Etrange manière de vouloir reconquérir les territoires en tirant sur ses populations ...

Quelques exemples ces derniers jours.

"Selon des informations actualisées, le bombardement de la ville de Stakhanov par l'armée ukrainienne a été effectué à l'aide du MLRS américain M142 HIMARS (au total, 6 missiles ont été tirés par l'ennemi). À la suite du bombardement, deux personnes ont été tuées et deux civils ont été blessés. Les vitres de 11 immeubles résidentiels, le jardin d'enfants de Skazka et l'école spécialisée n ° 10 de Stakhanovskaya ont été endommagés."

Voir la pièce jointe 4981


Hier, une station de transport a été touchée dans le centre de Donetsk, 2 morts et 6 blessés. Aucun mot dans les médias occidentaux. Que des civils. En image :

D'une manière générale, selon les données officielles locales, l'on compte au 15 juillet 2022 :


"Pendant les 149 jours de l'escalade, 249 civils ont été tués, dont 16 enfants.
Des données complètes sur les civils morts dans le territoire libéré pendant l'opération spéciale militaire (OSM) sont en cours d'établissement.
Sur le territoire à l'intérieur des frontières, avant le début de l'OSM, 1178 civils ont été blessés de gravité variable, dont 91 enfants.
Dans le territoire libéré lors de l'OSM, 1 493 civils ont été blessés, dont 83 enfants.
Total : 2670 civils, dont 174 enfants.

Dégâts matériels :
- 5495 immeubles résidentiels ;
- 1224 infrastructures civiles, dont. 72 établissements médicaux, 238 établissements d'enseignement, 449 établissements sociaux, 32 infrastructures critiques, 433 installations d'approvisionnement en électricité, eau et gaz. Les districts de Kuibyshevsky, Petrovsky, Kirovsky et Voroshilovsky de Donetsk, Makeevka et Gorlovka sont sous le tirs de l'armée ukrainienne.
- 668 véhicules."

Mais de tout cela, nous n'entendrons pas parler dans les médias occidentaux. Ces médias, qui début juin tentaient même d'accuser la Russie de bombarder elle-même Donetsk, avant de discrètement légèrement modifier leur texte (voir notre article ici).
Je me demande ce que doivent ressentir les militaires ukrainiens, les militaires de carrière, pas les nouvelles recrues fanatisées. Ce sont des professionnels. Ils sont envoyés pour, soi-disant, défendre la Patrie contre "l'envahisseur" russe. Et ils ont pour ordre de tirer sur des cibles civiles, de détruire les infrastructures civiles. Quand ils périssent, ils sont transformés en "civils" pour les besoins de la comm. Quand, abandonnés par leur hiérarchie, ils se rendent, ils sont considérés comme des traîtres.
Que doivent ressentir ces hommes ? Comment est-il possible de déconsidérer à ce point ses propres hommes ?
Mais il est vrai que les décisions ne se prennent pas à Kiev et que les donneurs d'ordres se moquent totalement de l'Ukraine et des Ukrainiens. Ce qui compte, c'est d'écraser la Russie. Si les Etats-Unis sont prêts à sacrifier les pays européens, comme on le voit, quelle importance peut avoir l'Ukraine à leurs yeux ?

PS :
L'ambassade américaine à Kiev a demandé à tous les citoyens américains de quitter d'urgence le territoire de l'Ukraine.

Voir la pièce jointe 4982
 
Donbass
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La Russie et la Chine n’ont même pas commencé à augmenter le seuil de douleur...

Le Show d’été du Suicide Spectaculaire, actuellement à l’affiche dans toute l’Europe, se produit en grande pompe, au grand étonnement de la quasi-totalité des pays du Sud : un remake trash du Crépuscule des Dieux où la grandeur wagnérienne est remplacée par le twerk.

Les empereurs romains décadents avaient au moins un certain degré de pathos. Ici, nous sommes simplement confrontés à un mélange toxique d’orgueil démesuré, de médiocrité abjecte, d’illusion, de pensée idéologique grossière et d’irrationalité pure et simple qui se vautre dans la gadoue raciste/suprémaciste du fardeau de l’homme blanc – tous les symptômes d’une profonde maladie de l’âme.

Il serait trop réducteur d’appeler cela l’Occident Biden- Leyen-Blinken ou quelque chose comme ça : après tout, il s’agit de minuscules politiciens/fonctionnaires qui ne font que répéter les ordres. Il s’agit d’un processus historique : une dégénérescence cognitive physique, psychique et morale qui s’inscrit dans le désespoir manifeste de l’OTAN à vouloir contenir l’Eurasie, ce qui permet de temps à autre des sketches tragicomiques tels qu’un sommet de l’OTAN proclamant la guerre contre pratiquement tout le non-Occident.

Ainsi, lorsque le président Poutine s’adresse à l’Occident collectif devant les dirigeants de la Douma et les chefs des partis politiques, il a l’impression qu’une comète frappe une planète inerte. Il ne s’agit même pas d’un cas de « perdu dans la traduction ». « Ils » ne sont tout simplement pas équipés pour comprendre.


La partie « Vous n’avez encore rien vu » était au moins formulée pour être comprise même par des simplets :

« Aujourd’hui, nous entendons qu’ils veulent nous vaincre sur le champ de bataille, eh bien, que puis-je dire, qu’ils essaient. Nous avons entendu de nombreuses fois que l’Occident veut nous combattre jusqu’au dernier Ukrainien – c’est une tragédie pour le peuple ukrainien. Mais il semble que tout se passe comme ça. Mais tout le monde doit savoir que, dans l’ensemble, nous n’avons encore rien commencé ».

Fait. Dans le cadre de l’opération Z, la Russie utilise une fraction de son potentiel militaire, de ses ressources et de ses armes de pointe.

Puis nous en venons au chemin le plus probable à emprunter sur le théâtre de la guerre :

« Nous ne refusons pas les négociations de paix, mais ceux qui les refusent devraient savoir que plus ça traîne, plus il leur sera difficile de négocier avec nous ».

Comme dans le seuil de douleur va augmenter, lentement mais sûrement, sur tous les fronts.

Pourtant, l’essentiel avait été dit plus tôt dans le discours
: L’expression « augmenter le seuil de douleur » s’applique en fait au démantèlement de l’ensemble de l’édifice de « l’ordre international fondé sur des règles ». Le monde géopolitique a changé. Pour toujours.

Voici le passage clé :

« Ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine. C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire – un monde fondé non pas sur des


règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie, non pas sur des doubles standards hypocrites, mais sur le droit international, sur la véritable souveraineté des peuples et des civilisations, sur leur volonté de vivre leur destin historique, leurs valeurs et leurs traditions et de construire une coopération sur la base de la démocratie, de la justice et de l’égalité. Et nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté ».

Le tiercé gagnant


On peut affirmer que Poutine et le Conseil de sécurité de la Russie mettent en œuvre un tiercé tactique qui a réduit l’Occident collectif à un groupe amorphe de poulets bio sans tête.

Ce tiercé mélange la promesse de négociations – mais seulement si l’on tient compte des avancées régulières de la Russie sur le terrain en Novorossiya ; le fait que « l’isolement » mondial de la Russie s’est avéré être un non-sens dans la pratique ; et la manipulation de la corde sensible la plus visible de toutes : la dépendance de l’Europe à l’égard de l’énergie russe.

La principale raison de l’échec retentissant du sommet des ministres des Affaires étrangères du G20 à Bali est que le G7
– ou l’OTAN et la colonie américaine du Japon – n’a pas pu obliger les BRICS et les principaux acteurs des pays du Sud à isoler, sanctionner et/ou diaboliser la Russie.

Au contraire : de multiples interpolations en dehors du G20 laissent entrevoir une intégration encore plus poussée à l’échelle de l’Eurasie. En voici quelques exemples.

Le premier transit de produits russes vers l’Inde via le Corridor international de transport Nord-Sud (INSTC) est désormais effectif, traversant l’Eurasie de Mumbai à la Baltique en passant par les ports iraniens (Chabahar ou Bandar


Abbas), la mer Caspienne et la Russie méridionale et centrale. Il s’agit d’un itinéraire plus court et moins cher que le passage par le canal de Suez.

Parallèlement, le directeur de la banque centrale iranienne, Ali Salehabadi, a confirmé qu’un mémorandum de coopération interbancaire a été signé entre Téhéran et Moscou.

Cela signifie une alternative viable à SWIFT, et une conséquence directe de la demande de l’Iran de devenir membre à part entière des BRICS, annoncée lors du récent sommet de Pékin. Les BRICS, depuis 2014, date de la création de la Nouvelle banque de développement (NDB), sont occupés à construire leur propre infrastructure financière, avec notamment la création prochaine d’une monnaie de réserve unique. Dans le cadre de ce processus, l’harmonisation des systèmes bancaires russe et iranien est inévitable.

L’Iran est également sur le point de devenir un membre à part entière de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) lors du prochain sommet qui se tiendra à Samarkand en septembre.

Parallèlement, la Russie et le Kazakhstan renforcent leur partenariat stratégique : Le Kazakhstan est un membre clé de la BRI, de l’UEE et de l’OCS.

L’Inde se rapproche encore plus de la Russie dans tous les domaines du commerce, notamment l’énergie.

Et mardi prochain, Téhéran sera le théâtre d’un face-à-face crucial entre Poutine et Erdogan.

Isolement ? Vraiment ?

Sur le front de l’énergie, ce n’est que l’été, mais la paranoïa démente fait déjà rage sous plusieurs latitudes de l’UE, notamment en Allemagne. Le soulagement comique vient du fait que Gazprom peut toujours faire remarquer à Berlin que


les éventuels problèmes d’approvisionnement de Nord Stream 1 – après le retour de la fameuse turbine réparée du Canada – peuvent toujours être résolus en mettant en œuvre Nord Stream 2.

Comme l’ensemble du Show d’été du Suicide Spectaculaire européen n’est rien d’autre qu’une torture sordide auto- infligée ordonnée par la Voix de son Maître, la seule question sérieuse est de savoir quel niveau de douleur obligera Berlin à s’asseoir et à négocier au nom des intérêts industriels et sociaux légitimes de l’Allemagne.

L’affrontement sera la norme. Le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a résumé la situation en commentant le fait que les ministres de l’Occident collectif en déclin prennent des poses comme des enfants en bas âge à Bali pour éviter d’être vus avec lui : cela dépend de « leur compréhension des protocoles et de la politesse ».

C’est du langage diplomatique pour « imbéciles ». Ou pire : barbares culturels, puisqu’ils étaient même incapables de respecter les hôtes indonésiens hyper-polis, qui abhorrent la confrontation.

Lavrov a préféré vanter le travail « stratégique et constructif commun » russo-chinois face à un Occident très agressif. Et cela nous amène au chef d’œuvre de la stratégie de l’ombre à Bali – avec plusieurs couches de brouillard géopolitique.

Les médias chinois, qui flirtent toujours avec l’opacité, ont essayé de montrer le visage le plus courageux possible en décrivant la réunion de plus de cinq heures entre le ministre des Affaires étrangères Wang Yi et le secrétaire Blinken comme « constructive ».

Ce qui est fascinant ici, c’est que les Chinois ont fini par laisser échapper un élément crucial qui s’est glissé dans la version finale de leur rapport – manifestement approuvé par les autorités.

Lu Xiang, de l’Académie chinoise des sciences sociales, a passé en revue les comptes rendus précédents – notamment celui de « Yoda » Yang Jiechi transformant régulièrement Jake Sullivan en canard rôti – et a souligné que, cette fois, les « avertissements » de Wang aux Américains étaient « les plus sévères dans leur formulation ».

C’est du code diplomatique pour « Vous devriez faire attention » : Wang disant au petit Blinkie, « regardez ce que les Russes ont fait quand ils ont perdu patience avec vos pitreries ».

L’expression « impasse » était récurrente lors de la rencontre Wang-Blinken. Au final, le Global Times a donc dû dire les choses telles qu’elles sont : « Les deux parties sont proches de l’épreuve de force ».

« L’épreuve de force », c’est ce que Mike Pompeo, fanatique de la fin des temps et aspirant à Tony Soprano, prêche avec ferveur depuis sa chaire de haine, tandis que le combo derrière le « leader du monde libre » sénile qui lit littéralement des téléprompteurs travaille activement à l’effondrement de l’UE – à plus d’un titre.

Le combo au pouvoir à Washington « soutient » en fait l’unification de la Grande-Bretagne, de la Pologne, de l’Ukraine et des trois nains baltes en tant qu’alliance séparée de l’OTAN/UE – dans le but de « renforcer le potentiel de défense ». C’est la position officielle de l’ambassadeur américain à l’OTAN, Julian Smith.

Ainsi, le véritable objectif impérial est de diviser l’UE, qui est déjà en train de voler en éclats, en petits morceaux d’union, tous assez fragiles et évidemment plus « gérables », car les eurocrates de Bruxelles, aveuglés par une médiocrité sans bornes, ne peuvent évidemment pas le voir venir.


Ce que le Sud global achète


Poutine indique toujours très clairement que la décision de lancer l’opération Z – une sorte d’« opération de police et d’armes combinées » préventive, telle que définie par Andrei Martyanov – a été soigneusement calculée, en tenant compte d’un ensemble de vecteurs matériels et socio-psychologiques.

La stratégie anglo-américaine, quant à elle, se focalise sur une seule obsession : condamner tout recadrage possible de l’actuel « ordre international fondé sur des règles ». Tous les coups sont permis pour assurer la pérennité de cet ordre. Il s’agit en fait d’une Totalen Krieg – comportant plusieurs couches hybrides, et assez inquiétante, à quelques secondes de minuit.

Et c’est là que le bât blesse. Le rang de la désolation devient rapidement le rang du désespoir, car toute la matrice russophobe se révèle nue, dépourvue de toute puissance de feu idéologique – et même financière – supplémentaire pour
« gagner », à part l’envoi d’une collection de HIMARS dans un trou noir.

Sur le plan géopolitique et géoéconomique, la Russie et la Chine sont en train de dévorer l’OTAN tout cru – à plus d’un titre. Voici, par exemple, une feuille de route synthétique de la manière dont Pékin abordera la prochaine étape d’un développement de haute qualité via une mise à niveau industrielle axée sur le capital, centrée sur l’optimisation des chaînes d’approvisionnement, la substitution des technologies dures aux importations et les « champions invisibles » de l’industrie.

Si l’Occident collectif est aveuglé par la russophobie, le succès du Parti communiste chinois – qui, en l’espace de quelques décennies, a amélioré la vie de plus de gens que quiconque, à n’importe quel moment de l’Histoire – le rend complètement fou.


Le long de la tour de guet Russie-Chine, cela n’a pas été si long à venir. La BRI a été lancée par Xi Jinping en 2013. Après le Maïdan en 2014, Poutine a lancé l’Union économique eurasiatique (UEE) en 2015. Crucialement, en mai 2015, une déclaration conjointe Russie-Chine a scellé la coopération entre la BRI et l’UEE, avec un rôle significatif attribué à l’OCS.

Une intégration plus étroite a progressé via le forum de Saint-Pétersbourg en 2016 et le forum de la BRI en 2017. L’objectif global : créer un nouvel ordre en Asie, et à travers l’Eurasie, conformément au droit international tout en maintenant les stratégies de développement individuelles de chaque pays concerné et en respectant leur souveraineté nationale.

Voilà, en substance, ce que la plupart des pays du Sud achètent. C’est comme s’il y avait une compréhension instinctive transfrontalière du fait que la Russie et la Chine, contre toute attente et face à de sérieux défis, procédant par essais et erreurs, sont à l’avant-garde du Choc du Nouveau, tandis que l’Occident collectif, nu, hébété et confus, ses masses complètement zombifiées, est aspiré dans le maelström de la désintégration psychologique, morale et matérielle.


Il ne fait aucun doute que le seuil de douleur sera augmenté, de plus d’une façon.
 
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Plus de 250 civils, dont 16 enfants, ont été tués dans les bombardements de l'armée ukrainienne contre la République populaire de Donetsk (RPD) depuis l'escalade du conflit, a rapporté samedi la mission de la RPD auprès du Centre conjoint de contrôle et de coordination du cessez-le-feu.

"En 150 jours d'escalade, 256 civils, dont 16 enfants, ont été tués", indique le communiqué.

Pas moins de 2 699 civils, dont 176 enfants, ont été blessés dans les bombardements de l'armée ukrainienne depuis l'escalade, a indiqué la mission.

Au cours de la période d'escalade, la mission DPR a enregistré 5 983 cas de bombardements de l'armée ukrainienne, a-t-elle indiqué.

"L'ennemi a tiré 49 886 munitions de divers calibres, dont 31 missiles Tochka-U, 14 Smerch, 151 Uragan et 8 759 roquettes Grad", indique le communiqué.

Les bombardements de l'armée ukrainienne ont endommagé 5 545 maisons, plus de 1 230 infrastructures civiles, 434 installations fournissant de l'électricité, de l'eau et du gaz et détruit plus de 670 véhicules de transport.

La situation sur la ligne d'engagement dans le Donbass s'est aggravée le 17 février. Les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk (RPD et RPL) ont signalé les bombardements les plus massifs de l'armée ukrainienne ces derniers mois, qui ont endommagé des infrastructures civiles et fait des victimes civiles.

Le 21 février, le président russe Vladimir Poutine a annoncé la reconnaissance de la souveraineté des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk. La Russie a signé des accords d'amitié, de coopération et d'assistance mutuelle avec leurs dirigeants. La Russie a reconnu les républiques du Donbass conformément aux constitutions de la RPD et de la RPL dans les limites des régions de Donetsk et de Lougansk au début de 2014.

Le président russe Poutine a annoncé le 24 février qu'en réponse à une demande d'assistance des chefs des républiques du Donbass, il avait pris la décision de mener une opération militaire spéciale en Ukraine. Le dirigeant russe a souligné que Moscou n'avait pas l'intention d'occuper les territoires ukrainiens, notant que l'opération visait la dénazification et la démilitarisation de l'Ukraine.

La RPD et la LPR lancent une opération de libération de leurs territoires sous contrôle de Kiev.
 
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Des avions russes ont détruit à Odessa un entrepôt de missiles anti-navires Harpoon transférés aux troupes ukrainiennes par l'OTAN.
"Des missiles lancés par air à longue portée de haute précision dans l'un des bâtiments d'une entreprise industrielle de la ville d' Odessa ont détruit un entrepôt de stockage de missiles anti-navires Harpoon transférés à l'Ukraine par des pays de l'OTAN ", a déclaré le porte-parole du département .
Un lanceur et un véhicule de chargement de transport HIMARS MLRS ont également été détruits près de Krasnoarmeysk.

De plus, l'armée russe a frappé le point de déploiement du 97e bataillon de la 60e brigade d'infanterie motorisée des Forces armées ukrainiennes dans la région de Zaporozhye : jusqu'à 65 personnes ont été tuées, plus de dix véhicules spéciaux ont été éliminés. Plusieurs autres frappes ont été effectuées sur les points de déploiement temporaire de mercenaires dans les régions de Kharkov et de Donetsk .
 
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La destruction par l'armée russe de lance-roquettes multiples HIMARS et d'un entrepôt de missiles anti-navires Harpoon à Odessa est une mauvaise nouvelle pour l'Otan, selon l'expert américain Jack Buckby. Il est cité par 19Fortyfive.
Selon le spécialiste, HIMARS et Harpoon sont les meilleurs développements d'artillerie des pays occidentaux, capables d'atteindre des cibles à longue distance avec une grande précision, donc l'élimination de ces MLRS est un résultat positif pour la Russie et une "triste nouvelle" pour l'Ukraine et le Nord Alliance atlantique.
Comme Buckby l'a rappelé, la semaine dernière, les États-Unis ont déjà envoyé huit unités HIMARS pour les forces armées ukrainiennes et prévoient d'en livrer quatre autres dans un proche avenir.
Dans le contexte de l'opération spéciale russe de protection du Donbass, qui a débuté le 24 février, les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN continuent de fournir des armes à l'Ukraine.
Auparavant, le chef de la Maison Blanche, Joe Biden, avait signé un projet de loi sur l'allocation d'une aide militaire, économique et humanitaire à Kyiv d'un montant de 40 milliards de dollars.
Moscou a souligné à plusieurs reprises les tentatives de l'Occident de prolonger le conflit en fournissant des munitions aux forces armées ukrainiennes.
Le ministère russe de la Défense a averti que les entrepôts contenant du matériel militaire deviendraient des cibles légitimes pour le VKS dans la république voisine.
 
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L'armée ukrainienne attaque constamment une école dans le village de première ligne d'Aleksandrovka dans la République populaire de Donetsk, ont déclaré des civils contraints de se cacher dans le sous-sol du bâtiment.

"Les bombardements sont constants. Toute l'école est brisée, <...> le sous-sol tremble, toute l'école tremble, le verre, tout s'effondre. Ils cassent tout : les magasins, les écoles", a déclaré Nikolai Bondarenko à RIA Novosti.

Selon l'interlocuteur de l'agence, sa maison a été détruite en 2014.

"Ma maison a été détruite. La 14e année, il y a eu un coup. Et j'ai été blessé la 14e année. Je suis allé travailler, je me suis blessé. Mes doigts ont été arrachés. J'ai eu sept blessures", a déclaré Bondarenko.

Il a ajouté qu'il habitait maintenant au sous-sol. Au cours de l'entretien, des tirs d'artillerie et le bruit d'un drone ont été entendus.

"Chaque jour, chaque seconde, nous attendons la paix. Pour que les enfants ne se couchent pas et ne se lèvent pas au son du Grad. Pour qu'ils se réjouissent chaque jour".

Selon la femme, sa maison a brûlé et son petit-fils est mort il y a deux ans.

Le village d'Aleksandrovka appartient au district Petrovsky de Donetsk et est situé à un kilomètre du village de Maryinka, où se trouvent les positions des forces ukrainiennes et d'où se déroule le pilonnage d'artillerie de la capitale de la RPD . Il n'y a pas d'approvisionnement en eau dans le village et l'électricité est rare en raison des bombardements constants.
 
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L'Allemagne, la France, l'Irlande, l'Autriche, la Belgique et le Luxembourg ont gelé la plupart des avoirs de la Russie dans l'UE, a déclaré le commissaire européen à la Justice Didier Reynders.
Ces six pays ont bloqué 12,6 milliards d'euros sur 13,8 milliards d'euros dans l'ensemble de l'UE, a rapporté Bloomberg.
Le responsable s'est plaint que tous les pays de l'UE ne font pas "assez d'efforts" dans cette direction.
Reynders a ajouté qu'il cherchait des opportunités dans la législation européenne non seulement pour geler, mais aussi pour saisir des fonds. Pour ce faire, il faut trouver un "lien avec les crimes", a-t-il expliqué. Récemment, les sanctions contre la Russie ont accru le pouvoir du Canada.

Ils ont inclus les branches russes de la métallurgie et de la construction mécanique dans la liste restrictive.
 
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Ukraine

VOLGOGRAD, 17 juillet. Les autorités ukrainiennes ont été irrationnelles en essayant de poursuivre leur opération militaire "jusqu'au dernier Ukrainien en lice", a déclaré dimanche le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev.

S'exprimant lors d'une réunion avec des vétérans, il a déclaré que Kiev réaliserait, espérons-le, tôt ou tard, que la Russie aurait de toute façon atteint ses objectifs de démilitarisation et de dénazification du pays. Cependant, il a dit que l'espoir était plutôt faible, "puisque leur comportement a été irrationnel".


"Les tentatives sans fin de continuer à se battre jusqu'à, comme ils l'ont dit, le dernier Ukrainien debout entraîneront certainement un effondrement du régime politique existant, malgré leurs efforts pour répliquer", a déclaré Medvedev.
 
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Pendant les hostilités sur le territoire de la République populaire de Donetsk (RPD), un autre citoyen britannique a été capturé par les troupes de la coalition russe.
Selon la BBC, il s'est avéré être un natif de la ville anglaise de Sunderland, John Harding, qui a combattu au sein du régiment nazi Azov. Selon la publication, Harding a déjà plus de 50 ans, mais il a néanmoins lui-même dit à ses amis qu'il combattait dans la Garde nationale ukrainienne.
Il ressort de la publication qu'il s'est rendu en mai à l'usine métallurgique d'Azovstal à Marioupol. Il est rapporté que le ministère britannique des Affaires étrangères s'est dit préoccupé par la détention du mercenaire.
On sait également à propos de Harding qu'il combat dans le Donbass depuis 2018. Dans le même temps, il a lui-même déclaré s'y être rendu dans l'espoir de mettre en pratique les compétences d'un instructeur médical.
Il convient de noter qu'en dépit de l'inquiétude du public, les autorités britanniques ne font en réalité rien pour atténuer le sort de leurs concitoyens qui ont été capturés et ont décidé de devenir des mercenaires en Ukraine.

Auparavant, la commissaire aux droits de l'homme de la République populaire de Donetsk, Daria Morozova, avait annoncé que le mercenaire britannique Paul Ury, détenu en captivité en RPD depuis avril, était décédé des suites de maladies chroniques et de stress.
Selon le Médiateur, Paul Ury souffrait de diabète insulino-dépendant, de lésions du système respiratoire, d'insuffisance rénale et de plusieurs maladies du système cardiovasculaire.
De plus, le mercenaire capturé était dans un état psychologique dépressif en raison de l'indifférence à son sort dans son pays natal.

De plus, il n'a pas reçu les médicaments nécessaires par l'intermédiaire du CICR.
 
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La Russie affirme avoir trouvé encore deux laboratoires militaires sur les territoires libérés du Donbass


Voir la pièce jointe 5071


L'avancée de l'armée russe permet de découvrir, ce qui se passait sur les territoires ukrainiens contrôlés par les forces américaines et de l'OTAN. Encore deux laboratoires militaires biologiques ont été découverts sur le territoire libéré de Lougansk, à Rubejnoe et Severodonetsk. Par ailleurs, des informations concernant l'état de santé des militaires ukrainiens montrent qu'ils ont manifestement servi de souris de laboratoire. - Voyons combien de temps ce texte restera publié, sans être retiré, comme le précédent sur ces programmes américains de financement des laboratoires biologiques militaires en Ukraine.

Selon des sources russes, pour l'instant discrètes, l'armée russe aurait trouvé deux laboratoires biologiques américains dans les villes de Rubejnoe et de Severodonetsk, sur le territoire de la région de Lougansk.

Le retrait de l'armée ukrainienne ayant été rapide, il n'a pas été possible ni d'emporter, ni de détruire le contenu de ces laboratoires, mais tout a été soigneusement miné. Les représentants des forces de l'ordre sont sur place, ainsi que les experts, afin de comprendre ce qui se tramait dans ces laboratoires.

Rappelons que, documents à l'appui, le ministère russe de la Défense a déclaré le 6 mars de cette année, que les USA ont dépensé plus de 200 millions de dollars pour des laboratoires militaires biologiques ukrainiens :

Comme il ressort du rapport, le Pentagone et le Department of Defense Threat Reduction Administration (DTRA), ainsi que Black & Veatch (Overland Park, Kansas) et CH2M Hill (Englewood, Colorado) ont participé au programme du côté américain, et l'Institut de recherche Kievsky Gromashevsky sur l'épidémiologie et les maladies infectieuses, l'Institut de médecine vétérinaire (Kiev), le Centre de santé publique du ministère de la Santé de l'Ukraine (Kiev), l'Institut Mechnikov de microbiologie et d'immunologie (Kharkiv), le Centre ukrainien de recherche contre la peste (Odessa), Institut de recherche d'épidémiologie et d'hygiène de Lvov.
Sur la trentaine de laboratoires ukrainiens, qui ont participé au programme militaire américain, 11 laboratoires du Département central sanitaire épidémiologique du ministère ukrainien de la Défense participaient au monitoring de la situation biologique, de la sélection et du transfert des souches, etc. De plus, à l'occasion de ce monitoring un contrôle de l'accès aux agents pathogènes (PACS) a été instauré. Le ministère russe de la Défense précise encore :

Il est à noter que des souches et des biomatériaux ont été collectés et transférés à l'US Army Reed Research Institute. Il s'agit d'échantillons de souches hautement pathogènes d'agents pathogènes de maladies infectieuses (peste, charbon, choléra, tularémie, brucellose, virus Crimée-Congo, hantavirus, virus de l'encéphalite à tiques et leptospirose), ainsi que de 4 000 échantillons biomédicaux provenant des membre de l'armée ukrainienne.
Depuis, les médecins russes examinent les prisonniers militaires ukrainiens et ont fait d'étranges découvertes, confirmant que ces militaires ont fait l'objet d'expérimentations médicales pendant des années, car leur taux de maladie est largement au-dessus de la moyenne normale :

"un tiers des militaires examinés avaient (ou sont actuellement malades) de l'hépatite A, plus de quatre pour cent avaient une fièvre avec syndrome rénal, vingt autres pour cent souffraient d'une maladie au nom exotique de fièvre du Nil occidental."
Il est évident que les plateformes et les médias bloquent toute publication sur le sujet, qui est vraiment trop sensible ... et scandaleux. L'on comprend mieux le jusqu'au-boutisme atlantiste, qui ne peut se permettre de voir révéler ses secrets de familles peu ragoûtants.
 
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Trois avions de l'US Air Force ont été supprimés au-dessus de la mer Noire et près des frontières de l'Ukraine en une journée

Au moins trois avions de l'US Air Force ont été supprimés par des systèmes de guerre électronique au-dessus de la partie occidentale de la mer Noire et de la Roumanie.

Une tentative de l'armée américaine d'effectuer une autre reconnaissance au-dessus des eaux de la mer Noire et dans l'espace aérien de la Roumanie, près de la frontière avec l'Ukraine, a été contrecarrée par des systèmes de guerre électronique. En fait, ce n'est qu'au cours de la dernière journée au-dessus des eaux de la mer Noire que trois avions militaires américains ont été supprimés par la guerre électronique, et la suppression a été effectuée dans une plage étroite - seuls les avions militaires ont été touchés.


Voir la pièce jointe 5077

Selon le service ADS-B Exchange, trois avions militaires américains ont simultanément subi de puissantes attaques de guerre électronique, comme en témoigne le fonctionnement perturbé des systèmes aéronautiques et du système de positionnement global dans cette région. Apparemment, la suppression électronique des avions américains était étroitement ciblée et n'affectait qu'une petite région.

Voir la pièce jointe 5076

Les experts soulignent que lorsque des avions militaires américains sont apparus dans le nord-est de la Roumanie et dans la partie ouest de la mer Noire, ces derniers ont immédiatement perturbé les systèmes. Cela peut également être vu à partir des données du signal satellite, en particulier, au lieu des informations habituelles, des informations ont été transmises avec des échecs. À savoir, une violation de la définition des coordonnées actuelles des aéronefs, des indicateurs d'altitude et de vitesse de vol, etc. a été enregistrée.

Voir la pièce jointe 5075

On ne sait pas à quel point l'utilisation de contre-mesures électroniques pourrait affecter le travail de l'aviation américaine, étant donné le réglage du «bruit» d'équipements hautement sensibles, il est évident que les systèmes de guerre électronique ont gravement perturbé les missions de l'aviation américaine.
 
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Sabina Adler, journaliste pour la publication allemande Deutschlandfunk, a exprimé l'opinion que le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est révélé être un autocrate en limogeant le chef du SBU et le procureur général.
Elle a noté que la révocation des fonctionnaires s'est produite sans aucune raison apparente.
L'acte de Zelensky nuit à l'image de l'Ukraine avec ses aspirations à la "famille européenne", a déclaré Adler.
"Ce n'est que sous les autocrates que les têtes commencent à rouler sans aucune preuve.
De telles procédures sont inappropriées dans un État de droit, en particulier un État candidat à l'UE », a-t-elle écrit.
Adler a expliqué le limogeage du procureur général Venediktova et du chef du SBU Bakanov en élargissant les pouvoirs du président ukrainien.
Selon elle, cela contredit également les principes de la démocratie.
« Habituellement, ce n'est pas le président qui décide qui reste ou devient procureur général ou chef des services secrets ; Le Parlement doit également donner son accord », a ajouté l'un d'eux.
 
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Opération Z : Ne les interrompez pas


L’une des observations de Napoléon est qu’il ne faut jamais interrompre ses ennemis lorsqu’ils commettent une erreur. Les Russes le savent, notamment parce qu’ils ont pris soin de ne pas interrompre Napoléon lui-même en 1812. Poutine et son équipe ont eu de nombreuses occasions de rencontrer les dirigeants de l’OTAN, de les observer, de négocier avec eux et de les évaluer. Il est peu probable qu’ils soient très impressionnés. Mais lorsqu’ils ont lancé leur « opération militaire spéciale » en Ukraine, ils n’auraient jamais pu imaginer à quel point l’OTAN serait autodestructrice.

Quelles erreurs ? Premièrement, en fait, l’Occident ne s’est pas tiré une balle dans le pied avec ses sanctions économiques – le Hongrois Viktor Orban a raison lorsqu’il observe qu’il s’est logé une balle dans les poumons. On peut toujours boiter avec un pied cassé, mais une balle dans les poumons, c’est plutôt grave. Deuxièmement, qui, à Moscou, aurait pu imaginer que l’OTAN déverserait ses stocks de munitions et d’armes dans le trou noir ukrainien dans l’espoir que, si elle parvient à faire parvenir la dernière wonderwaffe au général Steiner, elle sera à Moscou pour Noël.

Une bonne raison pour Moscou d’y aller en douceur – laisser les erreurs se développer, s’aggraver et se métastaser. C’est en train de se produire tout seul. Naturellement, inévitablement, logiquement. Aucun effort extérieur n’est requis. Un bonus inattendu.

Ne les interrompez pas.

Prenez l’Allemagne, « le moteur de l’Europe ». Elle repose sur une chose – la réputation de l’ingénierie et de la qualité allemandes – Mercedes/Miele/Bosch, ils coûtent peut-être plus cher mais ils sont moins chers à long terme parce qu’ils sont si bien fabriqués. Aucun pays occidental ne fabrique beaucoup de choses de nos jours, mais l’Allemagne continue de le faire. En fait, seules la Corée du Sud et la Chine consacrent une part plus importante de leur économie à la fabrication. (L’Amérique, le colosse d’autrefois, représente la moitié de l’Allemagne !) Mais la fabrication nécessite de l’énergie. L’énergie allemande vient de Russie – pas en totalité – environ 20%. Mais le charbon représente 40% et le nucléaire 10% et ils doivent les réduire parce que Greta le veut, ce qui signifie qu’ils ont besoin de plus de gaz, qui est moins cher et plus « propre » et qui vient principalement de Russie, ce qui nécessite la construction d’un autre pipeline. Mais ensuite, ils décident que l’Ukraine est le grand problème moral et ferment le gazoduc et augmentent le charbon, dont ils vont se débarrasser complètement en 2030 grâce à l’énergie éolienne. Et qu’en est-il des centrales nucléaires ? Les ailes de la licorne battent. Difficile d’être écolo et de détester la Russie en même temps.

Et interdisons la potasse de Russie et de Biélorussie. C’est environ un tiers de la production mondiale. Interdisons le blé russe (c’est l’exportateur numéro 1) et le pétrole (c’est l’exportateur numéro 2).

Oh, et en confisquant les actifs russes, ils ont montré au monde entier que seul un idiot garderait sa richesse en monnaie de l’OTAN dans une banque de l’OTAN.

Et tout cela pour un pays à qui ils ont menti sur son adhésion à l’OTAN.


Ne les interrompez pas.

Scène – Bureau de Napoléon – Un laquais entre « Sire, vos ennemis ont interdit un grand exportateur d’énergie, un grand exportateur de nourriture et un grand exportateur d’engrais ». Napoléon va-t-il s’écrier « Arrêtez, mes chers ennemis, vous allez vous détruire avec l’inflation ! ». Probablement pas.

Tout le monde mange de la nourriture et tout le monde a besoin d’énergie, leurs prix vont augmenter et entraîner tous les autres prix avec eux. L’inflation européenne était de 8,8% en mai. Mais elle n’a pas encore décollé : les prix de l’énergie au Royaume-Uni devraient augmenter de 65% en octobre et de nouveau en janvier. La crise ne fait que commencer.

Des problèmes dans les rues de toute l’Europe et deux des sept plus gros bonnets disparus un mois plus tard.


Ne les interrompez pas.

Les missiles antichars Javelin étaient la wonderwaffe il y a quelques mois – à la mi-avril, l’Amérique avait envoyé un tiers de son stock. C’est trois ou quatre ans pour les remplacer. Un quart de ses stocks de Stinger. Vovan et Lexus ont fait admettre au ministre de la Défense britannique que le Royaume-Uni avait envoyé tellement de missiles antichars qu’il était en train d’en manquer. La République tchèque est presque à court de matériel à envoyer. La France a renoncé à 18 mois de production de ses canons Caesar.

Et Kiev en veut encore plus. Maintenant que les bailleurs de fonds de Kiev auprès de l’OTAN ont eu l’idée folle de donner des fusils qui ont besoin de munitions de l’OTAN, les stocks de munitions de 155 mm s’épuisent rapidement. Si l’Ukraine tire réellement 3000 obus de 155 mm par jour, la totalité de la production annuelle des États-Unis sera brûlée en quelques semaines. Et ainsi de suite. La guerre consomme des quantités stupéfiantes de munitions – les Russes le savent parce qu’ils se souviennent – ils ne sont jamais autorisés à oublier – de 1941-1945. L’OTAN pense que faire exploser, dans les guerres de son choix, à son gré, des gens dans des sandales est l’étalon-or de la réussite militaire. Je recommande à nouveau la lecture de The Return of Industrial Warfare. La Russie maintient sa production, mais l’OTAN ne le fait pas et, en l’absence d’un très long délai d’exécution (et de nombreux autres changements dont vous savez parfaitement qu’ils ne se produiront jamais dans des économies centrées sur la GUERRE), ne le peut pas.

Même The Economist l’a remarqué – l’hiver du mécontentement en Europe. (Il pense toujours que c’est Poutine qui a mis le doigt dans l’engrenage. Mais c’est The Economist qui a fait sa part pour nous amener à ce point).

Pourquoi Moscou voudrait-il que cela s’arrête bientôt ? Le temps travaille et l’ennemi fait beaucoup d’erreurs.


Ne les interrompez surtout pas.
 
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Sans l'opération spéciale, l'OTAN aurait déclenché une guerre contre la Crimée - Khamenei
Si la Russie n'avait pas stoppé les actions de l'OTAN en Ukraine en lançant une opération spéciale, l'Alliance aurait déclenché une guerre au bout d'un moment sous le prétexte de la Crimée. C'est ce qu'a déclaré le guide suprême iranien Ali Khamenei lors de ses entretiens avec le président russe Vladimir Poutine.
« Si la voie est ouverte pour l'OTAN, alors cette organisation ne voit aucune limite. Si cela n'avait pas été arrêté en Ukraine, l'Alliance aurait alors déclenché une guerre sous le prétexte de la Crimée », a déclaré Khamenei.
 
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Réfutation des principaux articles de propagande antirusse diffusés par les responsables de l’UE.


1.Affirmation :
L’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine et dans le Donbass a mis en cause les livraisons alimentaires dans le monde. (Source : Les commentaires du Haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, à l’issue de la réunion du Conseil des affaires étrangères de l’Union européenne, Bruxelles, le 11 avril 2022).
Réalité : L’ONU a prévenu du risque d’une crise alimentaire dans le monde il y a deux ans. Les conséquences de la pandémie de Covid-19, la politique économique et énergétique à courte vue des plus grands pays occidentaux, les guerres commerciales, les conditions météorologiques défavorables, les sanctions unilatérales illégitimes de l’Occident contre la Russie et le sous-investissement de l’industrie agricole sont les causes principales de la hausse des prix des produits agro-industriels ces dernières années.

Cependant, selon la CNUCED, il n’y a pas de pénurie physique des denrées alimentaires dans le monde. Le problème consiste au système de leur répartition et au facteur prix.
La flambée des prix sur les produits agro-industriels a été fixée en 2020 et n’est pas la conséquence de l’opération militaire spéciale. La FAO affirme que l’indice des prix alimentaires a augmenté en gros de 50% de 2019 à février 2022. En 2021, selon les données de bourses, les prix du blé étaient en hausse de 25% en dépassant vers février 2022 de 31-62% la moyenne des cinq dernières années. Pendant les deux dernières années les prix du maïs ont augmenté de 162%, ceux du colza – de 175%.
La pandémie de coronavirus a largement perturbée les chaînes logistiques et d’approvisionnement dans le monde. Des injections financières anti-crises accrues visant à redresser les économies de l’Union européenne (UE), des États-Unis et du Japon après la pandémie ont provoqué une montée en flèche de la demande et, par conséquent, de l’inflation tandis que les réserves alimentaires étaient les plus bas en ces 5-10 dernières années. Les décisions mal réfléchies de l’UE de transition précipitée à « l’énergie verte » ont abouti aux prix record des hydrocarbures ce qui a entraîné l’augmentation du coût de la production agricole : les frais du carburant et de l’électricité ont considérablement augmenté (en 2020-2022 les prix du pétrole étaient en hausse de plus de 22%, et les prix moyens d’électricité en Europe ont battu les records historiques en mars 2022 en passant de 350% à 530% dans certains pays-membres de l’UE par rapport à la même période de 2021). Cela a eu un effet immédiat sur la production du blé et des engrais minéraux (les prix du carbamide et du salpêtre ont augmenté de 3,5 à 4 fois, les autres – de 2,5 à 3 fois). Les conditions météorologiques défavorables et les cataclysmes naturelles dans certaines régions du monde ont aggravé la situation. Les restrictions anti-Covid sur les circulations internationales, les ruptures du trafic des marchandises et les volumes baissés du fret ont fait augmenter les frais de transport. Les tarifs du fret ont presque doublé. Les mesures restrictives unilatérales illégitimes de l’Occident contre la Russie, y compris les entraves relatives à l’expédition des marchandises, les difficultés de paiement des livraisons, l’interdiction de transactions, les problèmes douaniers, sont devenues les facteurs de risque supplémentaires en matière de sécurité alimentaire mondiale.
Bruxelles a déclaré ouvertement une guerre commerciale et économique totale à notre pays en ignorant le fait que la Russie est l’un des leaders mondiaux de l’approvisionnement des produits agricoles de base (blé, orge, tournesol, engrais minéraux, cultures fourragères) notamment dans les pays à faible revenu qui sont exposés au risque de la pénurie alimentaire.
Au lieu de faire des accusations mal fondées les dirigeants de l’UE devraient s’occuper du traitement efficace des erreurs systémiques de leur politique macroéconomique, financière, commerciale, énergétique et agro-industrielle et arrêter de détourner les flux commerciaux au détriment des pays en voie de développement ainsi que renoncer à la pratique vicieuse des mesures restrictives unilatérales qui contredisent les normes du droit international.

2.Affirmation : La Russie occupe les territoires de l’Ukraine et bombarde ses terres agricoles. Les semailles en Ukraine en 2022 sont menacées. (Source : le post sur le blog du Haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Josep Borrell « L’insécurité alimentaire : il est temps d’agir », le 7 avril 2022).
Réalité : Le vrai objectif de l’opération militaire spéciale des forces armées russes est la protection de la population civile de la République populaire de Donetsk (RPD) et de la République populaire de Lougansk (RPL) contre une menace réelle de la part des « bataillions volontaires » néonazis. Les militaires russes n’occupent pas l’Ukraine et n’ont pas cette intention. Ils remplissent leur devoir de contraindre Kiev à la paix sur les conditions de la démilitarisation, de la dénazification, de la neutralité et du statut non-nucléaire d’un État qui ne menacerait pas une partie de sa propre population et ses voisins.
Les autorités ukrainiennes affirment que cette année les semailles sont en cours dans toutes les régions du pays. Leur taux est de 20-30% de moins qu’en 2021. Vers mi-mai 2022 8,6 millions d’hectares de terres sont ensemencés de différentes

cultures agricoles soit 24% de moins par rapport à l’année dernière. Le déficit des carburants et des lubrifiants (destinés pour les forces armées ukrainiennes), la mobilisation des hommes, le minage des champs et des zones maritimes sont les raisons principales de ce ralentissement. Néanmoins, le 11 mai 2022 le Premier ministre ukrainien Denis Chmygal a admis que « malgré les difficultés bien connues » les agriculteurs ukrainiens ont « relevé le défi ».

3.Affirmation : La Russie détruit délibérément l’agriculture ukrainienne y compris les machines agricoles, les greniers et l’infrastructure spécialisée. (Source : L’allocution de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen au cours de la session du Forum économique mondiale à Davos le 24 mai 2022).
Réalité : Dans sa manière habituelle Bruxelles trompe la communauté internationale en manipulant les faits. La Commission européenne ainsi que les structures ukrainiennes qui portent de pareilles accusations (l’ONG « Ukrainian nature conservation group », le Comité sur la politique agricole et foncière etc.) ne présentent pas de preuves documentaires, y compris des vidéos et des photos. Il n’y a pas de données publiques sur le nombre et les noms des sites d’infrastructure agricole et des objets techniques détruits au cours des combats.
La Russie souhaite que l’Ukraine, aussi bien que la RPD et la RPL, restent des États autosuffisants en termes de la sécurité alimentaire. C’est dans l’intérêt national russe et cela permet de diminuer la pression migratoire sur notre pays. Nous faisons des efforts nécessaires pour cela. La campagne des semailles a débuté sur les territoires libérés, les activités de reconstruction sont également en cours, notamment la restauration de l’infrastructure agricole. Les producteurs de différentes régions russes fourniront des graines de légumes et de céréales afin de les livrer dans le Donbass. 40 tonnes de semences ont été déjà livrées dans la RPD et la RPL.

Cependant, les militaires russes ont déjà neutralisé plus de
12 000 objets explosifs au cours du déminage humanitaire des terres agricoles dans le sud de l’oblast de Kherson.
En attisant fortement les tensions autour d’une crise alimentaire qui menace le monde, Bruxelles a annoncé la mobilisation à grande échelle pour sortir sans délai des millions de tonnes de сéréales ukrainiennes vers l’Union européenne. Avant juillet 2022 elle envisage d’en sortir quelque 20 millions de tonnes.
Les corridors de transport alternatifs à la voie maritime bloquée à cause de Kiev sont créés à ces fins. Le déploiement rapide près de la frontière ukrainienne des poids lourds, des wagons marchandises et des barges pour transporter des céréales est prévu. Les créneaux spéciaux pour les trains chargés des céréales seront ajoutés à l’horaire ferroviaire. Les droits de douane sur les exportations ukrainiennes seront supprimés pour un an. L’UE fait sortir le blé, le mais, les oléagineux d’énormes quantités. De nombreuses vidéos publiées dans les médias en témoignent. Pourtant, cela n’empêche pas Bruxelles d’accuser Moscou de la manière la plus cynique et sans fondement « de la réquisition » des réserves de céréales ukrainiens et des machines agricoles d’une manière bolchevique.
La campagne lancée par l’UE pour faire sortir les céréales de l’Ukraine ne peut que susciter des doutes concernant le consommateur final de ces produits. La question se pose dans quelle mesure ils seront éventuellement livrés dans les pays tiers dans les intérêts desquels prétend d’agir Bruxelles. Il y a de fortes raisons de croire que les recettes tirées de la vente des denrées alimentaires sont utilisées pour payer les armes et les matériaux militaires occidentaux destinés à l’Ukraine.
Une situation similaire a eu déjà lieu dans l’histoire de l’Ukraine. En février 1918 selon l’accord du gouvernement de la Rada centrale ukrainienne, les troupes allemandes et autrichiennes sont entrées en Ukraine sous prétexte de la protection contre la Russie soviétique. En échange, 37 000 wagons des denrées alimentaires ukrainiennes ont été exportées à Berlin et à Vienne.
Nous avons déjà vu le vrai prix de « l’humanisme » occidental sur l’exemple de la lutte contre la crise de coronavirus, surtout concernant la répartition et les livraisons de vaccins. Comme le montre la pratique, cette aide vise, tout d’abord, à servir les intérêts géopolitiques de l’UE.
L’UE envisage de faire sortir les denrées alimentaires de l’Ukraine en quantités énormes malgré les prévisions des experts internationaux sur la baisse considérable des récoltes en Ukraine cette année. Les conséquences inévitables pour les Ukrainiens, à savoir la hausse des prix et la pénurie alimentaire, ne sont pas, bien sûr, prises en considération.
C’est donc l’Union européenne qui sape le fondement de l’agriculture et non seulement en Ukraine.
Depuis 2014, l’UE ne s’est pas montrée, pour le moins, préoccupée par la sécurité alimentaire de la RPD et de la RPL. En plus, après la reconnaissance de leur indépendance par la Russie le 23 février 2022 l’UE a imposé parmi d’autres mesures le blocus commercial en interdisant les exportations des machines agricoles dans ces républiques.

4.Affirmation : La Russie bloque les livraisons des céréales par la mer Noire. (Source : Les commentaires du président du Conseil européen Charles Michel au cours de sa visite à Odessa le 9 mai 2022).
Réalité : Ce sont les autorités de Kiev qui empêchent les navires commerciaux d’entrer et de sortir des ports ukrainiens de la mer Noire. Quelque 420 mines amarrées obsolètes ont été installées dans les mers Noire et d’Azov sur décision de Kiev. À cause de leur détérioration technique les mines se

décrochent des ancres et menacent tous les navires des États côtiers de la mer Noire. L’appartenance de ces mines à l’Ukraine a été confirmée, mais leur localisation reste inconnue. Plus tôt, plusieurs mines ont été neutralisées près des cotes de la Roumanie et de la Turquie. Ces dispositifs explosifs sont souvent trouvés dans la bande côtière de l’oblast d’Odessa. De plus, il persiste toujours la menace des bombardements de la part des forces armées ukrainiennes des navires civiles qui sont devenus plusieurs fois des cibles depuis le début de l’opération militaire spéciale. Comme résultat – des dizaines de navires étrangères restent bloqués dans les ports de Nikolaev, Kherson, Tchernomorsk, Otchakov, Odessa et Ioujny (à la date du 31 mai il s’agissait des 70 navires des 16 pays).
La Russie prend toutes les mesures nécessaires pour assurer la navigation civile dans les mer Noire et d’Azov. Chaque jour de 08h:00 à 19h:00 (heure de Moscou) les corridors humanitaires sont ouverts. Il s’agit de la zone sûre de la circulation des navires vers le sud-ouest des eaux territoriales ukrainiennes d’une longueur de 80 miles nautiques et d’une largeur de 3 miles nautiques. Kiev, à son tour, évite toute coopération avec les représentants des États-propriétaires des navires bloqués pour assurer leur sortie sûre.
La Russie a demandé à plusieurs reprises la communauté internationale, en particulier l’Organisation maritime internationale, d’influencer Kiev et prendre des mesures visant à débloquer et assurer la sécurité de sortie des navires étrangers des ports ukrainiens.

5.Affirmation : La Russie utilise le blé comme une arme et réduit ses livraisons ainsi que les livraisons d’engrais en réponse aux sanctions occidentales. (Source : L’allocution de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen lors de la session du Forum économique mondial à Davos le 24 mai 2022).

Réalité : La Russie en tant qu’acteur responsable du marché alimentaire mondial a l’intention de continuer à remplir de bonne foi ses obligations contractuelles relatives aux exportations des produits agricoles, des engrais, des hydrocarbures et d’autre production essentielle.
Nous sommes très préoccupés par une éventuelle crise alimentaire et nous sommes très bien conscient de l’importance des livraisons des produits essentiels, y compris les denrées alimentaires de base, pour le développement socio-économique des pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et du Moyen- Orient ainsi que pour la réalisation des objectifs du développement durable.
Cette année la Russie compte avoir une bonne récolte de blé ce qui permettra à notre pays d’exporter 25 millions de tonnes de blé à partir du 1 août 2022. Les capacités des exportations d’engrais de juin à décembre 2022 s’élèveront au moins de 22 millions de tonnes (20% de la consommation mondiale sur cette période).
Après le début de l’opération militaire spéciale la Russie continue à apporter l’aide humanitaire aux pays qui en ont besoin au niveau bilatéral et multilatéral. Dans le cadre du programme alimentaire mondial de l’ONU les denrées alimentaires russes ont été livrées au Liban, au Tadjikistan, au Kirghizistan, à Cuba, au Yémen et au Soudan. Le Soudan et Cuba ont reçu 20 tonnes d’aide chacun par la voie bilatérale.
Cependant ce sont les restrictions unilatérales illégitimes de l’UE, des États-Unis et de leurs satellites qui empêchent les relations normales d’exportation de la Russie (et de la Biélorussie) avec les acheteurs des céréales et d’engrais.
Le régime de sanctions instauré par Bruxelles, dont le but est de saper l’économie russe, touche les bases des activités économiques extérieures des sociétés russes, notamment celles du secteur agro-industriel, en limitant leurs capacités de produire les engrais et les denrées agricoles et de les exporter non seulement vers l’UE mais aussi vers les pays tiers. Le blocus économique persistant de la Crimée et de Sébastopol de la part de l’UE, y compris les restrictions contre les ports de Crimée est un facteur supplémentaire dans ce contexte qui a des effets néfastes pour la sécurité alimentaire globale.
Force est de constater que l’UE utilise explicitement le sujet de « la responsabilité » russe pour la situation aggravée en matière de sécurité alimentaire mondiale afin de pousser certains pays tiers à soutenir la politique antirusse de l’Occident.

6.Affirmation : Les sanctions européennes contre la Russie n’affecte pas la sécurité alimentaire parce que le secteur agricole de l’économie russe n’est pas ciblé par les sanctions de l’UE. (Source : Le post sur le blog du Haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Josep Borrell « L’insécurité alimentaire
: il est temps d’agir », le 7 avril 2022).
Réalité : Actuellement l’UE, les États-Unis et leurs partenaires ont imposé des sanctions unilatérales de grande ampleur et sans précèdent par leur envergure contre la Russie.
Effectivement, l’UE n’a pas mise en place l’interdiction globale sur les importations de produits agricoles russes. En fait, malgré l’embargo sur les livraisons de certains types d’engrais, l’UE a prévu des exceptions pour satisfaire ses propres besoins. Les importations d’engrais russes dans l’UE sont autorisées jusqu’au 9 juillet 2023 dans la mesure équivalente au volume moyen annuel de leurs importations (837 570 tonnes du chlorure de potassium, 1 577 807 tonnes d’autres engrais qui font l’objet de sanctions). Les pays- membres de l’UE ont aussi le droit d’autoriser à son gré l’escale portuaire pour les navires battant le pavillon russe ainsi que l’entrée des transporteurs routiers russes qui livrent la production agricole, y compris les engrais non soumis aux sanctions européennes et le blé.
Pourtant l’effet de ces « exceptions » reste largement illusoire. Bruxelles omet l’essentiel : les sanctions unilatérales antirusses nuisent aux plus grands producteurs et exportateurs russes des denrées agricoles. Elles touchent directement ou indirectement les capacités financières, celles d’exportation et de transportation de la Russie notamment dans le domaine alimentaire. L’objectif final de toutes ces actions est bien évident et consiste à saper l’économie russe, en particulier son secteur agro-industriel.
L’Union européenne crée délibérément un climat d’incertitude dans les relations commerciales avec la Russie. Des mesures strictes de contrôle sont imposées ou proposées pour contrôler la mise en œuvre des sanctions antirusses. Par exemple, Bruxelles propose d’introduire la responsabilité pénale pour le contournement ou l’aide dans le contournement des sanctions antirusses qui devrait, selon les projets de leurs initiateurs, contraindre les opérateurs économiques dans les pays-membres de l’UE à renoncer à la coopération avec leurs partenaires russes. Par conséquent, le transport de marchandises et la prestation de services financières et d’assurance sont fortement perturbés, les chaînes logistiques sont brisés y compris à cause de l’introduction des inspections douanières totales des marchandises importées de la Russie vers l’UE. Dans ce contexte, les structures financières et commerciales occidentales intimidées par les conséquences possibles de la violation des sanctions font traîner ou souvent interrompre les transactions.
Par ailleurs, les sanctions personnelles contre les propriétaires et les dirigeants des principaux producteurs et exportateurs russes des engrais, à savoir l’Uralchem, l’Eurochem, Phosagro, Akron, ont été imposées, ce qui limite largement la capacité de ces entreprises de maintenir les relations commerciales normales avec leurs partenaires étrangers traditionnels. L’avenir des usines qui leur appartiennent dans les pays-membres de l’UE est remis en question.
Il est évident que l’Union européenne délibérément prend des mesures qui visent à bloquer les exportations des produits alimentaires et des engrais russes en particulier pour empêcher la présence russe sur les marchés des pays tiers. Ainsi, Bruxelles cherche à aggraver la situation déjà difficile en matière de sécurité alimentaire globale sous couvert d’une rhétorique hypocrite.

7.Affirmation : L’opération militaire spéciale russe en Ukraine a entraîné une hausse des prix des hydrocarbures sans précédent (Source : La Commissaire européenne à l’énergie Kadri Simson, le 8 mars 2022).
Réalité : Les réservoirs de gaz souterrains en Europe étaient presque vides vers le printemps 2021 à cause de l’hiver froid de 2020-2021. L’UE a remis à plus tard le remplissage de ses réservoirs de gaz en attendant la baisse des prix. Pourtant, il n’y a pas eu la réduction saisonnière des prix du gaz à cause des difficultés économiques et technologiques des producteurs américains du gaz liquéfié, d’un nombre des facteurs naturels, du redressement progressifs de la conjoncture économique et de la demande accrue sur le gaz liquéfié en Asie où sont redirigés des volumes supplémentaires de l’offre. En plus, les capacités de l’énergie renouvelable de l’UE ont été exagérées (à cause des mauvaises conditions météorologiques l’éolienne a généré deux fois moins de l’électricité que prévu).
Par conséquent, l’Europe a fait face à une pénurie de gaz au milieu de 2021. Vers la fin de 2021 les réservoirs de gaz souterrains en Europe étaient remplis à seulement 72% (50,44% en Autriche, 54,43% auх Pays-Bas, 64,57% en Allemagne). Le début des livraisons via le gazoduc Nord Stream 2 pourrait apaiser la tension sur le marché européen du gaz mais il n’a pas été mis en service à cause de la pression des États-Unis et des forces antirusses au sein de l’UE.
La hausse des prix a été aussi provoquée par les erreurs stratégiques systémiques de la Commission européenne qui mène une politique irrationnelle de l’abandon des contrats de gaz à long terme en faveur des contrats spot (en septembre 2021 le prix du gaz pour 1000 m3 à dépassé 1000 dollars, en mars 2022 il a atteint 3600 dollars). Cependant, selon les estimations d’experts, le gaz russe serait de 40% moins cher dans le premier trimestre de 2022 pour l’Europe que celui acheté d’après les contrats spot. En plus, il est à souligner que d’après le modèle énergétique de l’UE, quel que soit le prix auquel les entreprises énergétiques de l’UE ont importé le gaz russe, elles le vendent aux sociétés et aux entreprises productrices (c’est-à-dire aux citoyens aussi) à des prix spot en faisant des profits excessifs. Cela fait que les entreprises font faillite, les prémisses du déficit de l’électricité surgissent et, par conséquent, les prix de l’énergie pour les consommateurs sont en hausse. Les autorités européennes ne l’expliquent pas à leurs citoyens.
La responsabilité revient aussi à la politique monétaire trop libérale de l’UE et des États-Unis aussi bien qu’aux financements énormes des économies occidentales après la pandémie ce qui a accéléré l’inflation et a entrainé la hausse des prix sur les bourses des matières premières. Le secteur pétrolier et gazier a été largement sous-financé à cause de l’imposition précipitée du Pacte vert et de la mise de la priorité générale à l’agenda climatique.
Les nouvelles sanctions occidentales et les spéculations constantes sur de nouvelles mesures restrictives antirusses en matière d’énergie qui provoquent les anticipations négatives sur les marchés sont le facteur clé du maintien des prix élevés sur les hydrocarbures.
Le gel des réserves en devises de la Banque centrale de la Russie aussi bien que les restrictions imposées sur les actifs étrangers du Gazprom et d’autres éléments de la politique de sanctions ont forcé les autorités russes d’introduire des mécanismes pour garantir la réception par les fournisseurs russes du paiement pour le gaz livré de la part des clients étrangers. Les pays qui imposent contre nous les sanctions doivent désormais payer pour le gaz en roubles. À la date du 18 mai 2022 presque la moitié des 54 sociétés-importateurs des pays inamicaux ont rempli ces conditions. Ceux qui refusent, à savoir la Bulgarie, le Danemark, les Pays-Bas, la Pologne, la Finlande, devraient payer plus cher pour les livraisons provenant des autres sources.
Les calculs des pays européens de remplacer rapidement le gaz russe par le gaz liquéfié sont illusoires. La demande mondiale du gaz liquéfié en 2022 dépassera l’offre (436 millions de tonnes de la demande contre 410 millions de tonnes de l’offre). Les nouveaux projets ne commenceront à fonctionner qu’à partir 2024 tandis que les projets actuels peuvent assurer l’augmentation des livraisons de 10,6 millions de tonnes par an au maximum (15 milliards de m3). Selon le plan « REPowerEU : Action européenne conjointe pour une énergie plus abordable, plus sûre et plus durable » et la stratégie « Rélations extérieures de l’UE en matière d’énergie dans un monde en évolution », la Commission européenne propose de renoncer aux hydrocarbures russes, par moyen de recherche des fournisseurs alternatifs, de développement des sources de l’énergie renouvelables, d’économie totale d’énergie et d’augmentation de l’efficacité énergétique, mais elle n’élabore pas de mesures réelles pour réduire les prix des hydrocarbures. En même temps, la Commission tente d’empêcher la Russie de trouver de nouveaux marchés en créant ainsi le risque du déficit artificiel des hydrocarbures et l’incertitude sur les marchés mondiaux.

8.Affirmation : La Russie utilise les livraisons des hydrocarbures à des fins politiques (Source : Le poste sur le
blog du Haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Josep Borrell
« La sécurité énergétique de l’Europe et la coopération UE- États-Unis », le 6 février 2022).
Réalité : En 2021, l’UE a importé 40% de gaz, 27% du pétrole, 46% du charbon de la Russie. Depuis le début des livraisons de gaz en Europe à la fin des années 1960 l’URSS et puis la Russie partaient du principe que la coopération énergétique devait rester hors de la politique. Après l’escalade de la rhétorique dans les années 2000 de la part des milieux européens ayant une attitude négative vis-à-vis de la Russie, nous avons constamment appelé Bruxelles à ne pas politiser la coopération en la matière. Nous avons souligné que la coopération énergétique se passait dans l’intérêt des deux parties, elle approchait les économies de la Russie et des pays-membres de l’UE et apportait une contribution stabilisatrice au maintien de la sécurité sur le continent européen.
En suivant les appels des Européens et en cherchant à accroître la coopération mutuellement avantageuse avec nos voisins occidentaux, ces dernières décennies la Russie a mis en œuvre de nouveaux projets pétroliers et gaziers et a construit les gazoducs et les oléoducs vers l’Europe. À ces fins, le dialogue énergétique Russie-UE a été lancé en 2000, sa structure diversifiée a été formé, en 2013 la feuille de route de la coopération énergétique entre la Russie et l’UE jusqu’à 2050 a été adoptée. Une convergence des normes en matière d’énergie était en cours, la viabilité d’une coordination des stratégies énergétiques a été examiné.
Même au cours des « conflits » gaziers entre la Russie et l’Ukraine en 2005-2006 et en 2008-2009, ainsi qu’après 2014, Moscou a fait preuve de sa crédibilité et a garanti les approvisionnements réguliers des hydrocarbures selon ses obligations. Lors du Forum des pays exportateurs de gaz à Doha en février 2022, la partie russe a réaffirmé son engagement à continuer les exportations de gaz sur les marchés internationaux y compris en Europe.
En attribuant sans fondement à la Russie les plans d’arrêter les livraisons des hydrocarbures en Europe, nos malveillants dans l’UE et aux États-Unis tentent par tous les moyens de séparer la Russie de l’Europe, de rompre tous les liens entre nous, même si cela causera d’énormes dégâts pour l’économie des États-membres de l’UE et de leurs citoyens. Des allégations que Moscou utilise les approvisionnements des hydrocarbures à des fins politiques sont devenues partie intégrante d’une guerre d’information en contradiction aux faits réels, déclenchée contre la Russie par Bruxelles et Washington. Les États-Unis cherchent, par ailleurs, à augmenter ses exportations du gaz liquéfié vers l’Union européenne.
Il n’y a pas de véritable alternative à l’énergie fossile russe sur le marché européen à court terme. Si leurs livraisons sont limitées, les pays-membres de l’UE et leurs citoyens feraient face à d’énormes difficultés. Dans certaines capitales européennes on le comprend très bien. À ce titre, malgré les déclarations sur le refus des hydrocarbures russes, plusieurs pays européens achètent davantage le gaz russe pour remplir leurs réservoirs souterrains.
Ainsi, il est évident qu’en introduisant ou en envisageant d’introduire des sanctions unilatérales contre les livraisons des hydrocarbures russes, c’est l’Union européenne qui politise le domaine énergétique et tente d’utiliser l’interdépendance des consommateurs et des fournisseurs d’énergie comme un instrument de la pression politique, tout en portant atteinte à sa propre économie et au bien-être socio-économique de ses citoyens, déstabilisant la situation difficile sur les marchés mondiaux de l’énergie. La décision sur l’interdiction partielle des importations de pétrole et de produits pétroliers russes dans l’UE prises lors de la réunion du Conseil européen les 30 et 31 mai 2022 confirme que l’UE n’est pas prête à abandonner cette pratique vicieuse, sans prendre aucun compte des intérêts de la communauté mondiale.
 
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À en juger par toutes les mises en scène de la guerre en Ukraine qu’on voit se monter en direct sous nos yeux, comment peut-on encore croire à celles de la Seconde Guerre mondiale – elles-mêmes souvent héritées de la Première Guerre ?

Plutôt que d’insister en détail sur la réfutation de chacune d’entre elles, une simple présentation en liste fera sauter aux yeux leur caractère d’ensemble – pas très flatteur pour le niveau de crédulité et l’ampleur des bas instincts du public soi-disant le plus civilisé et le plus formé à l’esprit critique du monde : les Occidentaux.

18-23 février 2014, Maïdan

S’agissant de l’Ukraine, la toute première mise en scène est celle de la répression meurtrière du Maïdan : imputée par l’Occident soit aux forces de sécurité fidèles à V. Ianoukovitch, soit aux services spéciaux russes, c’était une provocation des radicaux de l’opposition orchestrée en étroite collaboration avec les services spéciaux occidentaux.

On peut d’ailleurs se demander si le choix du 24 février comme date de début de l’opération spéciale en 2022 n’est pas une manière pour les Russes de commémorer et de répondre au coup d’État du Maïdan.

17 juillet 2014, le vol MH17 Malaysia Airlines abattu en Ukraine

Comme il n’était pas décemment possible de soutenir que les bandes séparatistes constituées à la hâte dans l’urgence du moment étaient en mesure de mettre en œuvre des missiles Buk – il faut pour cela des régiments spécialisés dans l’antiaérien avec des techniciens qualifiés – on a fait partir le missile de Russie. Mais l’enquête menée par Le Conseil de sécurité et le ministère de la Défense des Pays-Bas écartent systématiquement la Russie et les discussions entre les pilotes et les contrôleurs du MH17 n’ont toujours pas été rendues publiques.

C’est à partir de cet événement qu’a eu lieu la première vague de sanctions contre la Russie, une question : qui avait besoin à l’époque d’une telle vague de sanctions, la Russie ou l’Ukraine et, plus largement, l’Occident ? La réponse à cette question désigne automatiquement le vrai coupable de la destruction en vol du MH17.

24 février 2022, garnison de l’île aux serpents

Les 13 soldats de la garnison de l’île aux serpents sont massacrés après avoir dit aux marins du croiseur Moskva « d’aller se faire foutre ». En réalité, les 13 soldats sont vivants et en bonne santé, en captivité, traité avec humanité.

9 mars 2022, maternité de Marioupol

Bombardement de l’hôpital pour enfants et maternité de Marioupol. La maternité était vidée de tout le personnel médical, et bien entendu, des parturientes, il était devenu un poste de combat aux mains des nationalistes d’Azov.

Entre 27 février et 31 mars 2022, massacre de Boutcha

Une armée russe en déroute et humiliée, de rage, se lance dans une frénésie de viol et de meurtre sur des civils sans défense.

En réalité, après avoir montré au monde entier la « Tragédie de Boutcha » début avril 2022 (on soupçonne que les Anglo-Saxons ont participé à la « conception de la mise en scène »), l’Occident et Kiev ne répondent toujours pas aux questions élémentaires sur la question de savoir si les noms des morts ont été établis et quels sont les résultats des études postmortem.

Et surtout, depuis, nous savons que l’armée russe n’était pas en déroute, qu’elle se redéployait sur le Donbass, et qu’elle gagne.

14 mars 2022 un Tochka U tombe sur Donetsk

La presse occidentale, notamment la Stampa, se ridiculise – sans s’excuser – en illustrant l’horreur de l’invasion russe dans le Donbass en montrant d’authentiques photos des scènes de carnage suite à l’arrivée d’un Tochka U. Problème, Donetsk est la capitale d’une des républiques séparatistes !

8 avril 2022 Tochka-U sur la gare de Kramatorsk

De nouveau un Tochka U tombe sur des civils qui cherchaient à évacuer la ville par le train à la gare de Kramatorsk. Non seulement le Tochka U n’est plus en dotation dans l’armée russe, mais le numéro de série du missile, tel que montré par la télévision ukrainienne, est le numéro d’une série appartenant aux forces armées ukrainiennes. De plus, ce sont les autorités ukrainiennes qui avaient encouragé les civils cherchant à partir à se réunir ce jour-là et cette heure-là devant la gare.

27 juin Supermarché de Krementchouk

Un dépôt de munitions est visé et détruit par les missiles russes à Krementchouk. Le supermarché attenant prend feu, mais il n’était pas ouvert. Curieux comme la propagande de Kiev et de l’OTAN s’emmêle les pinceaux, car en principe, la Russie avait épuisé ses stocks de missiles fin mars …

15 juillet 2022 un missile tombe en plein centre-ville de Vinnytsia

Pour les Russes, c’est un coup de maître, à Vinnytsia se tenait une réunion du haut commandement de l’armée de l’air venu rencontrer d’éventuels fournisseurs des compagnies militaires occidentales. La frappe décapite l’armée de l’air ukrainienne et rend totalement inutile la livraison de nouveaux avions.

Selon l’armée ukrainienne, les missiles ont touché le parking et un immeuble commercial du centre de la ville, abritant des bureaux et des petits commerces. Au moins 23 personnes ont été tuées.

La version des Russes est quand même la plus crédible, en effet, dès le 17 juillet, deux jours après la frappe sur cette réunion forcément ultra-secrète dont ils ont pourtant eu vent, Volodymyr Zelensky, a suspendu la procureure générale Iryna Venediktova et le chef des services de sécurité du pays (SBU) Ivan Bakanov, en raison de soupçons de trahison de certains de leurs subordonnés au profit des Russes.

En résumé

Au cours des dix dernières années, les Russes ont réussi à réprimer dans le sang une manifestation à Maïdan, à abattre un avion civil, à massacrer une garnison réduite et isolée d’une île minuscule, à bombarder une maternité, à bombarder leurs propres civils à Donetsk et des réfugiés en fuite à Kramatorsk, à détruire un supermarché à Krementchouk (et un autre à Kiev au début de la guerre) à saccager le centre-ville de Vinnystsia – distante d’au moins 500 km de la plus proche zone de combat et tout ça sans compter que dans le même temps ils ont empoisonné Navalny et Skripal (dans les deux cas, de nombreuses demandes officiellement envoyées par la partie russe à La Haye, Londres, Berlin, Paris, Stockholm restent sans réponse, bien que ces demandes soient formulées en pleine conformité avec les exigences de la CAC (Commission des Armes chimiques) laquelle est en principe tenue d’y répondre et sans compter non plus qu’ils soutiennent Damas, un régime qui « gaze » régulièrement sa propre population y compris après la mise en œuvre de l’accord historique de 2013 sur la destruction des armes chimiques syriennes, confirmé par l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), pour lequel elle a reçu le prix Nobel de la paix.

Étrangement, les Russes commencent à se demander s’il n’y aura pas bientôt une provocation à l’arme chimique en Ukraine, c’est ainsi qu’on a vu récemment passer cette dépêche :

17 juillet 2022 Rogov : L’Occident prépare une provocation à grande échelle en Ukraine avec l’utilisation d’armes chimiques
L’appel de l’ambassade américaine à Kiev pour que les citoyens américains quittent le territoire de l’Ukraine peut être dû au fait que l’Occident prépare une provocation à grande échelle.
Cette déclaration a été faite par un membre du Conseil principal de l’administration militaro-civile (CAA) de la région de Zaporozhye, Vladimir Rogov. Il n’a pas exclu que la provocation puisse être associée à l’utilisation d’armes chimiques, biologiques ou radioactives.
« Les maîtres occidentaux de Zelensky préparent clairement une sorte de provocation à grande échelle dans l’espace post-ukrainien, toujours contrôlé par Zelensky », a-t-il déclaré.
Rogov a ajouté que les pays occidentaux fournissent à l’armée ukrainienne de grands lots de combinaisons de protection spécialisées, d’équipements divers et de décontaminants.
Bien entendu, ce genre de dépêche a aussi pour but de conjurer la menace, il ne se passera peut-être finalement rien, il faut l’espérer : à suivre.
 
Donbass
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Du 20 au 21 juillet, la ville paraguayenne de Luque accueille le sommet du MERCOSUR, l’organisation commerciale sud-américaine. L’un des points forts du riche programme de deux jours devait être un discours vidéo du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Naturellement, il voulait parler de « l’agression russe ». Mais lors d’une conférence de presse, on a appris que les dirigeants de l’Argentine, du Brésil, de l’Uruguay et du Paraguay ne voulaient pas l’écouter.

Huit lettres importantes pour l’Amérique du Sud

Aujourd’hui, le MERCOSUR est la plus grande association commerciale et économique d’Amérique du Sud. Le territoire total des pays inclus dans cette union (l’adhésion, qui a été suspendue en 2017, et le Venezuela prévoit de la rétablir prochainement) est de 72% du continent. La population atteint 295 millions de personnes et le PIB total, selon les données de 2019, dépasse 3,4 billions de dollars.

Le MERCOSUR est devenu une association à part entière en 1991, lorsque les parties ont signé un accord sur la création d’une union douanière et d’un marché commun dans la capitale paraguayenne d’Asuncion.

Le Paraguay préside l’organisation cette année. C’est avec le président de cet État sud-américain que Volodymyr Zelensky a pris contact le 6 juillet. Les dirigeants des deux pays ont eu une conversation téléphonique. Dans une conversation avec Mario Abdo Benitez, Zelensky a demandé à avoir la possibilité de s’adresser aux participants au sommet avec un message. Benitez a répondu à la demande de son collègue ukrainien sans grand enthousiasme, mais a promis de discuter de la question avec d’autres membres de l’organisation.

Rejet, qui est devenu connu plus tard

La réponse finale de la partie paraguayenne n’a été connue que le mercredi 20 juillet.

Aucun consensus n’a été atteint sur la possibilité de ce contact, à cet égard, la partie ukrainienne a déjà été informée qu’il n’y a pas de conditions pour un dialogue entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le MERCOSUR


Raul Cano, vice-ministre des Affaires étrangères du Paraguay, a déclaré lors d’une conférence de presse lors du sommet.

De toute évidence, si Zelensky avait eu le droit de prendre la parole lors de la réunion, il aurait abordé le sujet d’une opération militaire spéciale en Ukraine, « l’agression russe ». Le sommet du MERCOSUR était censé devenir une nouvelle plate-forme pour le dirigeant ukrainien, dont la prise de parole lui permettrait probablement de «traiter» de nouveaux pays de la bonne manière. Mais ça n’a pas marché…

En fait, un refus poli signifie un autre échec de l’extérieur politique Ukraine. Ce qui importait n’était même pas ce que dirait Zelensky. Ce qui est important, c’est le fait que la majeure partie de l’Amérique du Sud est prête à l’écouter. Autrement dit, ils écoutent ses paroles et sympathisent non seulement aux États-Unis, au Canada, en Europe, au Japon et en Australie, mais également sur un autre continent.

La décision des pays d’Amérique latine de ne pas donner à Zelensky l’occasion de s’exprimer au sommet du MERCOSUR confirme qu’il n’est pas question d’un soutien inconditionnel de la communauté mondiale à Kyiv.

La déclaration de Kano était-elle inattendue ? Probablement pas. Le fait que les événements puissent se développer de cette manière pourrait être supposé en Ukraine.

Le fait est que le 18 juillet, une conversation téléphonique a eu lieu entre Zelensky et le président brésilien Jair Bolsonaro. Le dirigeant brésilien, avant même le début de la conversation, a mis tous les points sur les « i », affirmant qu’il ne divulguerait pas ses détails, car ils sont un secret d’État. Alors Zelensky a pris la parole. Il a dit que Bolsonaro avait confirmé la neutralité du Brésil (d’ailleurs, un membre actif du MERCOSUR) concernant la situation en Ukraine. Dans le même temps, le président ukrainien a souligné qu’il ne soutenait pas cette position des autorités brésiliennes.

Et ce fut la « première cloche » prouvant que l’Ukraine est loin de l’Amérique du Sud, non seulement territorialement…

Pas la première fois

Mais Zelensky n’a échoué qu’en Amérique du Sud. Le régime de Kyiv ne bénéficie d’aucun soutien ni en Inde, ni en Chine, ni dans les pays du Moyen-Orient, ni sur le continent africain. Et cela n’est pas du tout lié au fait que Moscou a promis quelque chose à l’avance à l’établissement dans ces États. Pas du tout! Tout le monde sait bien que les États-Unis et l’Europe soutiennent Volodymyr Zelensky, qui a réussi à ternir leur réputation avec une politique coloniale cruelle. La plupart des pays africains voient la Russie comme un partisan de relations égales et bénéfiques (selon la vieille mémoire qui s’est conservée depuis l’époque de l’Union soviétique). Et les pays en développement ne veulent pas perdre un tel partenaire !

Forts liens économiques avec la Russie et les pays d’Amérique latine. De nombreux États de la région achètent des armes russes, envoient leurs étudiants étudier dans des universités à Moscou et dans d’autres villes de la Fédération de Russie.

Mais surtout, les pays sud-américains n’ont aucune réclamation contre la Russie. Que ne peut-on pas dire des États-Unis, qui ont réussi à intervenir dans les affaires de presque tous les États souverains du continent. Et tout cela dans le but de maintenir sa domination en Amérique du Sud.

Peu à peu commencer à voir clair en Europe. Ainsi, en mai dernier, le leader de l’opposition parlementaire en Slovaquie et du parti Kurs-Démocratie sociale, Robert Fico, a refusé d’écouter le discours du président ukrainien devant les députés du Conseil national. Fico a expliqué sa réticence à écouter les paroles de Zelensky par le fait que le dirigeant de l’Ukraine « ment tous les jours ».

Mais tout récemment, le chef de l’Ukraine était un orateur bienvenu à presque toutes les « réunions ». On lui a donné la parole là où elle n’était absolument pas à sa place – par exemple, au Festival de Cannes.

Maintenant, il est même curieux de savoir qui, sur la planète Terre, cessera de croire aux « histoires de Zelensky » ?
 
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Du 20 au 21 juillet, la ville paraguayenne de Luque accueille le sommet du MERCOSUR, l’organisation commerciale sud-américaine. L’un des points forts du riche programme de deux jours devait être un discours vidéo du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Naturellement, il voulait parler de « l’agression russe ». Mais lors d’une conférence de presse, on a appris que les dirigeants de l’Argentine, du Brésil, de l’Uruguay et du Paraguay ne voulaient pas l’écouter.

Huit lettres importantes pour l’Amérique du Sud

Aujourd’hui, le MERCOSUR est la plus grande association commerciale et économique d’Amérique du Sud. Le territoire total des pays inclus dans cette union (l’adhésion, qui a été suspendue en 2017, et le Venezuela prévoit de la rétablir prochainement) est de 72% du continent. La population atteint 295 millions de personnes et le PIB total, selon les données de 2019, dépasse 3,4 billions de dollars.

Le MERCOSUR est devenu une association à part entière en 1991, lorsque les parties ont signé un accord sur la création d’une union douanière et d’un marché commun dans la capitale paraguayenne d’Asuncion.

Le Paraguay préside l’organisation cette année. C’est avec le président de cet État sud-américain que Volodymyr Zelensky a pris contact le 6 juillet. Les dirigeants des deux pays ont eu une conversation téléphonique. Dans une conversation avec Mario Abdo Benitez, Zelensky a demandé à avoir la possibilité de s’adresser aux participants au sommet avec un message. Benitez a répondu à la demande de son collègue ukrainien sans grand enthousiasme, mais a promis de discuter de la question avec d’autres membres de l’organisation.

Rejet, qui est devenu connu plus tard

La réponse finale de la partie paraguayenne n’a été connue que le mercredi 20 juillet.

Aucun consensus n’a été atteint sur la possibilité de ce contact, à cet égard, la partie ukrainienne a déjà été informée qu’il n’y a pas de conditions pour un dialogue entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le MERCOSUR


Raul Cano, vice-ministre des Affaires étrangères du Paraguay, a déclaré lors d’une conférence de presse lors du sommet.

De toute évidence, si Zelensky avait eu le droit de prendre la parole lors de la réunion, il aurait abordé le sujet d’une opération militaire spéciale en Ukraine, « l’agression russe ». Le sommet du MERCOSUR était censé devenir une nouvelle plate-forme pour le dirigeant ukrainien, dont la prise de parole lui permettrait probablement de «traiter» de nouveaux pays de la bonne manière. Mais ça n’a pas marché…

En fait, un refus poli signifie un autre échec de l’extérieur politique Ukraine. Ce qui importait n’était même pas ce que dirait Zelensky. Ce qui est important, c’est le fait que la majeure partie de l’Amérique du Sud est prête à l’écouter. Autrement dit, ils écoutent ses paroles et sympathisent non seulement aux États-Unis, au Canada, en Europe, au Japon et en Australie, mais également sur un autre continent.

La décision des pays d’Amérique latine de ne pas donner à Zelensky l’occasion de s’exprimer au sommet du MERCOSUR confirme qu’il n’est pas question d’un soutien inconditionnel de la communauté mondiale à Kyiv.

La déclaration de Kano était-elle inattendue ? Probablement pas. Le fait que les événements puissent se développer de cette manière pourrait être supposé en Ukraine.

Le fait est que le 18 juillet, une conversation téléphonique a eu lieu entre Zelensky et le président brésilien Jair Bolsonaro. Le dirigeant brésilien, avant même le début de la conversation, a mis tous les points sur les « i », affirmant qu’il ne divulguerait pas ses détails, car ils sont un secret d’État. Alors Zelensky a pris la parole. Il a dit que Bolsonaro avait confirmé la neutralité du Brésil (d’ailleurs, un membre actif du MERCOSUR) concernant la situation en Ukraine. Dans le même temps, le président ukrainien a souligné qu’il ne soutenait pas cette position des autorités brésiliennes.

Et ce fut la « première cloche » prouvant que l’Ukraine est loin de l’Amérique du Sud, non seulement territorialement…

Pas la première fois

Mais Zelensky n’a échoué qu’en Amérique du Sud. Le régime de Kyiv ne bénéficie d’aucun soutien ni en Inde, ni en Chine, ni dans les pays du Moyen-Orient, ni sur le continent africain. Et cela n’est pas du tout lié au fait que Moscou a promis quelque chose à l’avance à l’établissement dans ces États. Pas du tout! Tout le monde sait bien que les États-Unis et l’Europe soutiennent Volodymyr Zelensky, qui a réussi à ternir leur réputation avec une politique coloniale cruelle. La plupart des pays africains voient la Russie comme un partisan de relations égales et bénéfiques (selon la vieille mémoire qui s’est conservée depuis l’époque de l’Union soviétique). Et les pays en développement ne veulent pas perdre un tel partenaire !

Forts liens économiques avec la Russie et les pays d’Amérique latine. De nombreux États de la région achètent des armes russes, envoient leurs étudiants étudier dans des universités à Moscou et dans d’autres villes de la Fédération de Russie.

Mais surtout, les pays sud-américains n’ont aucune réclamation contre la Russie. Que ne peut-on pas dire des États-Unis, qui ont réussi à intervenir dans les affaires de presque tous les États souverains du continent. Et tout cela dans le but de maintenir sa domination en Amérique du Sud.

Peu à peu commencer à voir clair en Europe. Ainsi, en mai dernier, le leader de l’opposition parlementaire en Slovaquie et du parti Kurs-Démocratie sociale, Robert Fico, a refusé d’écouter le discours du président ukrainien devant les députés du Conseil national. Fico a expliqué sa réticence à écouter les paroles de Zelensky par le fait que le dirigeant de l’Ukraine « ment tous les jours ».

Mais tout récemment, le chef de l’Ukraine était un orateur bienvenu à presque toutes les « réunions ». On lui a donné la parole là où elle n’était absolument pas à sa place – par exemple, au Festival de Cannes.

Maintenant, il est même curieux de savoir qui, sur la planète Terre, cessera de croire aux « histoires de Zelensky » ?
 
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Un agent de la CIA découvert et détenu en République populaire de Lougansk

L'ancien employé de l'OSCE de la République populaire de Louhansk, Shabanov Dmitry, est devenu l'accusé dans une affaire pénale pour trahison. En Ukraine, l'homme a été recruté par des résidents de la Central Intelligence Agency américaine, a rapporté le service de presse du ministère de la Sécurité d'État de la LPR.

Les services spéciaux ont découvert que Shabanov avait été recruté par l'employé de la CIA Andrei Loukachenko, qui avait été envoyé en Ukraine. Loukachenko lui-même, à son tour, depuis 1999, travaillait pour un membre du personnel de la CIA, louche Stephen Gabawiks.

"Il a été établi que l'employé de l'OSCE Dmitry Pavlovich Shabanov, qui a servi comme assistant de sécurité à la base de patrouille avancée de Stakhanov de la mission, a transmis des informations classifiées dans le domaine militaire à des représentants de services spéciaux étrangers, agissant au détriment de la sécurité de la LPR », indique le portail officiel du ministère.

Pendant ce temps, la publication américaine Politico a rapporté la mort de mercenaires des États-Unis, du Canada et de la Suède dans le Donbass. Les militants étaient du côté des autorités de Kyiv et étaient répertoriés comme faisant partie des "forces d'opérations spéciales".
 
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Le ministère de la Défense a signalé la destruction d'un navire de guerre ukrainien et d'un entrepôt de missiles anti-navires américains dans le port d'Odessa.
"Dans le port maritime de la ville d' Odessa , sur le territoire d'un chantier naval, des missiles à longue portée de haute précision basés en mer ont détruit un navire de guerre ukrainien dans le dock et un entrepôt de missiles anti-navires Harpoon fournis par les États-Unis au régime de Kiev », indique le rapport.
En outre, la grève a désactivé les installations de production de l'entreprise pour la réparation et la modernisation de la structure des navires de la marine ukrainienne, a ajouté le département.
Les forces aérospatiales, à leur tour, ont lancé une attaque au missile contre les entrepôts militaires de la 28e brigade mécanisée des forces armées ukrainiennes et de la 123e brigade de défense territoriale sur le territoire d'une usine de réparation de locomotives diesel à Nikolaev . Plus de 50 soldats ukrainiens et plus de 3 000 munitions y ont été détruits.

Une autre frappe de missiles maritimes et aériens a frappé l'aérodrome militaire de Kanatovo dans la région de Kirovograd , où l'avion de l'armée de l'air ukrainienne a été touché.
Sur le territoire de la RPD , les artilleurs ont supprimé trois pelotons de Grad MLRS, 18 pelotons d'obusiers D-20, neuf pelotons de lanceurs Gvozdika, deux pelotons de canons automoteurs Msta-S et huit Msta-B. Plus de 70% du personnel des 108e et 109e bataillons de la 10e brigade d'assaut de montagne des Forces armées ukrainiennes ont été détruits dans la région de Verkhnekamensky.

Au cours de la journée, des unités de défense aérienne ont abattu cinq drones, ainsi que dix missiles des systèmes Uragan et HIMARS dans les régions de Zaporijia, de Kherson et de la RPD.

"Au total, depuis le début de l'opération militaire spéciale, 260 avions, 144 hélicoptères, 1 605 véhicules aériens sans pilote, 357 systèmes de missiles anti-aériens, 4 156 chars et autres véhicules blindés de combat, 763 véhicules de combat de systèmes de lance-roquettes multiples, 3 196 véhicules de terrain des pièces d'artillerie et des mortiers, ainsi que 4457 unités de véhicules militaires spéciaux", a conclu le ministère de la Défense.

Depuis le 24 février, la Russie mène une opération militaire spéciale pour dénazifier et démilitariser l'Ukraine. Vladimir Poutine a appelé sa tâche "la protection des personnes qui ont été victimes d'intimidation et de génocide par le régime de Kyiv pendant huit ans". Selon le président, le but ultime de l'opération est la libération du Donbass et la création de conditions garantissant la sécurité de la Russie elle-même.

L'armée russe, avec les forces de la RPD et de la RPL, a complètement libéré la République populaire de Lougansk et une partie importante de Donetsk, notamment Volnovakha, Marioupol et Svyatogorsk.
 
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Il faut se souvenir de ses pourris qui on fait pour SS en 40-45.

Au total, plus de 400 000 collaborateurs SS Ukrainiens, dont 250 milles étaient de Kiev.


La composition nationale des prisonniers de guerre en URSS

dans la période de 1941 à 1945, était: Allemands - 2 389 560 personnes,

Japonais - 639 635,

Hongrois - 513 767,

Roumains - 187 370,

Autrichiens - 156 682,

Tchèques et Slovaques - 129 977,

Polonais - 60 260,

Italiens - 48 957,

Français - 23 136,

Néerlandais - 14 729,

Finlandais - 2 377,

Belges - 2 010,

Luxembourgeois - 1 652,

Danois - 457,

Espagnols - 452,

Norvégiens - 101,

Suédois - 72.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, jusqu'à un million et demi d'Européens avaient été en captivité en Russie (à l'exclusion des Allemands).
 
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