Les fleurs pleurent, larmes de sang, perles de rubis.
Que devient l'amour propre ? Je tremble comme feuille dans le vent. Le monde est figé. Plus rien ne bouge à part moi.
Y a-t-il une issue ? Cachée quelque part ?
Il ne fallait pas me faire de mal, je suis devenu fou.
Les horloges hurlent car le temps saigne, il fuit quelqu'un, quelque chose.
Et j'écris sans mot, sans dose.
Y a-t-il là quelqu'un capable de m'endormir ? Hier était demain. Aujourd'hui sera demain. Les jours sont les mêmes mais le temps court.
Mes pensées dansent gracieusement dans un endroit perdu. Là où nul ne peut les atteindre. Mais elles sont parfois armées, et alors elles ouvrent mon cœur en quelques mouvements.
Est-il possible de rêver encore comme cette fois ?
Sur Terre dévalent les astres par milliers, ils ont perdu leurs ailes d'érain, ils cherchent refuge chez les humains mais ces derniers sont tous brisés, incapable d'aimer, d'aider...
Alors s'arrêtent les couleurs, dans un tourbillon de sable elles disparaissent, comme vague qui échoue. Les astres se noient dans cette mer, dans ces pleurs, larmes de sang, perles de rubis...
Un souffle.
Que devient l'amour propre ? Je tremble comme feuille dans le vent. Le monde est figé. Plus rien ne bouge à part moi.
Y a-t-il une issue ? Cachée quelque part ?
Il ne fallait pas me faire de mal, je suis devenu fou.
Les horloges hurlent car le temps saigne, il fuit quelqu'un, quelque chose.
Et j'écris sans mot, sans dose.
Y a-t-il là quelqu'un capable de m'endormir ? Hier était demain. Aujourd'hui sera demain. Les jours sont les mêmes mais le temps court.
Mes pensées dansent gracieusement dans un endroit perdu. Là où nul ne peut les atteindre. Mais elles sont parfois armées, et alors elles ouvrent mon cœur en quelques mouvements.
Est-il possible de rêver encore comme cette fois ?
Sur Terre dévalent les astres par milliers, ils ont perdu leurs ailes d'érain, ils cherchent refuge chez les humains mais ces derniers sont tous brisés, incapable d'aimer, d'aider...
Alors s'arrêtent les couleurs, dans un tourbillon de sable elles disparaissent, comme vague qui échoue. Les astres se noient dans cette mer, dans ces pleurs, larmes de sang, perles de rubis...
Un souffle.
Dernière édition: