Pourquoi je déteste Noël ?
Car de toutes les fêtes, c'est la meilleure
On est avec les gens qu'on aime le plus
On les regardent heureux découvrir leurs présents
Compter celui qui en a le plus
Il s'agit d'un moment hors du temps
On est avec les gens qu'on a choisi et qu'on aime
C'est pourquoi, quand ils ne sont plus là
C'est encore plus difficile
Chaque sourire en souvenir devient un pleur de plus
Chaque image sublime se floute de larmes
La nostalgie ne devient que mélancolie et douleur
Ô comme cette fête est magique, bien trop pour ne pas serrer le cœur
Mais pas assez pour retrouver ceux qu'on aime
C'est le genre de fête où le changement peut être source de malheur
Car pour une fois, c'est la répétition perpétuelle qui est recherchée
Et quand elle n'est plus possible, son monde s'écroule
Le bonheur des uns devient l'isoloire des autres
On tombe dans un trou dont il est difficile de sortir
Paradoxalement, c'est ce même bonheur qui devient la lumière qui nous guide pour nous libérer.
Est-ce que je déteste Noël ? Je déteste l'aimer, l'avoir aimé et l'aimer plus tard
Car à cet instant, Noël n'est plus et ne sera peut être jamais plus, en tout cas, plus le même.
Adieu l'enfance, l'insouciance, plus personne ne pensera à nous comme un petit trésor
On sera simplement là, à contempler la place si vide sous le sapin, à table et dans nos danses et rires.
Je ne déteste pas vraiment Noël, mais l'aimer est si difficile quand on a perdu le plus important : les personnes avec qui le fêter.
On peut en trouver d'autres, mais jusqu'à trouver les bonnes, cela reste un moment si difficile
Car finalement, on ne se rappellera plus que l'absence des premiers être aimés
Alors, je ne déteste pas Noël car je vais l'aimer encore mais Noël est cruel
Je suis la belle qui tombe amoureuse de sa bête jusqu'à ce qu'il devienne un prince.
J'ai perdu mon Noël, et j'espère un jour le retrouver même s'il a évolué
Alors en attendant, à bientôt Noël, jusqu'à ce que nos chemins se recroisent...
Car de toutes les fêtes, c'est la meilleure
On est avec les gens qu'on aime le plus
On les regardent heureux découvrir leurs présents
Compter celui qui en a le plus
Il s'agit d'un moment hors du temps
On est avec les gens qu'on a choisi et qu'on aime
C'est pourquoi, quand ils ne sont plus là
C'est encore plus difficile
Chaque sourire en souvenir devient un pleur de plus
Chaque image sublime se floute de larmes
La nostalgie ne devient que mélancolie et douleur
Ô comme cette fête est magique, bien trop pour ne pas serrer le cœur
Mais pas assez pour retrouver ceux qu'on aime
C'est le genre de fête où le changement peut être source de malheur
Car pour une fois, c'est la répétition perpétuelle qui est recherchée
Et quand elle n'est plus possible, son monde s'écroule
Le bonheur des uns devient l'isoloire des autres
On tombe dans un trou dont il est difficile de sortir
Paradoxalement, c'est ce même bonheur qui devient la lumière qui nous guide pour nous libérer.
Est-ce que je déteste Noël ? Je déteste l'aimer, l'avoir aimé et l'aimer plus tard
Car à cet instant, Noël n'est plus et ne sera peut être jamais plus, en tout cas, plus le même.
Adieu l'enfance, l'insouciance, plus personne ne pensera à nous comme un petit trésor
On sera simplement là, à contempler la place si vide sous le sapin, à table et dans nos danses et rires.
Je ne déteste pas vraiment Noël, mais l'aimer est si difficile quand on a perdu le plus important : les personnes avec qui le fêter.
On peut en trouver d'autres, mais jusqu'à trouver les bonnes, cela reste un moment si difficile
Car finalement, on ne se rappellera plus que l'absence des premiers être aimés
Alors, je ne déteste pas Noël car je vais l'aimer encore mais Noël est cruel
Je suis la belle qui tombe amoureuse de sa bête jusqu'à ce qu'il devienne un prince.
J'ai perdu mon Noël, et j'espère un jour le retrouver même s'il a évolué
Alors en attendant, à bientôt Noël, jusqu'à ce que nos chemins se recroisent...