Il est de ces soir ou l'on a envie de rien, même dormir est fatiguant. Alors j'attends sans rien faire de particulier à naviguer sur mon écran pour éviter de couler dans le noir des flots. Le navire n'est qu'un morceau de bois.
J'ai tellement fait n'importe quoi ces derniers temps scolairement que mon stress s'en est allé totalement, enfin en grande partie, plus grand chose ne me fait stresser réellement. Ça a un côté positif mais bon, je ne travail plus du tout, je fais un devoir sur cinq et encore.
La musique à fond, encore une fois, pour ne pas entendre le vent qui crie dans les vagues.
J'ai tellement envie de pleurer comme une nécessité, mais rien, j'attends dans l'ombre de la nuit.
C'est un cri silencieux qui vient du cœur. Peut être que je me suis fais prendre moi aussi dans ces filets. Naïf comme je suis ça ne m'étonnerait pas.
Il est des fois où l'on a envie de mourir doucement en s'endormant pour taire son cœur meurtri. Il est des nuits où l'amour est manquant et la solitude envahissante. Je suis lâche, je suis faible parce que j'ai besoin d'amour pour me relever. Sans, je ne suis rien qu'un pantin inanimé.
Toujours cherchant l'accord des autres, leur approbation et leur affection. Je suis loin d'être un rapace féroce et fier mais un simple oisillons aux ailes cassées, incapable de voler au dessus de cette mer de noirceur.
J'aimerais que les flots m'emporte pour une fois, mais je m'accroche à cet espoir d'être aimé comme j'aimerais être aimé. Mes yeux rivés au ciel à la recherche de mon étoile mais les nuages ne se dispersent pas, me plongeant dans le froid de l'obscurité stagnante.
Je parle avec mon cœur, et ma tête est déjà partie loin.
"J'ai besoin d'air" c'est ce qu'on dit quand un sentiment ou une ambiance nous étouffe, on a besoin d'en changer. Mais où que je sois, ce même air me suit, comme s'il émanait de moi, fumée noirâtre.
Que j'aimerais m'oublier un instant, oublier mes ailes cassées, oublier l'eau noire qui m'entoure et disjoindre mes particules pour ne plus être.
Je ne sais plus pourquoi j'écris. Et la batterie se vide.
J'ai tellement fait n'importe quoi ces derniers temps scolairement que mon stress s'en est allé totalement, enfin en grande partie, plus grand chose ne me fait stresser réellement. Ça a un côté positif mais bon, je ne travail plus du tout, je fais un devoir sur cinq et encore.
La musique à fond, encore une fois, pour ne pas entendre le vent qui crie dans les vagues.
J'ai tellement envie de pleurer comme une nécessité, mais rien, j'attends dans l'ombre de la nuit.
C'est un cri silencieux qui vient du cœur. Peut être que je me suis fais prendre moi aussi dans ces filets. Naïf comme je suis ça ne m'étonnerait pas.
Il est des fois où l'on a envie de mourir doucement en s'endormant pour taire son cœur meurtri. Il est des nuits où l'amour est manquant et la solitude envahissante. Je suis lâche, je suis faible parce que j'ai besoin d'amour pour me relever. Sans, je ne suis rien qu'un pantin inanimé.
Toujours cherchant l'accord des autres, leur approbation et leur affection. Je suis loin d'être un rapace féroce et fier mais un simple oisillons aux ailes cassées, incapable de voler au dessus de cette mer de noirceur.
J'aimerais que les flots m'emporte pour une fois, mais je m'accroche à cet espoir d'être aimé comme j'aimerais être aimé. Mes yeux rivés au ciel à la recherche de mon étoile mais les nuages ne se dispersent pas, me plongeant dans le froid de l'obscurité stagnante.
Je parle avec mon cœur, et ma tête est déjà partie loin.
"J'ai besoin d'air" c'est ce qu'on dit quand un sentiment ou une ambiance nous étouffe, on a besoin d'en changer. Mais où que je sois, ce même air me suit, comme s'il émanait de moi, fumée noirâtre.
Que j'aimerais m'oublier un instant, oublier mes ailes cassées, oublier l'eau noire qui m'entoure et disjoindre mes particules pour ne plus être.
Je ne sais plus pourquoi j'écris. Et la batterie se vide.
