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[QUOTE="Valona, post: 401672, member: 780"] [URL='https://servimg.com/view/19843399/453'][IMG alt="Rencontres entre mycophiles - Page 2 Forum_11"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/forum_11.jpg[/IMG][/URL] Monsieur Simon - Épisode 2 Il est quatorze heures trente quand j'arrive à la bibliothèque municipale. Le vendredi après-midi il n'y a jamais grand monde. Je reconnais une copine étudiante avec un petit groupe de jeunes gens. Je rends mes emprunts de la semaine dernière à la dame de l'accueil. Je traverse la grande salle silencieuse. Quelques autres étudiants, casques sur les oreilles, sont assis à des tables devant leurs ordinateurs. Ambiance studieuse qui me sied parfaitement. J'aime les rayonnages du fond. De longues allées entre les hautes étagères de livres. Je flâne un peu dans la partie où sont proposés les ordinateurs à dispositions des visiteurs. Les bandes dessinées recèlent quelquefois des albums intéressants. J'aime bien Blake et Mortimer. Je suis très excitée à l'idée de revoir monsieur Simon. J'ai pourtant longuement hésité toute la semaine. C'est hier, jeudi soir, dans ma chambre, avant de me coucher, que j'ai pris la décision de répondre à son invitation. Je connais cet homme depuis presque deux ans. Son érudition, sa culture générale et ses connaissances littéraires ne me laissent pas indifférente. Même s'il est vieux, qu'il a 65 ans, qu'il est un peu enveloppé, il respire ce charme suranné des "choses" anciennes. Ce sont surtout ses yeux d'un bleu intense et pétillants d'intelligence. Notre première rencontre fut un grand moment. Il m'a surpris une première fois dans un des rayon. Je m'exhibais. Il m'a surpris une seconde fois dans les WC hommes. Il détient donc sa "carte d'abonnement"... Je me touche. Inutile d'être discrète. Je suis seule dans cette partie de la grande salle. Pas un bruit. Dehors il fait vraiment très froid. Un contraste avec la douce chaleur qui règne ici. Je suis habillée d'une jupe noire, d'un pull noir à col roulé sous mon manteau. Mes bas noirs, mes bottes de cuir noir. Juste mon écharpe de laine crème, assortie à mon béret, apportent un peu de fantaisie à ma vêture volontairement austère. Je suis fébrile car je me suis déjà masturbée un peu dans la voiture en venant ici. Je le fais d'ailleurs presque tous les soirs en rentrant de l'université. C'est dans le rayonnage des ouvrages consacrés à la géographie. Il y a très rarement des visiteurs dans ce coin en retrait. Au fond de la salle. Penchée en avant, scrutant par les espaces vides entre les livres, je vois arriver monsieur Simon. Il porte toujours les mêmes vêtements. Il arrive par là. Je suis soudain morte de peur. Pourtant, dans l'état où je me trouve, je veux encore monter la barre d'un cran. J'imagine un lecteur facétieux caché à mon insu qui m'observerait. C'est évidemment un pur fantasme. Je suis certaine d'être absolument seule dans cette partie reculée. Mais cette pensée m'amuse un peu. Je me mets en situation. Je suis accroupie. Je feuillette un ouvrage de géographie. Les cuisses que j'écarte juste ce qu'il faut. Mon cœur bât la chamade. Je le sens s'accélérer dans ma poitrine. Jusqu'à résonner dans mes tempes. Je suis en sueur. C'est ainsi que monsieur Simon me découvre une fois encore. Je fais semblant d'être absorbée dans ma lecture. C'est un remake de la première fois, il y a deux ans. Il m'a surpris exactement dans la même situation, au même endroit. Je sens sa présence se rapprocher. Je lève la tête. << Bonjour mademoiselle. Toujours plongée dans vos passions je vois ! >> dit il à voix basse. Cette allusion dont je devine immédiatement le double sens conforte la certitude d'avoir fait le bon choix. Monsieur Simon écarte les pans de son vieux manteau. Son sexe pend de sa braguette ouverte. Il a fait la même chose il y a deux ans. Dans un réflexe féminin je resserre mes cuisses. Il dit encore : << Vision mariale ! >>. J'éclate de rire. Je fixe ostensiblement l'appendice. Je le trouve aussi fripé que son propriétaire. Je me souviens l'avoir vu ici mais également dans les toilettes hommes. Ce jour où monsieur Simon m'a surpris pour la seconde fois à me masturber. Je ne fais jamais semblant. C'est trop bon. Souvenirs exquis. Je me redresse : << Bonjour monsieur ! >>. Je suis toujours intimidée en présence de cet homme. Il répond : << Je suis très heureux de vous revoir. Accepteriez-vous de m'accompagner pour une petite promenade en ville. Il y la braderie d'automne. Un verre de tisane chaude, une gaufre ! >>. Je n'hésite pas car la proposition est alléchante. Monsieur Simon saisit son sexe à la base pour l'agiter vers moi. Il rajoute : << Avec l'option plaisir si le cœur vous en dit ! >>. Je reste un peu stupide. Je regarde son sexe tournoyer. << "L'hélicoptère" ! >> lance t-il en m'adressant un clin d'œil vicieux. Je me sens de plus en plus stupide. Que faire devant un tel comportement ? La plupart des filles s'enfuiraient probablement en courant. Je ne suis pas peureuse. Je suis vicieuse. Même si un trouble profond m'envahit, je résiste en prenant une longue respiration. Comme réagir à de telles attitudes ? C'est un mystère. Après tout, pourquoi tous ces questionnements ? Que pourrait-il bien m'arriver dans un lieu public. Ma raison reprend rapidement le dessus. Monsieur Simon referme son manteau sans ranger son sexe avec un clin d'œil. Nous marchons dans la première allée avant d'entrer dans la seconde. Cela peut sembler paradoxale mais monsieur Simon est un gentleman. D'un genre particulier certes, mais plein de ces convenances qui font le charme des anciennes générations. Il me propose d'aller m'occuper de mes emprunts seule : << Inutile de susciter des curiosités inutiles. Je vous attends à l'extérieur, près du kiosque ! >>. Je le laisse avec les deux livres choisis. Je peste car il faut attendre à l'accueil. Une fille qui ne sait pas ce qu'elle veut et qui hésite. Du genre chiante, bien emmerdeuse et gourde. Enfin c'est à moi. Pressée je dévale le grand escalier de l'ancienne ambassade. Monsieur Simon est entre le kiosque et l'entrée du parc de la petite église Saint Jean. Nous marchons rapidement pour quitter les lieux. << Ma voiture est dans la rue parallèle, venez ! >> lance monsieur Simon avant de rajouter : << Appelez-moi par mon prénom, vous voulez bien ? Armand ! >>. Je reste un peu confuse. Cet homme à l'âge de mes deux grands pères. Intimidée je dis : << Enchantée, Armand ! >>. Je préfère garder l'anonymat de mon joli pseudo "Valona". Il le prononce à plusieurs reprises à voix haute avant de dire : << C'est beau Valona. C'est rare. Ça sent la douceur comme tous les prénoms sans "R" ! >>. Nous arrivons dans la ruelle déserte. La voiture est blanche. Curieusement "dépouillée". Point de chromes, de courbes sensuelles ou encore d'angles agressifs. La Tesla est une voiture très sobre. À l'extérieur comme à l'intérieur. Depuis le temps que le brave homme m'en vante les qualités. << Montez, c'est moins austère à l'intérieur qu'à l'extérieur ! >> fait encore monsieur Simon. Me voilà installée dans le confort d'un fauteuil passager moelleux et profond. Monsieur Simon, installé au volant m'explique les divers fonctionnements. Sous des apparences forts discrètes cette voiture recèle quantité d'options insoupçonnées. << Un petit tour ? Vous voulez conduire ? >> demande mon hôte. Je m'entends répondre : << Non, mais un petit tour ! >>. Monsieur Simon démarre. Silence total. Il ne tarde pas à faire bien chaud dans l'habitacle. Le silence. Il est impossible d'entendre le moteur. Peut-être juste le chuintement des pneus sur l'asphalte. L'inertie des pièces motrices. Il y a un léger brouillard qui se lève. Une brume invasive. Mon chauffeur roule doucement. Il prend les ruelles les unes après les autres. Il me fait une visite guidée en narrant l'historique des maisons devant lesquelles nous passons. Je me rends compte que les pans de son manteau sont écartés. C'est une érection qu'il me présente là. Son sexe est de petite taille. Surtout si je le compare au "phénomène" que possède mon meilleur ami Jonathan. Peut-être une dizaine de centimètres sur trois de diamètre. La forme du gland est suggérée par la peau d'un prépuce qui paraît tout en longueur. C'est insolite. Même si j'éprouve le besoin de détourner la tête, je ne peux m'empêcher de scruter ce sexe. << Il a du vécu vous savez Valona. C'est un fidèle compagnon ! >> lance t-il en se rendant compte de mes coups d'œil furtif dans son rétroviseur. Un peu stupide je ris aux éclats. Un rire que je trouve aussi ridicule que mon comportement coincé. << Ça vous tente ? >> me demande subitement monsieur Simon. Je reste perplexe. Je regarde ostensiblement ce sexe. Une véritable invitation à y goûter. Je me penche sur ma gauche pour scruter de plus près et avec plus d'attention. Je ne connais vraiment que l'odeur de celui de Jonathan. J'en ai bien humé un troisième cet été durant mes vacances au bord de l'océan. Mais son propriétaire ne m'a pas laissé le loisir d'en apprécier les effluves. Il me l'a mis en bouche bien trop vite. Je me dois de narrer cette anecdote dans le prochain épisode. C'est amusant. Monsieur Simon le fait bouger. Jonathan m'a expliqué le principe. Je sais faire bouger mon clitoris de la même façon. Des contractions musculaires. Je ne m'y attends pas du tout. Monsieur Simon passe sa dextre chaude sous ma natte. Il saisit ma nuque pour appuyer. Je me retrouve avec sa turgescence en bouche. C'est le second homme qui a cette attitude. Comme l'inconnu de mes vacances d'aout. Je dois pousser un gloussement stupide car il murmure : << Pas d'inquiétude Valona. Laissez-vous aller, détendez-vous et amusez-vous ! >>. Ces propos réconfortants me rassurent. Je sens monter en moi ces mêmes émotions vécues cet été. Lors de ma toute première fellation à cet inconnu exigeant et démonstratif. Sensations étranges où se mêlent excitations, dégoûts, découvertes, surprises. J'ouvre les yeux pour m'étonner de ce gros plan surréaliste. C'est ma deuxième fellation. Monsieur Simon roule tranquillement. Il continue à parler Histoire. Pour laisser reposer ma mâchoire, je me redresse toutes les deux trois minutes. Je regarde ce dont parle mon chauffeur. Nous passons devant des bâtisses dont il m'explique l'architecture. Il caresse ma nuque avec tant de douceurs, d'affections que j'en suis émue jusqu'au plus profond de moi-même. Je retourne à ma dégustation. Car c'est de cela dont il s'agit maintenant. Je me découvre à aimer cela un peu plus à chaque fois que j'y retourne. D'abondantes quantités de liquide séminal, visqueuses, qu'il est difficile d'avaler. Je découvre le plaisir intense de me projeter le film d'un de mes fantasmes tout en m'appliquant. Ces films que je me projette mentalement lors de mes masturbations solitaires. Qu'il est intense de découvrir que c'est sublime de me les offrir en me livrant à cette fellation. Je perds la notion du temps. Je reste silencieuse. Monsieur Simon s'arrête aux feux rouges, aux stops. Il commente tout ce qui se passe à l'extérieur de la voiture. À plusieurs reprises il précise : << Vous êtes merveilleuse Valona ! Je vis un des plus exquis moments de mon existence ! >>. Je ris en gloussant. Je tente de déglutir proprement. Ma cavité buccale est soudain inondée. La surprise est telle que du sperme s'écoule partout. Une explosion ! Monsieur Simon en a plein le pantalon. La voiture s'immobilise. << Arrivés au point de départ ! >> lance t-il. Nous sommes effectivement de retour dans la ruelle. Il y a de la brume et le crépuscule s'annonce déjà. Monsieur Simon rit aux éclats en découvrant la catastrophe. Son pantalon de velours est maculé de sperme. Un sperme épais et visqueux. Je comprends pourquoi j'avais tant de mal à déglutir. Un profond dégoût provoque un haut le cœur. Je ne veux pas vomir dans la voiture. << Alors ? Vos impressions délicieuse enfant ? >> me demande t-il en plongeant son regard dans le mien. Je baisse les yeux, soudain toute gênée, honteuse. << On se revoit vendredi prochain ? >> demande t-il. Je m'entends répondre : << Oui ! >>. Je sors de l'auto comme une voleuse, fuyant l'étreinte qu'il voulait m'imposer de sa bouche tendue... À suivre [URL='https://servimg.com/view/19843399/454'][IMG alt="Rencontres entre mycophiles - Page 2 Valona80"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/valona80.jpg[/IMG][/URL] [/QUOTE]
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