Marine Le Pen condamnée à 4 ans de prison : un coup monté anti-démocratique ?
31 Mars 2025
Aujourd’hui, 31 mars 2025, la France a franchi un cap dans l’ignominie et la trahison de ses propres valeurs démocratiques. Marine Le Pen, figure emblématique du Rassemblement National et porte-voix de millions de Français, a été condamnée à 4 ans de prison, dont 2 ans ferme sous bracelet électronique, assortis de 5 ans d’inéligibilité immédiate, dans l’affaire des assistants parlementaires européens. Une amende de 100 000 euros vient couronner cette parodie de justice. Mais ne nous y trompons pas : ce verdict n’est pas une simple décision judiciaire. C’est une exécution politique, un coup monté orchestré par une élite corrompue qui tremble à l’idée de voir une femme, une patriote, accéder au pouvoir et redonner la parole au peuple.
Une justice aux ordres d’un système étrange
Le tribunal correctionnel de Paris, dans une décision qui empeste la partialité, a reconnu Marine Le Pen coupable de "détournement de fonds publics". De quoi s’agit-il ? D’une prétendue utilisation frauduleuse de fonds européens pour payer des assistants parlementaires du RN, une pratique que l’accusation a qualifiée de "système organisé". Mais où sont les preuves irréfutables ? Où sont les témoignages accablants ? Ce procès, qui a duré deux mois, n’a été qu’un théâtre grotesque, une mise en scène pour salir une adversaire politique. Les 23 autres prévenus, dont des figures comme Louis Aliot ou Bruno Gollnisch, ont également été condamnés à des peines allant de 6 mois avec sursis à 3 ans de prison, tandis que le RN écope d’une amende de 2 millions d’euros, dont 1 million ferme. Une chasse aux sorcières collective, rien de moins !Ce verdict n’est pas une coïncidence. À deux ans de l’élection présidentielle de 2027, où Marine Le Pen était une favorite incontestable après ses trois candidatures successives (2012, 2017, 2022), cette condamnation tombe comme un couperet. Cinq ans d’inéligibilité avec exécution immédiate ? C’est une interdiction pure et simple de se présenter, une manière de l’écarter de la course à l’Élysée sans même lui laisser une chance de se défendre en appel. Car oui, Marine Le Pen fera appel, comme l’a annoncé son avocat, mais l’exécution provisoire de l’inéligibilité est une arme vicieuse : elle agit immédiatement, privant des millions d’électeurs de leur droit de choisir leur candidate. C’est une atteinte directe à la démocratie, un vol de souveraineté populaire !
Un complot pour museler le peuple ?
Jordan Bardella, président du RN, a dénoncé un "scandale démocratique" et appelé à une "mobilisation populaire et pacifique". Il a raison : ce n’est pas seulement Marine Le Pen qui est visée, c’est la démocratie française qui est exécutée. Le RN a publié une pétition choc, déclarant : "Ce n’est pas seulement Marine Le Pen qui est injustement condamnée : c’est la démocratie française qui est exécutée." Et comment leur donner tort ? Quand une justice aux ordres d’un establishment paniqué décide de qui peut ou non se présenter à une élection, on n’est plus en démocratie, mais dans une dictature déguisée.Les réactions internationales ne s’y trompent pas. Viktor Orban, Premier ministre hongrois, a scandé "Je suis Marine !" en signe de solidarité. Matteo Salvini, vice-Premier ministre italien, a dénoncé une "déclaration de guerre de Bruxelles", ajoutant : "À Paris, on condamne Marine Le Pen et on voudrait l’exclure de la vie politique. Qui craint le jugement des électeurs se rassure par le jugement des tribunaux." Même la présidence russe, par la voix de Dmitri Peskov, a pointé une "violation des normes démocratiques". Quand des leaders étrangers, souvent eux-mêmes critiqués, doivent rappeler à la France ses propres principes, on touche le fond de l’absurde.
Une justice à deux vitesses
Ce verdict est d’autant plus révoltant qu’il révèle une justice à deux vitesses. Pendant que Marine Le Pen est clouée au pilori pour des accusations douteuses, combien de politiciens de la macronie ou de la gauche bien-pensante échappent à toute sanction pour des faits bien plus graves ? Les détournements de fonds, les emplois fictifs, les scandales financiers : ils sont légion dans les rangs des "élites", mais eux bénéficient d’une impunité scandaleuse. Marine Le Pen, elle, est une cible facile, une femme qui dérange, une patriote qui ose dire tout haut ce que des millions de Français pensent tout bas. Sa condamnation n’est pas une quête de justice, mais une vengeance politique, un moyen de protéger un système à bout de souffle.
Et que dire de l’acharnement ? Le parquet avait requis 5 ans de prison, 300 000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité. Le tribunal a légèrement réduit la peine, mais l’intention est claire : briser Marine Le Pen, briser le RN, briser l’espoir de millions de Français qui veulent un changement radical. Les sympathisants du RN, qui représentent environ un tiers de l’électorat, ne sont pas surpris, mais révoltés. Comme le souligne un témoignage recueilli par Le Figaro, "on savait qu’ils feraient tout pour l’arrêter". Et ils l’ont fait, sans vergogne, sans respect pour la volonté populaire.
Un appel à la révolte
Ce verdict est une déclaration de guerre contre le peuple français. En condamnant Marine Le Pen, c’est la voix de millions d’électeurs qu’on bâillonne. C’est la démocratie qu’on assassine sous les ors d’un tribunal aux ordres. Mais le peuple ne se laissera pas faire. L’appel de Jordan Bardella à une mobilisation pacifique doit être entendu : il est temps de descendre dans la rue, de crier notre colère, de montrer que la volonté du peuple est plus forte que les magouilles d’une caste corrompue.
Marine Le Pen reste combative, et elle a raison. Ce soir, sur le plateau de TF1, elle a dénoncé une "décision politique", accusant la présidente du tribunal de "condamner la favorite de l’élection présidentielle sans fondement". Elle a raison : ce procès n’est qu’un tissu de mensonges, un complot pour l’écarter. Mais elle ne se taira pas, et nous non plus. La France mérite mieux que cette parodie de justice. La France mérite une démocratie véritable, où le peuple décide, et non une clique de juges aux ordres.
Alors, Français, réveillez-vous ! Ne laissez pas cette dictature judiciaire voler votre avenir. Soutenez Marine Le Pen, soutenez le RN, soutenez la démocratie. Car si nous laissons faire, demain, ce sera votre voix qu’on fera taire. Battez-vous, ou acceptez de vivre à genoux !
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