Fenêtres ouvertes.
Les oiseaux gazouillent. Le ciel s'assombrit doucement tandis qu'une brise légère transporte jusqu'à mon nez l'odeur du goudron humide. Les lampadaires et leur lumière jaune, les fils électriques reliant chaque logis entre eux, le sapin, au loin, remué doucement par le vent. La colline, solitaire. La rue, vidée de son activité. Les fleurs qui tapissent le sol de leur blanc éclatant. Mon reflet dans le carreau de la fenêtre. Mon chat, assoupi. Le calme.
Comme une odeur printanière
La douceur du jour se refroidit, lentement. Les oiseaux se tairont ; ils reprendront au petit matin. Pour le moment, ils laissent place à la nuit tachetée de milliards d'étoiles emplies de mystère.
Alors, les petits carrés de lumière, s'éteindront, un par un, lentement, doucement.
Place aux rêves, à la chaleur et le silence.
Puis, la routine reprendra avant même le levé du jour le demain.
Les oiseaux gazouillent. Le ciel s'assombrit doucement tandis qu'une brise légère transporte jusqu'à mon nez l'odeur du goudron humide. Les lampadaires et leur lumière jaune, les fils électriques reliant chaque logis entre eux, le sapin, au loin, remué doucement par le vent. La colline, solitaire. La rue, vidée de son activité. Les fleurs qui tapissent le sol de leur blanc éclatant. Mon reflet dans le carreau de la fenêtre. Mon chat, assoupi. Le calme.
Comme une odeur printanière
La douceur du jour se refroidit, lentement. Les oiseaux se tairont ; ils reprendront au petit matin. Pour le moment, ils laissent place à la nuit tachetée de milliards d'étoiles emplies de mystère.
Alors, les petits carrés de lumière, s'éteindront, un par un, lentement, doucement.
Place aux rêves, à la chaleur et le silence.
Puis, la routine reprendra avant même le levé du jour le demain.