Plongée seule dans la nuit noire,
j’entrevois le corbeau du désespoir.
Il attend sur une branche calmement,
dans l’ombre intense du silence.
Au creux le plus profond de la nuit,
c’est mes rêves que je lui confie.
C’est alors que fortement il en rit,
tandis que mes espoirs se dissipent.
Je lui demande pourquoi il en rit,
il me répond avec mépris que mes songes ne sont que rêveries.
Je lui rétorque qu’il n’y a rien de plus fort que l’amour et qu’il a tord,
ce à quoi il déclare que plus fort que l’amour il y a la mort.
Et que rien n’est plus triste qu’un amour qui est déjà mort.
Pour la première fois dans le silence de la nuit,
C’est là que je la découvrit,
la plus grande tristesse au coeur de la nuit.
j’entrevois le corbeau du désespoir.
Il attend sur une branche calmement,
dans l’ombre intense du silence.
Au creux le plus profond de la nuit,
c’est mes rêves que je lui confie.
C’est alors que fortement il en rit,
tandis que mes espoirs se dissipent.
Je lui demande pourquoi il en rit,
il me répond avec mépris que mes songes ne sont que rêveries.
Je lui rétorque qu’il n’y a rien de plus fort que l’amour et qu’il a tord,
ce à quoi il déclare que plus fort que l’amour il y a la mort.
Et que rien n’est plus triste qu’un amour qui est déjà mort.
Pour la première fois dans le silence de la nuit,
C’est là que je la découvrit,
la plus grande tristesse au coeur de la nuit.