Tu lisais un poème.
Dans tes prunelles, les rimes défilaient cousues d'un fil bleu.
Tu t'es fait un noeud.
Alors je déposai mon manteau vert, vis ton visage blême ;
Tu pleurais de tendresse.
Cette chanson violette, celle de tes nuits solitaires
Ne voulait pas se taire.
Elle s'emmêlait dans le Ciel ; réchauffait ta promesse
Et le sel sous tes doigts.
Partout, le froid de l'hiver se déposait tristement.
Et pourtant, que je mens :
Ton ange, ton amour, t'embrassa pour la dernière fois
Tu mourras dans ton être
D'un silence irréel.
Il ferma la fenêtre ;
Puis déploya ses ailes.
—Dwaen.
Dans tes prunelles, les rimes défilaient cousues d'un fil bleu.
Tu t'es fait un noeud.
Alors je déposai mon manteau vert, vis ton visage blême ;
Tu pleurais de tendresse.
Cette chanson violette, celle de tes nuits solitaires
Ne voulait pas se taire.
Elle s'emmêlait dans le Ciel ; réchauffait ta promesse
Et le sel sous tes doigts.
Partout, le froid de l'hiver se déposait tristement.
Et pourtant, que je mens :
Ton ange, ton amour, t'embrassa pour la dernière fois
Tu mourras dans ton être
D'un silence irréel.
Il ferma la fenêtre ;
Puis déploya ses ailes.
—Dwaen.