Emprisonnée seule dans ma tour,
dont j’ai déjà mille fois fait le tour.
Je l’attends en silence,
son retour en pleurant.
Seule et isolée dans les ténombres de la nuit,
j’espère en vain le moindre signe de lui.
Cloîtrée entre ces quatre murs,
sait-il à quel point c’est dur ?
Je désespère en rentrant chez moi,
combien de temps encore vais-je garder espoir ?
Et dans la nuit telle une ombre,
lentement je sens que je sombre.
De retour dans mon lit où je m’allonge,
c’est dans les pleurs que je rejoins les songes.
Perdue dans cet amour qui demeure inaudible,
je rêve de retrouvailles qui semblent impossibles.
dont j’ai déjà mille fois fait le tour.
Je l’attends en silence,
son retour en pleurant.
Seule et isolée dans les ténombres de la nuit,
j’espère en vain le moindre signe de lui.
Cloîtrée entre ces quatre murs,
sait-il à quel point c’est dur ?
Je désespère en rentrant chez moi,
combien de temps encore vais-je garder espoir ?
Et dans la nuit telle une ombre,
lentement je sens que je sombre.
De retour dans mon lit où je m’allonge,
c’est dans les pleurs que je rejoins les songes.
Perdue dans cet amour qui demeure inaudible,
je rêve de retrouvailles qui semblent impossibles.