E
Anonyme
Il ne s'agit pas d'un message ridicule du genre de "la terre est plate", mais bien d'une découverte passionnante.
La bête porte le nom de Elasmothérium. Elle se situe physiquement entre le cheval, le mammouth et le rhinocéros. Elle a du cheval sa capacité a courir vite, du mammouth son poil laineux car elle vivait dans les pays froids, et du rhinocéros, une immense corne unique. On pensait que cette bête avait disparu durant l'ère préhistorique, puisque les squelettes retrouvés étaient tous très anciens, mais les russes en ont découvert un beaucoup plus récent, qui explique en pratique toutes les théories sur la licorne :
Les hommes se sont transmis le souvenir de cette bête fabuleuse, énorme, mais avec un galop rapide, et cette corne immense qui faisait sa singularité. Il n'est pas impossible que des russes ancestraux ou des vikings (voir plus bas) soient tombés sur un squelette déjà. Il n'est pas impossible non plus qu'elle est encore éxistée. Sans doute la taille de l'animal préhistorique s'est amoindrit au fils des millénaires.
Des descriptions de Jules César dans son livre, laisse a penser que soit cette bête existait toujours, soit son mythe était déjà fort important.
Un autre témoignage est celui du voyageur médiéval Ibn Fadlan, Xe siècle, généralement considéré comme une source fiable. Ibn Fadlân consacre une partie de son récit à la description des Rūs identifiés comme étant les Varègues, ce qui ferait de son récit un des premiers portraits des Vikings.
Il dit :
« Aux confins d'une vaste steppe, habite, dit-on, un animal plus petit qu'un chameau mais plus grand qu'un taureau. Sa tête est la tête d'un mouton, et sa queue celle d'un taureau. Son corps est celui d'un mulet et ses sabots ressemblent à ceux d'un taureau. Au milieu de la tête se trouve une corne, épaisse et arrondie, et plus elle devient haute plus elle devient étroite, pour ressembler à la fin à une pointe de lance. Quelques-unes de ces cornes croissent jusqu'à trois ou cinq aunes, la moitié de la taille de l'animal. Il se nourrit de feuilles des arbres, qui sont une végétation excellente. Chaque fois qu'il voit un cavalier il s'approche et, si le cavalier a un cheval rapide, le cheval essaie éperdument de fuir ; si la bête les rejoint, elle fait tomber le cavalier de sa selle avec sa corne, le lance en air, et le frappe avec la pointe de la corne, et continue ainsi jusqu'à ce que mort s'ensuive. Mais elle ne frappe ni ne blesse le cheval de quelque façon que ce soit. »
La bête porte le nom de Elasmothérium. Elle se situe physiquement entre le cheval, le mammouth et le rhinocéros. Elle a du cheval sa capacité a courir vite, du mammouth son poil laineux car elle vivait dans les pays froids, et du rhinocéros, une immense corne unique. On pensait que cette bête avait disparu durant l'ère préhistorique, puisque les squelettes retrouvés étaient tous très anciens, mais les russes en ont découvert un beaucoup plus récent, qui explique en pratique toutes les théories sur la licorne :
Les hommes se sont transmis le souvenir de cette bête fabuleuse, énorme, mais avec un galop rapide, et cette corne immense qui faisait sa singularité. Il n'est pas impossible que des russes ancestraux ou des vikings (voir plus bas) soient tombés sur un squelette déjà. Il n'est pas impossible non plus qu'elle est encore éxistée. Sans doute la taille de l'animal préhistorique s'est amoindrit au fils des millénaires.
Des descriptions de Jules César dans son livre, laisse a penser que soit cette bête existait toujours, soit son mythe était déjà fort important.
Un autre témoignage est celui du voyageur médiéval Ibn Fadlan, Xe siècle, généralement considéré comme une source fiable. Ibn Fadlân consacre une partie de son récit à la description des Rūs identifiés comme étant les Varègues, ce qui ferait de son récit un des premiers portraits des Vikings.
Il dit :
« Aux confins d'une vaste steppe, habite, dit-on, un animal plus petit qu'un chameau mais plus grand qu'un taureau. Sa tête est la tête d'un mouton, et sa queue celle d'un taureau. Son corps est celui d'un mulet et ses sabots ressemblent à ceux d'un taureau. Au milieu de la tête se trouve une corne, épaisse et arrondie, et plus elle devient haute plus elle devient étroite, pour ressembler à la fin à une pointe de lance. Quelques-unes de ces cornes croissent jusqu'à trois ou cinq aunes, la moitié de la taille de l'animal. Il se nourrit de feuilles des arbres, qui sont une végétation excellente. Chaque fois qu'il voit un cavalier il s'approche et, si le cavalier a un cheval rapide, le cheval essaie éperdument de fuir ; si la bête les rejoint, elle fait tomber le cavalier de sa selle avec sa corne, le lance en air, et le frappe avec la pointe de la corne, et continue ainsi jusqu'à ce que mort s'ensuive. Mais elle ne frappe ni ne blesse le cheval de quelque façon que ce soit. »