Hello !
J’écris un peu, et j'aimerais avoir votre avis, des conseils ect...
(Parce que sur Wattpad j’avance pas trop dans mes histoires et j’ai pris l’engagement de publier que des trucs terminés. Or, j’écris d’autres trucs sans fin (et pourquoi je me justifie ?))
Bref !
Prologue
Ce soir-là, il embaumait une telle odeur de jasmin dans la brise estivale que même la sublime pléiade d’étoiles n’impressionnait guère les meurtries âmes chercheuses de réconfort. La coupole céleste n’habitait point de coton, et la Lune avait de quoi faire peur à toutes créatures de folk s'éveillant lors des nuits les plus clairs.
C’était le simple et typique charme des nuits d’été, pensait John pour ne pas le laisser distraire.
Cependant, lui-même devait admettre que l’on avait rarement vue cela auparavant. Et il y avait de quoi se laisser emporter par l'agréable aura des aubépines rougissantes semblants s’écraser sous le poids de leurs propres beautée.
Il cueillit une pâquerette à la collerette légèrement rose et arracha une à une les minuscules pétales de la fleurs sauvage pour en garder que le bouton d’or.
Au loin, une porte claqua, agitant le ciel de ses résonances, mais l’homme n’en prit point compte.
Au bout de quelques centaines de mètres, une étrange pièce barricadée se dressait alors au loin, toute faites de briques usées par le temps. Des clés étaient alors suspendues à ses côtés, avec ce genre de magnétisme repoussant.
Il n’eut besoin que de quelques secondes à John pour claquer la porte et éveiller une seconde fois les voix célestes. Il prit les clés.
Puis, dans un geste tremblant, il ferma à double tours et les jeta dans les herbes brûlées dans un même murmure.
« Navré ».
Ce fut dans cette nuit provençale que l’autodidacte prisonnier sentit le parfum des fleurs pour la dernière fois. La dernière fois que le vent agita ses mœurs. La dernière fois qu’on le vie.
La dernière fois qu’il commettait une grave erreur.
Et surtout, la dernière fois qu’il ressentait ce sentiment.
Celui d’avoir tout gâché.
J’écris un peu, et j'aimerais avoir votre avis, des conseils ect...
(Parce que sur Wattpad j’avance pas trop dans mes histoires et j’ai pris l’engagement de publier que des trucs terminés. Or, j’écris d’autres trucs sans fin (et pourquoi je me justifie ?))
Bref !
Prologue
Ce soir-là, il embaumait une telle odeur de jasmin dans la brise estivale que même la sublime pléiade d’étoiles n’impressionnait guère les meurtries âmes chercheuses de réconfort. La coupole céleste n’habitait point de coton, et la Lune avait de quoi faire peur à toutes créatures de folk s'éveillant lors des nuits les plus clairs.
C’était le simple et typique charme des nuits d’été, pensait John pour ne pas le laisser distraire.
Cependant, lui-même devait admettre que l’on avait rarement vue cela auparavant. Et il y avait de quoi se laisser emporter par l'agréable aura des aubépines rougissantes semblants s’écraser sous le poids de leurs propres beautée.
Il cueillit une pâquerette à la collerette légèrement rose et arracha une à une les minuscules pétales de la fleurs sauvage pour en garder que le bouton d’or.
Au loin, une porte claqua, agitant le ciel de ses résonances, mais l’homme n’en prit point compte.
Au bout de quelques centaines de mètres, une étrange pièce barricadée se dressait alors au loin, toute faites de briques usées par le temps. Des clés étaient alors suspendues à ses côtés, avec ce genre de magnétisme repoussant.
Il n’eut besoin que de quelques secondes à John pour claquer la porte et éveiller une seconde fois les voix célestes. Il prit les clés.
Puis, dans un geste tremblant, il ferma à double tours et les jeta dans les herbes brûlées dans un même murmure.
« Navré ».
Ce fut dans cette nuit provençale que l’autodidacte prisonnier sentit le parfum des fleurs pour la dernière fois. La dernière fois que le vent agita ses mœurs. La dernière fois qu’on le vie.
La dernière fois qu’il commettait une grave erreur.
Et surtout, la dernière fois qu’il ressentait ce sentiment.
Celui d’avoir tout gâché.
