Ouah ! Euh ? C'est un cas assez rare je crois... mais je pense que la situation dépend de comment la mère voit le père du bébé. Comme son fils ou son mari ? ( oulah c'est étrange tout ça 🤯 )
Si la femme voit son premier fils comme son mari alors son bébé sera son fils. Mais si elle voit son premier fils comme son fils, alors le bébé sera son petit fils.
Et après le père vois son bébé comme son fils ou comme son frère selon sa vision des choses aussi.
Enfin en réalité, le bébé est tout à la fois, mais pour rendre la situation plus claire on peut voir les choses comme on veut.
Bon... on dirait le mythe d'Oeudipe.
Si la femme voit son premier fils comme son mari alors son bébé sera son fils. Mais si elle voit son premier fils comme son fils, alors le bébé sera son petit fils.
Et après le père vois son bébé comme son fils ou comme son frère selon sa vision des choses aussi.
Enfin en réalité, le bébé est tout à la fois, mais pour rendre la situation plus claire on peut voir les choses comme on veut.
Bon... on dirait le mythe d'Oeudipe.
Q
Anonyme
Merci d'avoir rédigé avec ardeur cette réponse que j'attendais tant. Il est intéressant de lire un point de vue réfléchi quant à cette question des plus étranges. (En incluant en plus la mythologie grecque.) Merci à vous.
E
Et oui tout est une question de point de vue evidemment
C
Anonyme
Les qualificatifs familiaux communs des grandes civilisations sont liés à la hiérarchie assez verticale des sociétés à états.
Dans beaucoup de sociétés traditionnelles, cette typologie est plus complexe. Sont souvent les pères d'un enfant les frères de la mère et non le géniteur (qui est incertain tant ces sociétés savent qu'une femme, surtout jeune cummulera des amants sans le révéler le plus souvent). C'est aussi ce mensonge courant sur le géniteur réel d'un enfant qui explique par exemple que la judéité ne se transmette que par la mère et non par le père, dont la paternité putative est toujours soumise au doute... Ce qui concerne beaucoup plus de femmes et d'enfants que l'ont croit le plus souvent pour faire tenir les représentations, la morale, les normes etc.
Chez les animaux, il n'est pas rare qu'un mâle soit frère et père d'un autre mâle, ou une femelle la mère et la soeur d'une autre.
L'étrangeté, tient aussi au tabou de l'inceste, qui est assez général dans les sociétés humaines. Mais là encore, bien plus complexe qu'il n'y paraît. Le tabou peut concerner des relations de parenté non sanguines mais symbolique dans beaucoup de sociétés claniques et encourager des mariages entre consanguins sans parenté symbolique...
Le monde occidentalisé (c'est à dire presque global maintenant) est très limitatif à la consaguinité, en grande partie pour des questions matérielles, d'héritages, de transmission, de lignage, bien plus que pour des raisons de santé (maladies génétiques par exemple), qui ne faisait aucun sens jusqu'à très récemment, et qui sont emprunt de scientisme d'ailleurs plus que de scientificité, car la consanguinité n'est pas toujours vectrice de soucis de santé chez la progéniture, là où son absence peut tout à fait occasionner de mauvaises rencontres génétiques.
Donc, si "mère" est une étiquette sans équivoque assez généralement, tous le reste est sujet à définition contextuelle à la société, la culture, le moment historique...
Dans beaucoup de sociétés traditionnelles, cette typologie est plus complexe. Sont souvent les pères d'un enfant les frères de la mère et non le géniteur (qui est incertain tant ces sociétés savent qu'une femme, surtout jeune cummulera des amants sans le révéler le plus souvent). C'est aussi ce mensonge courant sur le géniteur réel d'un enfant qui explique par exemple que la judéité ne se transmette que par la mère et non par le père, dont la paternité putative est toujours soumise au doute... Ce qui concerne beaucoup plus de femmes et d'enfants que l'ont croit le plus souvent pour faire tenir les représentations, la morale, les normes etc.
Chez les animaux, il n'est pas rare qu'un mâle soit frère et père d'un autre mâle, ou une femelle la mère et la soeur d'une autre.
L'étrangeté, tient aussi au tabou de l'inceste, qui est assez général dans les sociétés humaines. Mais là encore, bien plus complexe qu'il n'y paraît. Le tabou peut concerner des relations de parenté non sanguines mais symbolique dans beaucoup de sociétés claniques et encourager des mariages entre consanguins sans parenté symbolique...
Le monde occidentalisé (c'est à dire presque global maintenant) est très limitatif à la consaguinité, en grande partie pour des questions matérielles, d'héritages, de transmission, de lignage, bien plus que pour des raisons de santé (maladies génétiques par exemple), qui ne faisait aucun sens jusqu'à très récemment, et qui sont emprunt de scientisme d'ailleurs plus que de scientificité, car la consanguinité n'est pas toujours vectrice de soucis de santé chez la progéniture, là où son absence peut tout à fait occasionner de mauvaises rencontres génétiques.
Donc, si "mère" est une étiquette sans équivoque assez généralement, tous le reste est sujet à définition contextuelle à la société, la culture, le moment historique...
Alors même si c'est pour une connerie à la base, ça devrait répondre à ta question ;
Ça sera les deux,
Elle sera mère de son bébé ET sa grand mère (juste la consanguinité à l'extrême quoi, si ton gosse est entier tu auras de la chance).
Tout comme le père de l'enfant sera également le frère de cet enfant.
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