Encore, encore, encore.
Flot infini, toujours insatisfait,
Il ne cesse pas, il ne cessera jamais,
Le sang coule, éternellement,
Recroquevillé, arrachant mes envies,
Avant que l'obscurité vienne arracher ma vie,
Avant que les obscénités, mon contrôle, défient,
Avant que la lubricité, de mon être s'empare,
Présentant l’enveloppe, en ultime rempart,
Toujours torturant mon cœur, meurtrissant mon corps,
Violemment, violemment, violemment,
Pourquoi, à présent si ardent ?
Pourquoi cette fois, cela ne se calme pas ?
Bloqué, bloqué, en un sulfureux état,
Au pied du mur, pendu, en de furieux ébats,
Quand le désir vivement, le glas, sonne,
Quand le plaisir présentement empoisonne,
Tout nier, pour enterrer stupre qui emprisonne,
Mon sang hurlant, organes qui implosent,
Mon cœur gémissant, corps qui implore,
Remontant à ma gorge étouffant, esprit qui explose,
La paix serait d'être libéré de toute luxure,
La paix serait de se contraindre comme avant,
Or la vérité est, que me voilà crucifié,
Mes draps comme sépulture.
La chaleur, incessante,
Me fera trépasser,
Encore, encore, encore
Aidez-moi, venez m’enlever petite mort,
Aidez-moi, déposez les chairs contre moi,
Aidez-moi, à broyer ses os, oublier le noir,
Fantasme du soir.
Flot infini, toujours insatisfait,
Il ne cesse pas, il ne cessera jamais,
Le sang coule, éternellement,
Recroquevillé, arrachant mes envies,
Avant que l'obscurité vienne arracher ma vie,
Avant que les obscénités, mon contrôle, défient,
Avant que la lubricité, de mon être s'empare,
Présentant l’enveloppe, en ultime rempart,
Toujours torturant mon cœur, meurtrissant mon corps,
Violemment, violemment, violemment,
Pourquoi, à présent si ardent ?
Pourquoi cette fois, cela ne se calme pas ?
Bloqué, bloqué, en un sulfureux état,
Au pied du mur, pendu, en de furieux ébats,
Quand le désir vivement, le glas, sonne,
Quand le plaisir présentement empoisonne,
Tout nier, pour enterrer stupre qui emprisonne,
Mon sang hurlant, organes qui implosent,
Mon cœur gémissant, corps qui implore,
Remontant à ma gorge étouffant, esprit qui explose,
La paix serait d'être libéré de toute luxure,
La paix serait de se contraindre comme avant,
Or la vérité est, que me voilà crucifié,
Mes draps comme sépulture.
La chaleur, incessante,
Me fera trépasser,
Encore, encore, encore
Aidez-moi, venez m’enlever petite mort,
Aidez-moi, déposez les chairs contre moi,
Aidez-moi, à broyer ses os, oublier le noir,
Fantasme du soir.