Horreur Disparition volontaire...

Comme un bateau à la dérive
Dans la nuit infinie
Sous la lune qui luit
Drapé d'une couverture d'étoiles
Comme un linceul de soie
Posé sur moi
De la mer qui me berce
Lentement, je progresse
A l'arrière de la tempête
Des cauchemars qui surgissent
Telles des vagues
J'en subis les assauts
Emporté
Balloté
Au gré, des vents de ma vie
J'ai espoir d'un rivage
D'une terre promise
Car,je n'ai plus le courage
Sur elle, je mise
Où, il ferait bon vivre
Et, pourquoi pas ! y finir
Mais, je préfère,
Le noir, qui m'attire
De la lumière, je m'éloigne
De mon cœur
Aux voiles déchirées
Atrophié
De mes ailes brisées
Je défaille
Et, me laisse couler
En fermant mes paupières
C'est enfin décidé
Je tire un trait sur la vie
De ma carcasse de bois
Qui suit cette voie
Où, l'océan s'engouffre
Et, s'infiltre
Je plonge doucement
M'y noyer
Je descends
Sans en être forcé
Pendant un temps
Rejoindre
Dans,cet inéluctable mouvement
Une sorte de danse
Avec grâce
Les eaux cristallines
Des profondes Abîmes
Pour,ne plus, jamais,me réveiller
Et, enfin,m'y reposer...

 

[Ombres noires]

Comme un bateau à la dérive
Dans la nuit infinie
Sous la lune qui luit
Drapé d'une couverture d'étoiles
Comme un linceul de soie
Posé sur moi
De la mer qui me berce
Lentement, je progresse
A l'arrivée de la tempête
Des cauchemars qui surgissent
Telles des vagues
J'en subis les assauts
Emporté
Balloté
Au gré, des vents de ma vie
J'ai espoir d'un rivage
D'une terre promise
Car,je n'ai plus le courage
Sur elle, je mise
Où, il ferait bon vivre
Et, pourquoi pas ! y finir
Mais, je préfère,
Le noir, qui m'attire
De la lumière, je m'éloigne
De mon cœur
Aux voiles déchirées
Atrophié
De mes ailes brisées
Je défaille
Et, me laisse couler
En fermant mes paupières
C'est enfin décidé
Je tire un trait sur la vie
De ma carcasse de bois
Qui suit cette voie
Où, l'océan s'engouffre
Et, s'infiltre
Je plonge doucement
M'y noyer
Je descends
Sans en être forcé
Pendant un temps
Rejoindre
Dans,cet inéluctable mouvement
Une sorte de danse
Avec grâce
Les eaux cristallines
Des profondes Abîmes
Pour,ne plus, jamais,me réveiller
Et, enfin,m'y reposer...

 

[Saule]

Comme un bateau à la dérive
Dans la nuit infinie
Sous la lune qui luit
Drapé d'une couverture d'étoiles
Comme un linceul de soie
Posé sur moi
De la mer qui me berce
Lentement, je progresse
A l'arrière de la tempête
Des cauchemars qui surgissent
Telles des vagues
J'en subis les assauts
Emporté
Balloté
Au gré, des vents de ma vie
J'ai espoir d'un rivage
D'une terre promise
Car,je n'ai plus le courage
Sur elle, je mise
Où, il ferait bon vivre
Et, pourquoi pas ! y finir
Mais, je préfère,
Le noir, qui m'attire
De la lumière, je m'éloigne
De mon cœur
Aux voiles déchirées
Atrophié
De mes ailes brisées
Je défaille
Et, me laisse couler
En fermant mes paupières
C'est enfin décidé
Je tire un trait sur la vie
De ma carcasse de bois
Qui suit cette voie
Où, l'océan s'engouffre
Et, s'infiltre
Je plonge doucement
M'y noyer
Je descends
Sans en être forcé
Pendant un temps
Rejoindre
Dans,cet inéluctable mouvement
Une sorte de danse
Avec grâce
Les eaux cristallines
Des profondes Abîmes
Pour,ne plus, jamais,me réveiller
Et, enfin,m'y reposer...

✨ c'est beau et triste...

 

[Ombres noires]

✨ c'est beau et triste...

Merci à toi ! A chaque minute qui passe... nous nous effaçons un peu...la vie, ainsi est faite... qu'il est bien triste de vieillir...si, seulement... nous pouvions... revenir en arrière... pour vivre de nouveau...

 

[Saule]

Merci à toi ! A chaque minute qui passe... nous nous effaçons un peu...la vie, ainsi est faite... qu'il est bien triste de vieillir...si, seulement... nous pouvions... revenir en arrière... pour vivre de nouveau...

Vivre de nouveau ? Mais vivre se trouve dans le présent.

 

[Ombres noires]

Vivre de nouveau ? Mais vivre se trouve dans le présent.

Tout là est l'ambiguïté peut être...?

 

[Perledepluie]

Comme un bateau à la dérive
Dans la nuit infinie
Sous la lune qui luit
Drapé d'une couverture d'étoiles
Comme un linceul de soie
Posé sur moi
De la mer qui me berce
Lentement, je progresse
A l'arrière de la tempête
Des cauchemars qui surgissent
Telles des vagues
J'en subis les assauts
Emporté
Balloté
Au gré, des vents de ma vie
J'ai espoir d'un rivage
D'une terre promise
Car,je n'ai plus le courage
Sur elle, je mise
Où, il ferait bon vivre
Et, pourquoi pas ! y finir
Mais, je préfère,
Le noir, qui m'attire
De la lumière, je m'éloigne
De mon cœur
Aux voiles déchirées
Atrophié
De mes ailes brisées
Je défaille
Et, me laisse couler
En fermant mes paupières
C'est enfin décidé
Je tire un trait sur la vie
De ma carcasse de bois
Qui suit cette voie
Où, l'océan s'engouffre
Et, s'infiltre
Je plonge doucement
M'y noyer
Je descends
Sans en être forcé
Pendant un temps
Rejoindre
Dans,cet inéluctable mouvement
Une sorte de danse
Avec grâce
Les eaux cristallines
Des profondes Abîmes
Pour,ne plus, jamais,me réveiller
Et, enfin,m'y reposer...

J'aime celui-ci aussi, ombre invisible !

 

[Lavandière]

Comme un bateau à la dérive
Dans la nuit infinie
Sous la lune qui luit
Drapé d'une couverture d'étoiles
Comme un linceul de soie
Posé sur moi
De la mer qui me berce
Lentement, je progresse
A l'arrière de la tempête
Des cauchemars qui surgissent
Telles des vagues
J'en subis les assauts
Emporté
Balloté
Au gré, des vents de ma vie
J'ai espoir d'un rivage
D'une terre promise
Car,je n'ai plus le courage
Sur elle, je mise
Où, il ferait bon vivre
Et, pourquoi pas ! y finir
Mais, je préfère,
Le noir, qui m'attire
De la lumière, je m'éloigne
De mon cœur
Aux voiles déchirées
Atrophié
De mes ailes brisées
Je défaille
Et, me laisse couler
En fermant mes paupières
C'est enfin décidé
Je tire un trait sur la vie
De ma carcasse de bois
Qui suit cette voie
Où, l'océan s'engouffre
Et, s'infiltre
Je plonge doucement
M'y noyer
Je descends
Sans en être forcé
Pendant un temps
Rejoindre
Dans,cet inéluctable mouvement
Une sorte de danse
Avec grâce
Les eaux cristallines
Des profondes Abîmes
Pour,ne plus, jamais,me réveiller
Et, enfin,m'y reposer...

Très beau, j’aime beaucoup.

 

[Mod.09x206]

Comme un bateau à la dérive
Dans la nuit infinie
Sous la lune qui luit
Drapé d'une couverture d'étoiles
Comme un linceul de soie
Posé sur moi
De la mer qui me berce
Lentement, je progresse
A l'arrière de la tempête
Des cauchemars qui surgissent
Telles des vagues
J'en subis les assauts
Emporté
Balloté
Au gré, des vents de ma vie
J'ai espoir d'un rivage
D'une terre promise
Car,je n'ai plus le courage
Sur elle, je mise
Où, il ferait bon vivre
Et, pourquoi pas ! y finir
Mais, je préfère,
Le noir, qui m'attire
De la lumière, je m'éloigne
De mon cœur
Aux voiles déchirées
Atrophié
De mes ailes brisées
Je défaille
Et, me laisse couler
En fermant mes paupières
C'est enfin décidé
Je tire un trait sur la vie
De ma carcasse de bois
Qui suit cette voie
Où, l'océan s'engouffre
Et, s'infiltre
Je plonge doucement
M'y noyer
Je descends
Sans en être forcé
Pendant un temps
Rejoindre
Dans,cet inéluctable mouvement
Une sorte de danse
Avec grâce
Les eaux cristallines
Des profondes Abîmes
Pour,ne plus, jamais,me réveiller
Et, enfin,m'y reposer...

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