Ce virus est un voyageur sans bagages, sans visa, sans souci de paiement, de vouchure, de réservation... Mais que de terriens n'a-t-il pas réduit à l'esclavage pour l'unique plaisir de voir du pays ?
Il est temps que politiciens et scientifiques se mettent d'accord pour que les salles de spectacles resplendissent à nouveau de nos rires, pour que les ados pensent comme des ados, que nos universitaires retrouvent kot et auditoire, que les salons de beauté nous redonnent une peau de pêche, que les tables de nos restaus se tachent des bons hamburgers que nous mangeons ensemble.