Poésie Cous de barre parallèles

Souvent je m'en frottais
À Cesair de jouvence
Sur cette inclinaison
Qui m'egouttait le cœur
Quand d'autres nostalgies
Parfumaient mes labeurs
Je m'engouffrais de pluie

Souvent je me courbais
Incitait mon étoile
À frotter dans nos cous
Le bar de nos regrets
Quand le vent de tes yeux
À mon âme soulevait
La plume et le combat
Imperceptiblement

Sous pressions souveraines
L'averse a détraqué
Comme un manteau, l'été
Le printemps sur nos mœurs
Pour en changer l'humus
Le rire et la couleur
Barres d'espoir à nous peindre
La vie de ses réformes.
 

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