J’aime les contestataires raisonnables, les furieux du verbe doux, les artistes hors système qui dérangent, les femmes qui revendiquent avec intelligence mais sans sombrer dans la misandrie la plus stupide. J'aime ces poètes qui refusent ces modes issues de l'art moderne qui n'est qu'une sombre fumisterie marchande.J'aime le hors sentiers, l'ivresse que procure les grands espaces vides.J'aime les femmes en robe d'été.
J'aime ceux qui, dans la douceur de leur rébellion, portent en eux l'écho des vérités oubliées, des paroles qui dérangent sans écraser. Ceux qui, loin de se conformer à la morosité des certitudes, préfèrent la poésie incertaine de l'instant. Ils me rappellent que la beauté réside là où l'on ose sortir des sentiers battus, où l'on choisit de regarder l'horizon sans se soumettre aux murs de la pensée unique. Il est des créateurs qui n’ont besoin d’aucune validation pour exister. Leur art n'est pas un produit, mais une réponse. Une réponse à la folie d’un monde qui troque l'essentiel contre le superflu, qui vend l'âme de la culture pour quelques pièces d’or. Mais ces artistes, ces écrivains, ces révoltés tranquilles, ils existent toujours, invisibles, mais omniprésents dans le souffle de ceux qui refusent de plier.
Leurs mots résonnent comme des chants d'antan, portés par le vent du temps, des mots qui ont traversé les générations sans perdre leur éclat. Et dans cette lumière tamisée, je vois des femmes aux visages lumineux, des regards clairs, non pas en guerre contre un sexe, mais en quête de respect, de sens, d’équité. Elles ne réclament pas une victoire sur les hommes, mais une reconnaissance pleine et entière de leur humanité. Car il ne s'agit pas de tout casser, mais de reconstruire. Il ne s'agit pas de crier plus fort, mais de parler avec plus de justesse.
Alors, oui, j’aime ces visages imparfaits, ces pensées affûtées, ces paroles qui ne cèdent ni à la mode ni au vent des conventions. Ils sont l'ultime bouée de sauvetage dans un monde noyé par le bruit. Ils sont la promesse d'un réveil, d’un sursaut. Et si ce monde ne veut pas changer, eh bien, nous le ferons nous-mêmes, à notre rythme, à notre manière, avec des gestes simples et des idées puissantes.
Ps: Publication cercle littéraire ( l'encrier)
J'aime ceux qui, dans la douceur de leur rébellion, portent en eux l'écho des vérités oubliées, des paroles qui dérangent sans écraser. Ceux qui, loin de se conformer à la morosité des certitudes, préfèrent la poésie incertaine de l'instant. Ils me rappellent que la beauté réside là où l'on ose sortir des sentiers battus, où l'on choisit de regarder l'horizon sans se soumettre aux murs de la pensée unique. Il est des créateurs qui n’ont besoin d’aucune validation pour exister. Leur art n'est pas un produit, mais une réponse. Une réponse à la folie d’un monde qui troque l'essentiel contre le superflu, qui vend l'âme de la culture pour quelques pièces d’or. Mais ces artistes, ces écrivains, ces révoltés tranquilles, ils existent toujours, invisibles, mais omniprésents dans le souffle de ceux qui refusent de plier.
Leurs mots résonnent comme des chants d'antan, portés par le vent du temps, des mots qui ont traversé les générations sans perdre leur éclat. Et dans cette lumière tamisée, je vois des femmes aux visages lumineux, des regards clairs, non pas en guerre contre un sexe, mais en quête de respect, de sens, d’équité. Elles ne réclament pas une victoire sur les hommes, mais une reconnaissance pleine et entière de leur humanité. Car il ne s'agit pas de tout casser, mais de reconstruire. Il ne s'agit pas de crier plus fort, mais de parler avec plus de justesse.
Alors, oui, j’aime ces visages imparfaits, ces pensées affûtées, ces paroles qui ne cèdent ni à la mode ni au vent des conventions. Ils sont l'ultime bouée de sauvetage dans un monde noyé par le bruit. Ils sont la promesse d'un réveil, d’un sursaut. Et si ce monde ne veut pas changer, eh bien, nous le ferons nous-mêmes, à notre rythme, à notre manière, avec des gestes simples et des idées puissantes.
Ps: Publication cercle littéraire ( l'encrier)
