Parfois, nous ne sommes pas toujours lumiĂšre. On ne deviens pas toujours plus brillant avec le temps. Par exemple, je suis une lune et pas un soleil.
Je deviens mal alors que vous devenez bien.
Vous savez, parfois jâai lâimpression dâĂȘtre une journĂ©e. Minuit sonnera ma fin, et jâai lâimpression quâil fait dĂ©jĂ nuit, chez moi. Il fait froid.
Câest sĂ»rement le vent.
Le vent des gens. Et le vent de mon bonheur.
Je prierais le monde pour quâon mâaccorde quelque chose de mĂ©ritĂ©, mais ça ne marchera jamais.
Je suis trop nulle pour arriver Ă faire quelque chose.
Je suis dĂ©jĂ assez nulle pour ne pas ĂȘtre aimĂ©e.
Pour preuve : Ma mĂšre me hait. Jâen suis sure.
On ne jette pas les menaces de mort gratuitement, ça coûte un lourd travail de haine envers la personne ciblée.
Elle me hait, et parfois jâai lâimpression de lâaimer plus quâelle ne croit en moi.
Ăa reviens bas, trĂšs bas.
A cÎté il y a la perfection.
La beauté.
Et moi je nâen suis rien.
Je mâen suis rendue compte trĂšs rĂ©cemment.
Quoi que je fasse, mes efforts seront vain.
Ma vie est inutile.
On me le dis oralement, et les regards ne trompent pas.
Je sais mĂȘme pas ce quâil me prend dâĂ©crire tout ça. Câest une perte de temps et je mourirais peut-ĂȘtre avant de finir ces phrases.
Chaque remarques sont des fardeaux. Je me rends compte que jâai fais une erreur, mĂȘme minime, et je me dis « Pourquoi je suis aussi bĂȘte ? »
Je tombe, et lâinfluence des autres cĆurs est trop magnĂ©tique pour le miens, qui ne demande quâĂ rejoindre un autre monde, loin de cette Terre.
Car, aujourdâhui jâai perdue foie en mon humanitĂ©. Je deviens la hantise des monstres eux-mĂȘmes.
Je deviens rien.
Quand je dis que vous valez tellement mieux que moi, câest vraiment pas une blague.
Mon algorithme est différent de la vie.
Soyons honnĂȘte, aujourdâhui pour moi, de toutes maniĂšres, ou que jâaille, le pire enfer, câest la terre.
Je vois parfois la consonance du Paradis pour les bons et lâEnfers pour les mauvais comme une fuite pour les gens mĂ©ritant et la terre pour pour un enfer peint de blanc.
LâocĂ©an camoufle peut-ĂȘtre les flammes Ă©teintes des cĆurs en peines.
Je sais mĂȘme pas quand mon feu a Ă©tĂ© soufflĂ©.
Je deviens mal alors que vous devenez bien.
Vous savez, parfois jâai lâimpression dâĂȘtre une journĂ©e. Minuit sonnera ma fin, et jâai lâimpression quâil fait dĂ©jĂ nuit, chez moi. Il fait froid.
Câest sĂ»rement le vent.
Le vent des gens. Et le vent de mon bonheur.
Je prierais le monde pour quâon mâaccorde quelque chose de mĂ©ritĂ©, mais ça ne marchera jamais.
Je suis trop nulle pour arriver Ă faire quelque chose.
Je suis dĂ©jĂ assez nulle pour ne pas ĂȘtre aimĂ©e.
Pour preuve : Ma mĂšre me hait. Jâen suis sure.
On ne jette pas les menaces de mort gratuitement, ça coûte un lourd travail de haine envers la personne ciblée.
Elle me hait, et parfois jâai lâimpression de lâaimer plus quâelle ne croit en moi.
Ăa reviens bas, trĂšs bas.
A cÎté il y a la perfection.
La beauté.
Et moi je nâen suis rien.
Je mâen suis rendue compte trĂšs rĂ©cemment.
Quoi que je fasse, mes efforts seront vain.
Ma vie est inutile.
On me le dis oralement, et les regards ne trompent pas.
Je sais mĂȘme pas ce quâil me prend dâĂ©crire tout ça. Câest une perte de temps et je mourirais peut-ĂȘtre avant de finir ces phrases.
Chaque remarques sont des fardeaux. Je me rends compte que jâai fais une erreur, mĂȘme minime, et je me dis « Pourquoi je suis aussi bĂȘte ? »
Je tombe, et lâinfluence des autres cĆurs est trop magnĂ©tique pour le miens, qui ne demande quâĂ rejoindre un autre monde, loin de cette Terre.
Car, aujourdâhui jâai perdue foie en mon humanitĂ©. Je deviens la hantise des monstres eux-mĂȘmes.
Je deviens rien.
Quand je dis que vous valez tellement mieux que moi, câest vraiment pas une blague.
Mon algorithme est différent de la vie.
Soyons honnĂȘte, aujourdâhui pour moi, de toutes maniĂšres, ou que jâaille, le pire enfer, câest la terre.
Je vois parfois la consonance du Paradis pour les bons et lâEnfers pour les mauvais comme une fuite pour les gens mĂ©ritant et la terre pour pour un enfer peint de blanc.
LâocĂ©an camoufle peut-ĂȘtre les flammes Ă©teintes des cĆurs en peines.
Je sais mĂȘme pas quand mon feu a Ă©tĂ© soufflĂ©.