Les mots ne me viennent pas, mais je les ressens,
C'est une masse lourde, un tourbillon lent,
Qui s'embourbe entre mes côtes qui se resserrent,
Un sentiment physique qui plante ses serres.
J'ai mal au cœur, mal de savoir ce que je sais,
Si mal de savoir ce qu'ils pensent de mauvais
Sur moi, sur mon apparence, ma façon d'être
Je me dis qu'ils ont raison peut être... peut-être...
J'aimerais qu'ils lisent dans mes yeux la colère
Que je leur porte, au plus profond de ma chair.
Je déteste ces inconnus dont je suis cible
Tellement que j'en fais là un poème horrible
Ils ne méritent pas mes larmes, pas d'attention
Mais je les hais, je me hais de ne pas savoir
Leur dire en face que ce sont eux les bouffons
Que je les entends. Qu'ils ailles se faire voir...
C'est une masse lourde, un tourbillon lent,
Qui s'embourbe entre mes côtes qui se resserrent,
Un sentiment physique qui plante ses serres.
J'ai mal au cœur, mal de savoir ce que je sais,
Si mal de savoir ce qu'ils pensent de mauvais
Sur moi, sur mon apparence, ma façon d'être
Je me dis qu'ils ont raison peut être... peut-être...
J'aimerais qu'ils lisent dans mes yeux la colère
Que je leur porte, au plus profond de ma chair.
Je déteste ces inconnus dont je suis cible
Tellement que j'en fais là un poème horrible
Ils ne méritent pas mes larmes, pas d'attention
Mais je les hais, je me hais de ne pas savoir
Leur dire en face que ce sont eux les bouffons
Que je les entends. Qu'ils ailles se faire voir...