J'ai redécouvert des saveurs,
Si lointaine, je les croyais perdues.
Je regarde maintenant les heures.
Tout cela me semble si irréel.
Mais il reste sur mon cœur nu,
Des cicatrices qui ont brûler des ailes.
Il y a des choses que l'on oublie jamais.
Je sais que j'aime ce que je fais .
Je sais qu'il est impossible de prévoir,
Qu'il est impossible de bien guérir.
J'aimerais un jour peut-être, vous voir,
Vous qui m'avez bousculer, sans mal,
Vous m'avez fait retrouver le sourire.
Je laisse au passé mes long râles.
J'ai choisi le chemin de la dure vie
Et de tous ces beaux ennuis.
Je me coucherais encore à minuit ;
Certaines habitudes de changent pas.
Je remonte lentement la pente
Et j'avance plutôt bien, pas à pas.
Maintenant, il faut rattraper le temps,
Qui s'est écoulé dans la fente...
Sortir de l'ombre et devenir grand.
Si lointaine, je les croyais perdues.
Je regarde maintenant les heures.
Tout cela me semble si irréel.
Mais il reste sur mon cœur nu,
Des cicatrices qui ont brûler des ailes.
Il y a des choses que l'on oublie jamais.
Je sais que j'aime ce que je fais .
Je sais qu'il est impossible de prévoir,
Qu'il est impossible de bien guérir.
J'aimerais un jour peut-être, vous voir,
Vous qui m'avez bousculer, sans mal,
Vous m'avez fait retrouver le sourire.
Je laisse au passé mes long râles.
J'ai choisi le chemin de la dure vie
Et de tous ces beaux ennuis.
Je me coucherais encore à minuit ;
Certaines habitudes de changent pas.
Je remonte lentement la pente
Et j'avance plutôt bien, pas à pas.
Maintenant, il faut rattraper le temps,
Qui s'est écoulé dans la fente...
Sortir de l'ombre et devenir grand.
