La surenchère des partis de l'entité sioniste a atteint des sommets, le duel entre Lapid et Netanyahu qui bénéficie d'un soutien à peine masqué aussi bien des Républicains que des Démocrates aux Etats-Unis risquant fort de tourner à l'avantage du sinistre chef du Likoud. Tous deux sont adeptes d'une politique brutale et sans concession aucune envers les Palestiniens, d'une part, et les pays arabes, de l'autre, y compris ceux-là qui ont prestement couru vers la normalisation avec l'entité sioniste, conformément au diktat de l'ancien président Donald Trump et de son proche entourage, porte-faix notoire du sionisme aux Etats-Unis et dans le monde. Dans sa campagne plutôt mouvementée, Lapid vient d'afficher son
«intransigeance» avec des raids massifs sur Ghaza pendant trois jours et dont la stratégie consiste à poursuivre le travail de son rival dans les territoires palestiniens illégalement occupés avec des colonies sans cesse étendues et des attaques incessantes contre El Aqsa par des colons juifs protégés par l'armée sioniste. Il ne l'a pas fait sans calcul, son objectif étant de démontrer qu'il maintient le cap et qu'il sait, aussi bien que Netanyahu, conduire l'assaut contre les terres et les populations palestiniennes jusqu'à leur...disparition.
Dans la foulée, il va débarquer avec armes et bagages dans le royaume de Mohamed VI, le président fantôme du Comité El Qods. Son but est, à l'évidence, de torpiller le prochain sommet de la Ligue arabe dont l'objectif affiché est de replacer la question palestinienne au centre des ambitions et des exigences de la nation arabe. Des défis pour l'entité sioniste qui n'entend pas demeurer sans réaction. Aussi, est-il inscrit dans le programme lapidaire, ni plus ni moins, que la tenue d'un autre sommet, parallèle celui-là, avec la participation, sous l'égide du Makhzen, d'Israël et de tous les pays qui ont embrassé la normalisation trumpienne. D'ores et déjà, on peut dire que le travail ne sera pas de tout repos pour parvenir à rassembler ladite nation, en novembre prochain, tout en oeuvrant à ressouder les rangs des forces de la résistance palestinienne, au grand dam du sionisme et de ses alliés occidentaux qui voient, dans la démarche, une menace contre leur politique moyen-orientale. L'enjeu est double, qui plus est, parce que la stratégie commande d'agir à la fois auprès de la Ligue arabe et de l'Union africaine, elle aussi visée par la connexion maroco-sioniste. Comme toujours, le royaume marocain joue pleinement son rôle de cheval de Troie et n'hésite jamais à recourir aux accusations les plus infâmes. Le sort d'une unité arabe à reconstruire vacille sans cesse autour de cette tumeur maligne.
L'Expression DZ
«intransigeance» avec des raids massifs sur Ghaza pendant trois jours et dont la stratégie consiste à poursuivre le travail de son rival dans les territoires palestiniens illégalement occupés avec des colonies sans cesse étendues et des attaques incessantes contre El Aqsa par des colons juifs protégés par l'armée sioniste. Il ne l'a pas fait sans calcul, son objectif étant de démontrer qu'il maintient le cap et qu'il sait, aussi bien que Netanyahu, conduire l'assaut contre les terres et les populations palestiniennes jusqu'à leur...disparition.
Dans la foulée, il va débarquer avec armes et bagages dans le royaume de Mohamed VI, le président fantôme du Comité El Qods. Son but est, à l'évidence, de torpiller le prochain sommet de la Ligue arabe dont l'objectif affiché est de replacer la question palestinienne au centre des ambitions et des exigences de la nation arabe. Des défis pour l'entité sioniste qui n'entend pas demeurer sans réaction. Aussi, est-il inscrit dans le programme lapidaire, ni plus ni moins, que la tenue d'un autre sommet, parallèle celui-là, avec la participation, sous l'égide du Makhzen, d'Israël et de tous les pays qui ont embrassé la normalisation trumpienne. D'ores et déjà, on peut dire que le travail ne sera pas de tout repos pour parvenir à rassembler ladite nation, en novembre prochain, tout en oeuvrant à ressouder les rangs des forces de la résistance palestinienne, au grand dam du sionisme et de ses alliés occidentaux qui voient, dans la démarche, une menace contre leur politique moyen-orientale. L'enjeu est double, qui plus est, parce que la stratégie commande d'agir à la fois auprès de la Ligue arabe et de l'Union africaine, elle aussi visée par la connexion maroco-sioniste. Comme toujours, le royaume marocain joue pleinement son rôle de cheval de Troie et n'hésite jamais à recourir aux accusations les plus infâmes. Le sort d'une unité arabe à reconstruire vacille sans cesse autour de cette tumeur maligne.
L'Expression DZ