Les étoiles...Ne sont-elles pas magnifiques ce soir ?
Magnifique, mais tellement triste.
Chaque soir, pour m'apaiser de mes cauchemars, je viens vers elles.
J'y vois une histoire. Une vie, une douleur, une mort.
Si belles...Belles et si pures.
Les couleurs du ciel sont elles aussi d'une beauté incomparable.
Les reflets bleus, violets, verts. Tout ça dans une légèreté qui m'épate.
Adossée à ce vieux chêne, lui qui a vécu bien plus longtemps que moi, lui qui est resté durant si longtemps.
Le chêne a-t-il vu les nouvelles étoiles apparaître dans l'immensité du ciel ?
Le silence m'accompagne, me porte vers un apaisement inouï.
En observant le ciel et ses étoiles...Je comprends pourquoi tu as souhaité devenir comme elles.
Une petite étoile parmis tant d'autres.
De là-haut, tu dois pouvoir admirer le monde sous un autre angle.
Est-ce que je te manque ?
Parce que toi, tu me manques cruellement.
Quant tu es parti, tu as laissé un gouffre affreusement douloureux dans mon cœur.
Oui, quand j'ai appris que tu nous avais quitté, je me suis effondrée.
Je n'arrivais plus à respirer. On aurait dit qu'on m'avait arraché quelque chose de la poitrine.
Tu sais, on réalise pas tout de suite.
Non, d'abord on ressent une douleur incontrôlable. On en cherche la cause, mais notre cœur ne veut pas voir la vérité en face.
Puis, il y a cette phrase qui devient un déclic que j'aurais aimé ne jamais avoir.
« Il ne reviendra jamais. »
Ces paroles sont si dures. Les larmes coulent, mais tu t'en rends à peine compte.
T'as envie de le rejoindre. Mais on essaye de te calmer alors que tu as juste envie d'hurler ta peine.
Ce moment...Ouais, il est affreux.
Puis le temps passe, mais la plaie ne se referme pas. Les souvenirs ne cessent de raviver la douleur.
Tu finis fatiguée, et en colère.
Les phrases telles que "Pourquoi tu es parti ? Tu...N'avais pas le droit de faire ça." viennent inconsciemment.
Tu n'as plus goût à rien. Le pire, c'est que tout ton entourage s'effondre avec toi.
Certains t'ont même rejoints, comme j'aurais voulu.
J'ai dû me relever et apprendre à vivre sans toi.
Je trébuchais souvent, manquant de retomber.
Tu ne sais pas ce que c'est.
Tu es parti avant même de le vivre.
Tu ne peux savoir ce que ça fait, quand dans une même année, tous ceux que tu aimes s'en vont sans retour.
Désormais, je suis seule.
Comme toujours.
Mais je sais que j'ai, là-haut, entre les étoiles, quelqu'un que je n'oublierai jamais.
Adieu. On se reverra un jour. Pour l'instant, j'essaye de survivre...Pour toi.
Magnifique, mais tellement triste.
Chaque soir, pour m'apaiser de mes cauchemars, je viens vers elles.
J'y vois une histoire. Une vie, une douleur, une mort.
Si belles...Belles et si pures.
Les couleurs du ciel sont elles aussi d'une beauté incomparable.
Les reflets bleus, violets, verts. Tout ça dans une légèreté qui m'épate.
Adossée à ce vieux chêne, lui qui a vécu bien plus longtemps que moi, lui qui est resté durant si longtemps.
Le chêne a-t-il vu les nouvelles étoiles apparaître dans l'immensité du ciel ?
Le silence m'accompagne, me porte vers un apaisement inouï.
En observant le ciel et ses étoiles...Je comprends pourquoi tu as souhaité devenir comme elles.
Une petite étoile parmis tant d'autres.
De là-haut, tu dois pouvoir admirer le monde sous un autre angle.
Est-ce que je te manque ?
Parce que toi, tu me manques cruellement.
Quant tu es parti, tu as laissé un gouffre affreusement douloureux dans mon cœur.
Oui, quand j'ai appris que tu nous avais quitté, je me suis effondrée.
Je n'arrivais plus à respirer. On aurait dit qu'on m'avait arraché quelque chose de la poitrine.
Tu sais, on réalise pas tout de suite.
Non, d'abord on ressent une douleur incontrôlable. On en cherche la cause, mais notre cœur ne veut pas voir la vérité en face.
Puis, il y a cette phrase qui devient un déclic que j'aurais aimé ne jamais avoir.
« Il ne reviendra jamais. »
Ces paroles sont si dures. Les larmes coulent, mais tu t'en rends à peine compte.
T'as envie de le rejoindre. Mais on essaye de te calmer alors que tu as juste envie d'hurler ta peine.
Ce moment...Ouais, il est affreux.
Puis le temps passe, mais la plaie ne se referme pas. Les souvenirs ne cessent de raviver la douleur.
Tu finis fatiguée, et en colère.
Les phrases telles que "Pourquoi tu es parti ? Tu...N'avais pas le droit de faire ça." viennent inconsciemment.
Tu n'as plus goût à rien. Le pire, c'est que tout ton entourage s'effondre avec toi.
Certains t'ont même rejoints, comme j'aurais voulu.
J'ai dû me relever et apprendre à vivre sans toi.
Je trébuchais souvent, manquant de retomber.
Tu ne sais pas ce que c'est.
Tu es parti avant même de le vivre.
Tu ne peux savoir ce que ça fait, quand dans une même année, tous ceux que tu aimes s'en vont sans retour.
Désormais, je suis seule.
Comme toujours.
Mais je sais que j'ai, là-haut, entre les étoiles, quelqu'un que je n'oublierai jamais.
Adieu. On se reverra un jour. Pour l'instant, j'essaye de survivre...Pour toi.
